Top 15 Things To Do In Mons, Belgium
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Here are top 15 things to do in Mons, Belgium
All photos belong to their rightful owners. Credit next to name.
1. Collegiale Sainte-Waudru -
2. St Symphorien Military Cemetery -
3. The Beffroi de Mons -
4. The Silex Museum -
5. Strépy-Thieu Boat Lift -
6. Musee Francois Duesberg -
7. Hotel De Ville -
8. Mons Memorial Museum -
9. BAM -
10. The Artotheque Museum -
11. Visit the “paper Google” -
12. Explore the Musee du Doudou -
13. Food and Drinks -
14. Pop into Van Gogh’s House -
15. The Sunday market -
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La Ville de Mons ouvre 5 nouveaux musées
Présentation des nouveaux lieux d'histoire, de patrimoine et de culture : l'Artothèque, le Mons Memorial Museum, le Musée du Doudou, Silex's et le Beffroi (accessible au public à la mi-juillet 2015)
Mons Memorial Museum
Musée, lieu de réflexions, espace de questionnement, … Autant de dénominations pour définir le Mons Memorial Museum !
Ce nouvel espace muséal invite les visiteurs de tous âges à s’interroger sur les réalités multiples et complexes des phénomènes guerriers. Une vaste exposition permanente confronte le public à l’histoire singulière de la ville de Mons ainsi qu’aux événements internationaux des deux guerres mondiales et des périodes qui les enserrent.
À travers le destin d’hommes et de femmes témoins des événements, le visiteur est plongé dans le vécu quotidien des soldats et des civils en période de guerre. Ces témoignages forment le véritable fil conducteur de la visite et viennent donner vie aux objets présentés. Par ces lettres, carnets de note et interviews, c’est un regard sensible qui est jeté sur les événements traités dans le Mons Memorial Museum.
Les objets exposés, sélectionnés parmi les 5000 que comptent les collections d’histoire militaire de la ville de Mons, posent une réflexion fondamentale sur les rapports entre population civile et militaire. Réflexion qui prend corps dans un parcours conduisant le visiteur du Moyen Âge, en passant par l’Ancien Régime, jusqu’aux deux guerres mondiales. Celle-ci peut se poursuivre dans la salle d’exposition temporaire qui propose régulièrement aux visiteurs un focus sur un sujet d’histoire militaire.
monsmemorialmuseum.mons.be
Mons ExPeRiEnCe
Capitale européenne de la Culture en 2015
Ville aux 4 chefs d’œuvre UNESCO
Mons, une Ville et bien plus encore...
Découvrez la #monsexperience
visitmons.be
mons2015.eu
mons.be
Vlog???? / جولة يوم الاحد في مدينة???? Mons -???? وفي متحف الفن
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سلام حبيباتي نتمنى تكونو لاباس
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La Grand-Place est le véritable coeur de la ville historique. Elle se situe tout près des rues commerçantes et du beffroi. Elle est pavée à la manière des vieilles villes et abrite de nombreux cafés et restaurants, ainsi que l'hôtel de ville
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Artothèque Mons
Adresse : Rue Claude de Bettignies 1, 7000 Mons
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Pour tous contact professionnel :
aichaprof93@outlook.fr
AgwA + Ney & Partners - Covering of the Carré des Arts, Mons
AgwA architecture office and Ney & Partners engineers were commissioned the development of a retractile membrane roof for the exceptional heritage military building known as the Carré des Arts. In the framework of Mons 2015 European Capital of Culture, the courtyard houses the Festival au Carré and other events run by the arts school Arts², the city and the regional cultural leader Le Manège in Mons (be) and Maubeuge (fr). The space can host up to 1200 persons. The courtyard, the largest open air courtyard in the city center, is now covered by five large membrane vaults responding the archs and rythm of the building. The membranes can be completely removed, leaving the heritage building intact. The special structure was designed in order to allow a very easy and fast handling from the ground and to integrate all structural reinforcements in the thickness of the existing concrete structure. The belgian artist Jean-Luc Moerman painted an immense network of curves on the asphalt of the courtyard : a new floor echoeing the new sky.
Credits :
Project by AgwA + Ney & Partners for the Ministry of the French Community
Art work byJean-Luc Moerman
Video by Jean-Sébastien Hermant
Musée des Beaux-Arts de Mons
Descrizione
Vice Versa 2.0 (2015) - Rencontre Arts Science (de la recherche à la création numérique)
Vice Versa croiser et donner une visibilité à la recherche appliquée et la création numérique dans leurs aspects les plus innovants
Après une première édition engageante de Vice Versa (de la recherche à la création numérique) en 2014, Transcultures et son partenaire scientifique/recherche appliquée numediart (Institut de recherche pour les technologies des arts numériques de l’UMONS) se sont à nouveau associé pour donner une visibilité à une sélection récente d’œuvres artistiques numériques immersives, participatives ou encore interactives (dans les cadres du Festival des arts numériques de la Fédération Wallonie Bruxelles et de la Quinzaine numériques Mons 2015).
