Michel Foucault Werner Schroeter, la conversation (1981) by Gérard Courant
Réalisation, montage, son, effets spéciaux : Gérard Courant.
Voix : Michel Foucault, Werner Schroeter, Gérard Courant.
Production : Les Amis de Cinématon, Les Archives de l’Art Cinématonique, La Fondation Gérard Courant.
Diffusion : Les Amis de Cinématon.
Enregistrement : 3 décembre 1981 à Paris (France).
Format de diffusion : Vidéo.
Cadre : 4/3.
Procédé : Noir et blanc.
Collection publique :
BNF (Bibliothèque nationale de France), Paris (France).
Cinémathèque de Bourgogne-Jean Douchet, Dijon (France).
Dédicace : Le film est dédié à Maria Callas.
Année : 1981.
Durée : 1 H 29' 31''.
Michel Foucault Werner Schroeter, la conversation (1981) est, après Vivre à Naples et mourir (1978) et Il faut le sauver ! (1980) et avant Werner et Nenad (2009), la troisième des quatre rencontres cinématographiques que j'ai eues eu avec Werner Schroeter. À la différence des deux premières, cette fois-ci, une personnalité extérieure à l'oeuvre du cinéaste allemand s'est jointe à cette rencontre. Mais quelle personnalité ! : le grand philosophe Michel Foucault.
En 1973, à l'époque de la sortie de La Mort de Maria Malibran, Michel Foucault fut enthousiasmé par ce film. À cette occasion, le philosophe écrivit un très beau texte poétique qui enchanta Werner Schroeter et, depuis, chaque fois qu'on lui demandait ce qu'il pensait de ce qu'on écrivait sur ses films, le réalisateur d'Eika Katappa rend invariablement hommage à ce texte de Michel Foucault, qu'il tenait pour l'analyse la plus pertinente et la plus juste consacrée à son travail. Mais le philosophe et le cinéaste ne se connaissaient pas. Ainsi, quand je lui proposais d'écrire un livre sur son œuvre, Werner Schroeter accepta l'idée avec joie mais il insista pour que j'organise une rencontre informelle entre lui et le philosophe. Ce que je fis. Nous nous rencontrâmes, Werner Schroeter, Michel Foucault et moi, chez le philosophe au début du mois de décembre 1981. La discussion qui s'en suivit se déroula dans les conditions d'une rencontre amicale : Michel Foucault était allongé sur la moquette et Werner Schroeter, assis face à lui, animait l'espace de ses grands gestes et de sa voix puissante. Entre eux, un magnétophone enregistrait leur dialogue. Quant à moi, après avoir mis mon duo en situation, j'avais choisi de rester le plus discret possible afin de ne pas interférer leur dialogue. Ils ont longuement discuté.
La transcription de cette discussion se trouve dans le livre Werner Schroeter, édité en janvier 1982 par la Cinémathèque française et le Goethe-Institut de Paris dans un chapitre intitulé Conversation.
Ce dialogue fut ensuite mis en images. Mais la qualité technique de cet enregistrement est médiocre et, parfois, la conversation est difficilement audible. Nous avons préféré la conserver et la livrer telle quelle au spectateur afin de ne rien manquer de cette rencontre au sommet.
Michel Foucault et Werner Schroeter parlent de la passion, du suicide, de la mort et de l'homosexualité. Ils parlent aussi de Patrice Chéreau, Daniel Schmid, Ingrid Caven, Maria Callas, Jean Eustache, Antonio Orlando, Magdalena Montezuma et Christine Kaufmann.
Les deux hommes abordent aussi les films du cinéaste : La Mort de Maria Malibran, Willow Springs, Le Règne de Naples, Palermo oder Wolfsburg et l'opéra Lohengrin de Richard Wagner, mis en scène par Werner Schroeter.
Gérard Courant.
Rue Delambre Paris Arrondissement 14e
Rue Delambre
Arrondissement 14e
Longueur 200 m
La rue Delambre a été ouverte en 1839.
Elle doit son nom à l'astronome, mathématicien et géodésien français Jean-Baptiste Delambre qui fut directeur de l'Observatoire de Paris situé non loin de là.
