Communauté des Béatitudes : après les scandales
Affaires de moeurs, dossiers aux prud'hommes, défaillance de gouvernance : la communauté des Béatitudes, en pleine restructuration, accepte de lever le voile sur ces scandales. Pourquoi la communauté n'a-t-elle pas été dissoute ? Comment des problèmes d'une telle ampleur ont-ils pu se multiplier ? Révèlent-ils des failles dans le contrôle que doit exercer l'Église ? Le travail de clarification peut-il être utile à d'autres mouvements charismatiques ? Enfin, face aux errances de son fondateur, quels charismes authentiques la communauté a-t-elle reçus ? Avec notamment Mgr Robert Le Gall (archevêque de Toulouse), Frère Henry Donneaud (commissaire pontifical de la communauté des Béatitudes), Soeur Anna-Katharina Pollmeyer (assistante générale de la communauté des Béatitudes).
Edition Spéciale du 03/02/2012.
Lipa 3/3 ─ La condamnation puis la reconnaissance de l’apparition de la Vierge à Lipa
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11- Les apparitions de Lipa (Philippines) « Marie Médiatrice de toutes grâces », 1948
Lipa 3/3 ─ La condamnation puis la reconnaissance de l’apparition de la Vierge à Lipa (40 mn).
Les apparitions furent d’abord condamnées le 11 Avril 1951: « Constat de non surnaturalité ». Bouleversée par les terribles injustices de la commission d’enquête, la mise au désert de sœur Teresita, Mère Mary Cecilia de Jésus, la prieure du Carmel pendant le temps de l'apparition demande en 1982 la permission à sa prieure de donner sa vie pour la cause de Notre-Dame à Lipa. Elle l’obtient de sa Prieure, Mère Marie Aimee et meurt quelques jours après. En 1991, soit 40 ans après la condamnation, l’archevêque autorise l’exposition de l’image de ND de Lipa au Carmel. Enfin, le samedi 12 septembre 2015 Mgr Ramon Cabrera Argüelles, avec l’accord du Vatican, reconnait officiellement l’apparition. Analyse de cette significative histoire qui marque la grande crise qui a suivi la fin des deux guerres mondiales. Analyse du sens spirituel de cette épreuve qui durant plus de 60 ans.
Par Arnaud Dumouch, 2015.
Textes des vidéos sur :
Domaine de Saint Didier
Situés entre Sisteron Nord et Valernes Sud. Il existe des lieux magiques qui vous retiennent Jean-Pierre. En bordure de Durance,à 400 mètres à vol d'oiseau vers le Nord Ouest,depuis le château de Saint-Didier,se trouve au milieu d'un champs,un Pigeonnier du XVIIe siècle,en assez bon état de conservation,dont la toiture à été remplacé depuis peu.Une génoise à quatre rangée ainsi que des carreaux vernissés faisant le tour du bâtiment finalise ce bel ensemble ! Cette tour ronde,n'est pas mentionner sur la carte de Cassini,mais sur le Cadastre Napoléonien de 1836,dont voici les cotes: Cote: VALERNES 105 Fi 231/011 Section D,Poux et Saint-Didier 1/2 500 - 1836 D.
Pigeonnier
Autour de la grille d'envol,des céramiques vernissées utilisées pour empêcher le passage des rats et autres rongeurs.Par contre,aucune lanche d'envol ! cette avancé extérieure devant la grille d'envol où se posent les pigeons au retour de leur vol. sa maçonnerie est constituée de galets de la Durance ainsi que d'un enduit lisse. Le cours d'eau de la Durance se trouvant à 400 m ! Jean-Pierre
Château
Au sud de la commune,le prieuré Saint-Didier appartient à l’abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert jusqu’au XVe siècle,quand il passe à l’abbaye Sainte-Claire de Sisteron. Le domaine du château Saint-Didier,est vendu comme bien national en février 1791.Le château de Saint-Didier, résidence campagnarde du XVIIe siècle est situé à proximité d'un pont de pierre qui était emprunté par l’ancienne route suivant la rive gauche de la Durance: sa voûte est à 15 m au-dessus ou coule le torrent du Riau. Celui ci est situé en limite avec la commune de Sisteron. Vaste domaine,sur la terrasse dominant le cours de la Durance,passera dans les mains de l’abbaye Sainte-Claire de Sisteron en 1452,puis dans celle des Ursulines de Gap.
Église
Une église,ecclesia Desiderii,est citée en 1208 faisant partie des possessions de l’abbaye de Saint-Guilhem en Languedoc. Elle est mentionnée dans les comptes des décimes en 1274,desservie par un procurator Sancti Desiderii (Pouillés,page 81). A la Révolution le domaine est vendu en totalité à un seul acquéreur. Une chapelle dessert le domaine,élevée près du château. Rebâtie entièrement,mal orientée,il n’est pas sûr qu’elle soit l’église originelle du prieuré.
Pont du Riau
Le pont de pierres (bâti en galets de rivière) qui était emprunté par l’ancienne route suivant la rive gauche de la Durance: sa voûte est à 15 m au-dessus du ruisseau du Riau.Rapports et délibérations pont du Riau année 1840 Source: procès-verbal des délibérations du conseil du département des Basses Alpes. Session de 1840.DIGNE Mme Ve A.GUICHARD,IMPRIMEUR DE LA PRÉFECTURE,7 PLACE DE L’ÉVÊCHÉ.1840Le conseil de l’arrondissement de Sisteron sollicite la construction d'un pont sur le torrent de Riau,dans la partie de la route n°17,comprise entre Sisteron et Valernes. Six cents francs votés par la commune de Valernes,dans l'espoir que la route se dirigerait aux abords du bourg,pourraient être appliquée au pont sur le Riau. La commune adhère à ce changement de destination. M.Machemin,membre du conseil général,offre de céder gratuitement les terrains nécessaires à la rectification aux abords du pont,et il se chargerait en outre du transport de la chaux et du sable. La construction dont il s'agit,évaluée approximativement à 6,000fr,procurerait l’adoucissement de deux pentes très rapides,et une rectification bien entendue.
Éolienne
En bout de champs,en lisière du bois,se trouve une ancienne éolienne début XX° siècle qui actionnée une pompe alimentant en eau de Durance,le bassin du Château Saint-Didier. © BassesAlpes.villes.villages