C’est dans cette optique que s'est inscrit Vice Versa 2.0. Cette après-midi de rencontre et de présentation de projets numériques innovants proposée par Transcultures en partenariat avec l’Institut de recherche numediart (UMONS), convoque à la fois des chercheurs, des créateurs et des responsables de structure à présenter leurs travaux et partager leurs réflexions sur ces enjeux artistico-scientifiques, au public, dans une ambiance conviviale propice au dialogue.
Au programme cette seconde édition (accueillie par la nouvelle Artothèque de Mons) : des présentations de numediart (UMONS – Thierry Dutoit), de l’Université Lille 1 (Laurent Grisoni et Cécile Picard-Limpens), de la DG Connect (Commission européenne-présentation de l’initiative STARTS – Science Technology and the Arts), de Transcultures et de Thierry de Mey qui présentera l’installation Solid Traces en collaboration avec la Trisha Brown Dance Company et la chercheuse Joëlle Tilmanne.
Egalement des installations, « works in progress » et démos Art/ Science de Pauline de Chalendar, Jacques Urbanska, Pao Paixao, Nicolas d'Alessandro / Hovertone avec des membres de l’UMONS Digital Orchestra, François Zajéga, Stéphane Dupont, Omar Seddati, Christian Frisson, Gueorgui Pironkov, Saïd Mahmoudi, Joelle Tilmanne, Vincent Corboulay, Matei Mancas, Anthony Rouneau, Tom Mens, Naonekt.
En fin de journée le Giant Play, un jeu-mapping sur la façade du bâtiment rue de Houdin de l’UMONS.
Niki de Saint Phalle à Mons
SILEX'S
Reconnu par l’UNESCO en 2000, le site archéologique de Spiennes est l’un des plus anciens et des plus vastes centres d’extraction de silex d’Europe. Parsemé de milliers de puits de mines, le site s’étend sur 100 hectares, à 6km de la Ville de Mons.
En creusant notamment des puits de mines allant jusqu’à 16 mètres de profondeur, l’homme du néolithique a mis en place les techniques nécessaires pour extraire de grandes dalles de silex pesant parfois plusieurs centaines de kilo. Il a également développé une spécialisation des techniques de taille aujourd’hui reconnue en tant que témoignage du génie humain.
Situé au cœur d’un écrin vert, le « SILEX'S », centre d’interprétation des minières néolithiques de Spiennes permet de comprendre toutes les facettes de ce site archéologique à la réputation internationale. Balades didactiques en extérieur, visite de l’exposition semi-permanente, descente dans une véritable minière néolithique sont proposées aux visiteurs (sur réservation uniquement via l'Office de Tourisme : 065/39.59.39).
Un projet cofinancé par l’union Européenne, la Région Wallonne/CGT et la Ville de Mons.
silexs.mons.be
Mons et le Mundaneum
Mons, ville aux 3 chefs-d'œuvre de l'Unesco, et ses Montois si accueillants ! Antoine et Tania partent à la découverte du Mundaneum, le Google de papier, l'ancêtre d'Internet. Puis ils vont se perdre dans les ruelles du centre historique, observer la ville depuis le jardin du beffroi, goûter à la gastronomie belge... Mons c'est aussi la rencontre de la culture et de la technologie et la future Capitale européenne de la culture en 2015. Aux côtés de Delphine et de Ludovic (avec son triporteur), Montois investis et passionnés, les reporters de MonNuage découvrent la légende du Doudou : le combat entre le dragon et Saint-Georges.
Musée du Doudou
De l’originalité de la Ducasse rituelle de Mons (reconnue par l’UNESCO en 2005) à la légende de saint Georges, entre réalité et imaginaire, le Musée du Doudou s’attache notamment à comprendre et à valoriser les différents aspects de cette histoire universelle et multiséculaire. L’espace invite le visiteur à découvrir ce patrimoine exceptionnel, mis en valeur à travers différents regards : historique, anthropologique, scientifique, artistique, laïc ou religieux.
museedudoudou.mons.be
Musée du Doudou
Découvrez la Ducasse de Mons reconnue par l’UNESCO en 2005.