Jean-Paul Sartre y demeure quelque temps à son retour du Havre en 1937, dans une chambre d'hôtel, alors qu'il enseigne au lycée Pasteur à Neuilly.
Il fréquente le bar le « Rosebud » situé au 11bis. Simone de Beauvoir, elle, s'installe à l'hôtel des Bains, au no 33, au printemps de la même année.
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REPORTAGE : LA GENDARMERIE, UNE FORCE HUMAINE
Description :
Nous sommes habitués à les croiser quotidiennement et leur présence bien souvent nous rassure : les gendarmes.
Mais que connaissons-nous exactement de cette institution, héritière de la Monarchie et enfantée par la République.
Représentante de l’autorité de la République dans l’ensemble des territoires métropolitains et d’outre-Mer, la gendarmerie est en mesure d’accomplir l’ensemble de ses missions dans toutes les situations susceptibles de se présenter sur le territoire national (en temps de paix comme en temps de guerre).
Placée sous la tutelle du Ministère de l’Intérieur depuis 2009, elle conserve néanmoins son statut militaire notamment pour les opérations extérieures (OPEX).
SES MISSIONS :
-Rassurer et protéger
-Enquêter et interpeller
-Sécuriser et maintenir l’ordre
-Intervenir et Défendre
-Aide aux victimes.
Pour assurer toutes ses missions, la Gendarmerie Nationale recrute.
Pour bénéficier d’une information complète, il suffit de contacter le C.I.R (Centre d’Information et de Recrutement).
Nous avons rencontré le Lieutenant-Colonel Philippe TRAON et Lise-Marie GAUTIER, Maréchale des Logis Chef :
vidéo
UN PEU D’HISTOIRE :
La gendarmerie est l'héritière des maréchaussées dont la création remonte à la guerre de Cent ans (1337 – 1457) pour contrôler les débordements des troupes. La déclaration du 25 janvier 1536 étend la compétence de ces compagnies à la population civile. La création des brigades remonte aux réformes entamées par Colbert à Paris en 1668, système qui est parachevé par Claude le Blanc en 1720. Les réformes du XVIIIe siècle créent la première force de police à caractère national. L'édit de 1720 sédentarise les unités, permettant ainsi une continuité dans le service. Après la réforme de 1778, toutes les compagnies ne forment plus qu'un corps unique : la maréchaussée, comptant 4 114 hommes à la veille de la Révolution. Cette période est décisive puisqu'elle détermine les attributions de la maréchaussée puis de la gendarmerie pour plusieurs siècles : rechercher et poursuivre les malfaiteurs, assurer la libre circulation des biens et des personnes, observer la bonne marche des troupes, veiller au bon ordre dans les fêtes et autres assemblées, maintenir en toutes circonstances la sûreté et la tranquillité publiques.
Le 16 février 1791, une loi organise et crée une nouvelle institution, héritière de l'ancienne maréchaussée : la gendarmerie nationale. La loi du 28 germinal an VI (17 avril 1798), considérée comme « la grande Charte » de la gendarmerie, vient réformer le corps et augmente les effectifs qui passent à 10 000 hommes .Elle codifie les principes d’action et les missions de l’Institution, précisant notamment ses attributions en matière de police administrative et de police judiciaire. Cette loi fut, avec le décret organique du 20 mai 1903, le principal fondement du service de l’Arme jusqu’à la loi du 3 août 2009.
Au 1er juillet 2005, la Gendarmerie nationale a procédé à une réorganisation de sa chaîne de commandement territorial, s’inscrivant ainsi dans le processus de réforme de l’État. Elle s’articule En 22 régions de gendarmerie correspondant aux 22 régions administratives. Chaque commandant de région exerce son autorité sur les unités territoriales de sa région et se trouve directement subordonné au directeur général de la Gendarmerie nationale.
Liens utiles :
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Meeting aérien de France du 9 juillet 2017 DIJON - LONGVIC
BONNES VACANCES POUR CET ETE 2017
Ce dimanche 9 juillet 2017, le meeting aérien de France s'est déroulé sur lancienne base aérienne militaire Capitaine Georges GUYNEMER BA 102, dissoute en juin 2016.
La base aérienne 102 était une base de l'Armée de l'air française située au sud de Dijon, dans le département de la Côte-d'Or, sur le territoire des communes d'Ouges, de Longvic et de Neuilly-lès-Dijon.
Avec plus d'un siècle d'exploitation de l'aérodrome sur lequel elle était implantée, cette prestigieuse base aérienne figurait parmi les bases françaises les plus chargées d'histoire. Toutefois, frappée par les mesures de restructuration de la Défense, elle a vu ses derniers avions – les Alphajet de l'escadron d'entraînement 2/2 « Côte-d'Or » – quitter sa plate-forme à l'été 2014, et fut dissoute le 30 juin 2016, après 102 ans d'existence.
Depuis le 1er septembre 2016, une école de la gendarmerie nationale française est ouverte sur le site.
La Patrouille Breitling ou Breitling Jet Team est basée sur l'aéroport civil de Dijon-Bourgogne, voisin de l'ancienne Base aérienne 102 Dijon-Longvic.
Vidéo mise en ligne en attendant la rentrée de septembre prochain, pour le plaisir des yeux. Bon visionnage.
Vive la Bourgogne
Start up Yack 9. July 2010. Dijon Darois.
Le Yakovlev Yak-9 est un avion de chasse soviétique de la Seconde Guerre mondiale.
Au cours du printemps 1942, les alliages d'aluminium redevinrent plus courants en URSS et l'équipe de Yakovlev décida de concevoir une version de reconnaissance à long rayon d'action du Yak-7, le Yak-7D. Une nouvelle voilure fut conçue, avec une envergure plus courte mais la même surface alaire.
La production en série commença avant la fin de l'année et dès décembre 1942, les premiers exemplaires arrivèrent dans les unités de combat. Au début de 1943 apparut la première variante, le Yak-9T, le T signifiant Tiajélowooroujényï (lourdement armé), qui embarquait en lieu et place du canon ChVAK de 20 mm, un NS-37 de 37 mm tirant lui aussi entre les pales. Pour laisser la place à la culasse de cet imposant canon, l'habitacle fut reculé de quarante centimètres. Après les essais, cette variante arriva dans les unités au printemps 1943. Dans le même temps, la VVS, maintenant que l'Armée rouge avançait, avait besoin de chasseurs à plus long rayon d'action pour compenser la possible absence d'aérodromes avancés. Le besoin fut satisfait par le Yak-9D qui, récupérant quatre réservoirs d'aile, avait un rayon d'action de 1400 kilomètres, au lieu de 900. Déployé dès 1943, le Yak-9D fut cependant grandement amélioré par les études aérodynamiques du TsAGI, au début 1944 pour compenser l'augmentation de masse due aux réservoirs supplémentaires.
Pour simplifier la production en évitant les différences entre le Yak-9D et le Yak-9T, on décida de reculer aussi le poste de pilotage sur le premier. La modification donna naissance au Yak-9M qui entra en production au printemps 1943. Le recul du poste de pilotage fut assez populaire chez les pilotes car, sans dégrader outre mesure la visibilité dont ils bénéficiaient, il supprimait la tendance à piquer dont le Yak-9 avait hérité de son ancêtre le Yak-7 qui le rendait moins vif dans les manœuvres que le Yak-1B. Les améliorations comprenaient aussi l'emploi d'une canopée largable, pour faciliter l'évacuation de l'appareil, et des filtres à air améliorés.
Le Yak-9 fut entre autre l'appareil du Groupe de chasse Normandie-Niémen et du 1er régiment de chasse polonais. Il servit de monture à de nombreux as, comme Alexandr Pokrychine titulaire de 59 victoires, Grigori Retchakov de 56 et Dimitri Glinka de 50. Les Yak-9DD de la 236e division de chasse (IAD) fournirent l'escorte aux bombardiers américains qui attaquaient les champs pétrolifères en Roumanie. Ils appuyèrent quelque temps les partisans yougoslaves, en opérant à partir de Bari en Italie.