Une oeuvre, un musée (4): Chanoine Puissant.mp4
Le BAM Mons le 1 février 2015 Expo Vincent van Gogh
Le BAM Mons le 1 février 2015 Expo Vincent van Gogh
Mons 2015 - Visite de la collégiale Ste Waudru grâce à un jeu vidéo sur tablette
Pierre Hermant Batibouw 2015 pour Max25
36 ans, Pierre Hermant a déjà bien bourlingué. Après des études en sciences politiques et économiques, une gestion d’entreprises à l’Ichec, un master en études européennes et, pour finir, un MBA à la Vlerick Business School de Leuven, l’homme a, dans le désordre, dirigé le Salon de l’auto à quatre reprises, créé deux magazines (Buzz et Diplomatic World), travaillé dans le cadre d’institutions européennes pour un ministre d’Etat, dirigé le service événements de la FEB ou encore veillé à la bonne tenue du European Business Summit. Et on allait oublier la direction générale de la Febiac et une mission provisoire à Brussels Expo pendant laquelle il devait entre autres restructurer les Salons de l’alimentation, des vacances et le salon Zenith dédié aux seniors.
Aujourd’hui, le voilà bombardé administrateur délégué du « pôle salons » au sein de Fisa, la société organisatrice de Batibouw. Pas une mince affaire puisque la carte de visite du Nivellois mentionne pas moins de douze salons. « Mon rôle est de créer des synergies entre les différents salons pour les rendre plus forts, explique-t-il attablé dans un bar de Nivelles où toute la décoration est dédiée à l’automobile (tiens, tiens…). Le Belge est friand de salons, il les attend pour venir acheter. En améliorant les synergies, on améliore la qualité des services fournis à nos exposants. En matière de communication aussi, il y a un intérêt à travailler groupé. »
Pour Batibouw, Pierre Hermant avoue ne s’être concentré que sur l’aspect communication et sur la rédaction des dossiers de presse. « A terme, je voudrais arriver à fournir une information de plus en plus facile à digérer pour le client car un salon doit avant tout aider le visiteur à trouver ce qu’il recherche, dit-il. Je vais profiter de cette édition de Batibouw pour discuter avec les exposants et les visiteurs. Je vais être à leur écoute pour voir quels changements on peut apporter qui soient profitables pour tout le monde : l’organisateur, l’exposant et le client. »
Le salon à la tortue, Pierre Hermant dit l’avoir fréquenté à de maintes reprises par le passé. En tant que simple visiteur. « C’est là qu’une année, j’ai découvert que des terrains allaient se libérer à Nivelles, se souvient-il. Là aussi que j’ai découvert pour la première fois les systèmes de douche économiseurs d’eau. Là encore que j’ai trouvé un feu ouvert au gaz pour mon salon avec une ouverture directe vers le mur extérieur. Et là, enfin, où j’ai choisi toutes mes cuisines… »
Car l’homme a déjà construit… cinq fois dans sa vie. « Et toujours dans Nivelles et sa région !, affirme-t-il fièrement. La première fois, c’était en 2003. Il s’agissait d’une maison que j’ai très bien revendue par la suite. Et j’ai répété le schéma à quatre reprises. Ma dernière construction, je suis entré dedans en septembre dernier… »
Un constructeur dans l’âme Pierre Hermant ? « Je ne dirais pas ça même si avec le Salon de l’auto, je construisais une ville de 185.000 m2 chaque année !, plaisante-t-il. Et quand je travaillais à la Febiac (NDLR : la Fédération belge de l’automobile et du cycle installée à Woluwe), j’ai coordonné la rénovation de la Maison de l’automobile, dans une tour de sept étages où j’ai dû m’occuper de matières très techniques comme le HVAC (chauffage, ventilation et air conditionné), la mise en place de plateaux ouverts ou de plafonds froids. La remise à neuf totale de ce building bruxellois datant de 1977 a pris trois ans. »
Sa rencontre avec Philippe Lhomme, le grand patron de Deficom à laquelle est rattachée Fisa, remonte à 2005. « C’était en 2005. J’accompagnais Didier Malherbe aux Rencontres au sommet de Deauville, un événement d’affaires qui rassemble pendant quatre jours 350 patrons, hommes politiques et personnages académiques. Philippe est quelqu’un qui m’a toujours pas mal inspiré. »
Passionné de décoration (son téléphone portable est rempli de photos d’objets repérés un peu partout), Pierre Hermant se dit sensible à la thématique du bois, un des thèmes qui seront développés à Batibouw. « J’aime le mix-match, cette tendance qui consiste à mixer les différents types de bois, déclare-t-il ainsi. C’est ce que j’ai fait chez moi. Mon bureau est constitué d’une planche qui a été posée sur une énorme racine d’un arbre. Un ami qui me l’a ramené d’Asie. »
Avant de se quitter, l’homme tient à faire passer un message. « Construire ou rénover, c’est beaucoup plus simple qu’on ne croit. Une fois qu’on est bien renseigné, et un salon comme Batibouw est là pour ça, c’est une démarche relativement simple. Je veux déconstruire les préjugés existants… »
Et il a le sens de la formule en plus…
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