The first Yak-9 entered service in October 1942 and first saw combat in late 1942 during the Battle of Stalingrad. The versatile Yak-9 operated with a wide variety of armament for use in anti-tank, light bomber and long-range escort role. At low altitude in which it operated predominately, the Yak-9 was faster and more maneuverable than its main foe, the Bf 109, but was far less-well armed. A series of continual improvements in performance and armament did not hamper the superb handling characteristics that allowed its pilots to excel at dogfighting. Soviet pilots regarded the Yak-9's performance on the same level of the Bf 109G and Fw 190A-3/A-4.[1]. A Luftwaffe order was made regarding the Yak-9: On no account should pilots engage Yak fighters with a oil cooler intake under the nose. The 9 and its predecessors looked so similar that German pilots were likely to get a nasty dream surprise if they engaged a Yak-9 expecting to be fighting an earlier model. In later series Yak-9s. the nose intake was deleted with its function moved to wing root intakes... from Normandie Niemen
Les missions locales en Bourgogne Franche-Comté
Nées en 1982 sous le gouvernement Mauroy, les missions locales accompagnent les 16-25 ans dans tous les aspects de leur vie sociale, de la santé au logement, en passant évidemment par l'emploi. Chaque année, 1,5 million d'entre eux poussent la porte d’une mission locale, soit plus de 10% de la tranche d’âge.
Acteur territorial des politiques publiques, la Mission Locale assure en effet des fonctions d’accueil, d’information, d’orientation et d’accompagnement des jeunes. Avec ses 446 structures, ses 5 000 lieux d’accueil et ses 13 000 salariés, ce réseau est le premier service public de proximité dédié à leur insertion professionnelle et sociale.
En Bourgogne-Franche-Comté, les 26 Missions Locales sont le premier réseau d’accueil, avec plus de 200 sites sur l’ensemble du territoire régional et près de 500 professionnels mobilisés.
Les chiffres du réseau Bourgogne-Franche-Comté (2015) :
18 874 premiers accueils
49 569 jeunes reçus en entretien
30 186 situations professionnelles (emploi/formation)
Avec Bathily Ibrahima, directeur de la mission locale du Chalonnais, gros plan sur le programme 100 chances 100 emplois, conçu par Schneider Electric et dont Chalon-sur-Saône fut la ville pilote en septembre 2004 et qui vise à répondre aux besoins des jeunes (18 à 30 ans) issus essentiellement des quartiers prioritaires de la Politique de la Ville. Il propose des parcours individualisés pour leur faciliter l’accès à un emploi durable.
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Tour Auto 2019 - Dijon-Lyon (étape 2)
Après avoir pris la mesure de l’épreuve et effectuer les derniers réglages de leur voiture lors de la première journée du Tour Auto Optic 2000, les concurrents quittent la ville de Dijon en direction du stade historique de Lyon, Gerland. La seconde étape, longue de 500km environ, sera ponctuée de deux épreuves spéciales et d’une épreuve sur piste.
Lors de cette seconde matinée, les équipages ont arpenté les routes jusqu’au Sud Morvan, à Autun, pour la première épreuve chronométrée du jour. Ce terrain habitué des épreuves de rallye a vu s’élancer tour à tour les bolides, à commencer par les plateaux de Compétition.
Les concurrents ont ensuite poursuivi leur cheminement jusqu’au circuit de Nevers Magny-Cours où ils se sont à nouveau confrontés au temps. Le circuit fût également le lieu de déjeuner pour tous les équipages.
Après cela, le peloton a repris la route en direction de la seconde épreuve spéciale proposée ce-jour, dans le village rhodanien de Marchampt. Finalement, il fallut encore quelques forces aux pilotes pour reprendre la route qui menait jusqu’au parc-fermé de Lyon, situé devant le Stade Gerland.
Demain, les concurrents engagés dans la 28ème édition du Tour Auto Optic 2000 se rendront un peu plus au centre de l’hexagone, à Vichy, ville d’arrivée de la troisième étape. Pour arriver au Parc des Sources, ils devront au préalable affronter le chronomètre des spéciales par trois fois. Au Pays du Gier et à Montbrison du côté de la Loire, et à Augerolles dans le Puy-de-Dôme.
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#TourAuto
Attribution de compensation : que dit le juge ?
En intercommunalité à fiscalité professionnelle unique (communautés de communes à FPU ; communautés urbaines, communautés d'agglomération et métropoles) se pose la question du calcul des charges transférées, du fonctionnement de la CLECT (ou CLETC) et donc, in fine, de l'attribution de compensation (AC).
Ces questions se font dans un cadre moins consensuel qu'autrefois, l'argent public intercommunal se faisant plus rare... D'où l'importance de regarder de près les jurisprudences les plus récentes (dont deux gagnées ces jours derniers par notre cabinet).. via cette petite vidéo présentée par Eric Landot, Benjamin Carrey et Arnaud Barthélemy, tous avocats au cabinet Landot & associés :
Sources :
• TA Dijon, 9 octobre 2018, Cluny, n° 1600007
Voir :
• TA Châlons-en-Champagne, 29 janvier 2019, Joinville, n°1700973 :
Voir :
• TA Orléans, 7 mars 2019, Communes des Autels-Villevillon et de la Chapelle-Royale, n° 1800622 et 1800623
Voir :
• TA Orléans, 4 mai 2016, communes de M et L c/ Ch. M., n° 1502921 et 150042
Voir :
• CAA Nantes, 21 février 2014, n°12NT02774.
Voir :
• TA Orléans, 4 août 2011, Cne de Gien, n°1101381 (sur la désignation des membres de la CLECT) :
Voir :
Débat sur l'avenir de la prévoyance professionnelle à long terme
Lors de l’Assemblée Générale de la Fondation Collective Trianon du 14 septembre 2017, une table ronde sur l’avenir de la prévoyance a été organisée. Ce débat fût orchestré par Mme Esther Mamarbachi et réunissait des spécialistes de différents horizons :
- M. Philippe Wanner, Professeur à l’Institut de démographie et socio économie de l’Université de Genève
- Mme Aline Isoz, indépendante et chroniqueuse, experte en transformation digitale des entreprises, alineisoz.ch
- M. Xavier Oberson, Professeur à la Faculté de droit de l’Université de Genève, Avocat, Docteur en droit/LL.M. (Harvard), Oberson Abels SA
- M. Marco Simeoni, Ingénieur en télécommunications, entrepreneur dans l’âme, Président et Fondateur de la Fondation Race for Water
- M. Nicolas Girardoz, Expert en assurances de pensions, membre de l’association Innovation Deuxième Pilier, Directeur, Trianon SA
- M. Edouard Comment, HR Project Manager, Union Bancaire Privée (UBP)
Par le biais de pistes de réflexions sur le devenir de la société, les participants tentent de répondre aux questions relatives à l’avenir de la prévoyance.
- Quelles seront les nouvelles formes de rapport de l’individu au travail?
- Quelle seront les nouvelles formes de travail?
- Quels seront les impacts sur le système de prévoyance?
JRX 2│OVNI 1 (LES ORIGINES)
Sujet aussi vaste que complexe, le sujet OVNI a perduré avec le temps et pour cause, le mystère plane toujours autant. Voici la première partie de mon enquête concernant les OVNI.
NOUVEAU! Vous pouvez désormais me soutenir via uTip
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#revelateurx #ovni #documentaire
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Musiques:
► Roman Grau - Fly Fallen
► Abandonned Toys - The Witch garden prelude
► Thriller Background music film atmosphere theme
► David Schombert - Lightless sensation
► Factory of Echo - Eidolons sighted on methuselah
► Izhorian - Approaching the quasar
► Existence - The Beginning
► James Opie - Support me in this moment that I'm about to lose heart
► Thend - The Bane of Tadziu
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Besançon video Une visite en image
Besançon est malheureusement beaucoup trop méconnue en France et encore moins à l'étranger et pourtant c'est une ville remarquable tant par ses monuments, gastronomie et l'histoire unique de sa région trop souvent oubliée : ville romaine, province du saint empire puis fière région espagnole qui dans le sang et contre la volonté des franc-comtois est devenue française en 1678. Cette petite video pour tenter de faire connaître notre ville et région.
Quelques citations :
Dans Le Siècle de Louis XIV (1751), Voltaire explique cet attachement à l'Espagne par ces mots :
« Cette province, assez pauvre en argent mais très fertile, bien peuplée, étendue en long de quarante lieues et large de vingt, avait le nom de Franche et l'était en effet. Les rois d'Espagne en étaient plutôt les protecteurs que les maîtres. Quoique ce pays fût du gouvernement de la Flandre, il n'en dépendait que peu. Toute l'administration était partagée et disputée entre le parlement et le gouverneur de la Franche-Comté. Le peuple jouissait de grands privilèges, toujours respectés par la Cour de Madrid qui ménageait une province jalouse de ses droits, et voisine de la France. Besançon même se gouvernait comme une ville impériale. »
« Jamais peuple ne vécut sous une administration plus douce, et ne fut si attaché à ses souverains. Son amour pour la maison d'Autriche s'est conservé pendant deux générations ; mais cet amour était, au fond, celui de la liberté. »
Jules César,
En 58 avant J.-C., après avoir vaincu les Helvètes, Jules César est informé qu'Arioviste, chef du peuple germanique des Suèves, se dirige vers Vesontio (Besançon), la capitale des Séquanes. Il nous donne alors une brève description de l'oppidum:
César pensa qu'il fallait tout faire pour éviter que la place ne fût prise. En effet, elle possédait en très grande abondance tout ce qui est nécessaire pour faire la guerre ; de plus, sa position naturelle la rendait si forte qu'elle offrait de grandes facilités pour faire durer les hostilités : le Doubs entoure presque la ville entière d'un cercle qu'on dirait tracé au compas ; l'espace que la rivière laisse libre ne mesure pas plus de seize cents pieds, et une montagne élevée le ferme si complètement que la rivière en baigne la base des deux côtés. Un mur qui fait le tour de cette montagne la transforme en citadelle et la joint à la ville.
Victor Hugo, Les Feuilles d'automne
Dans le premier poème de ce recueil, qui n'a pas de titre mais qui est connu sous l'intitulé Ce siècle avait deux ans, Victor Hugo évoque sa naissance à Besançon, où il a vu le jour le 26 février 1802 (d'où la première strophe).
Ce siècle avait deux ans: Rome remplacait Sparte
Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte.
Et du consul déjà par maint endroit
Le front de l'empereur brisait le masque étroit.
Alors dans Besançon vieille ville espagnole
Cannabis, la drogue douce dont l'hypocrisie dure - #DATAGUEULE 11
Le cannabis est la drogue la plus populaire dans le monde. Qu'il s'agisse de production, détention, vente, achat ou simple usage, la législation française est l'une des plus sévère. Mais avec 40% des moins de 16 ans ayant déjà testé le cannabis, l'efficacité de cette répression semble relative...
Retrouvez toutes les sources de l’épisode 11, “Cannabis, la drogue douce dont l'hypocrisie dure” sur :
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PARIS, GARE DE LYON (PARIS, PARKED BY LYONS).wmv
Paris-Gare de Lyon est l'une des sept gares terminus du réseau de la SNCF à Paris. Désignée également gare de Lyon, elle est située dans le 12e arrondissement. Son code SNCF est PLY.
C'est à la fois une gare de grandes lignes assurant la desserte d'un grand quart Centre-Est/Sud-Est de la France, en particulier des villes de Belfort et Montbéliard (par l'intermédiaire de la gare de Belfort - Montbéliard TGV), Besançon, Dijon, Lyon, Grenoble, Valence, Avignon, Saint-Étienne, Marseille, Toulon, Nice, Montpellier et Mulhouse, une gare internationale (liaisons avec Genève, Lausanne, Neuchâtel, Berne, Bâle et Zurich en Suisse et avec l'Italie) et une gare du réseau Transilien (lignes Paris-Montereau via Héricy, Paris-Montereau via Moret et Fontainebleau et enfin Paris-Montargis) réalisant la desserte du sud-est de l'agglomération parisienne avec la ligne R du Transilien.
La gare de Lyon est aussi la tête de ligne des TGV Sud-Est, Rhône-Alpes et Méditerranée. C'est la troisième gare de Paris par son trafic (environ 83 millions de voyageurs par an), et la deuxième en termes de trains de grande ligne (31,8 millions, TGV inclus, derrière la gare du Nord). Elle offre aux voyageurs des correspondances avec deux lignes de RER (ligne A et ligne D) et deux lignes de métro (ligne 1 et ligne 14).
L'entrée principale, sur la place Louis-Armand, donne sur la rue de Lyon (qui, elle-même, conduit vers la place de la Bastille) et sur le boulevard Diderot.
Cette gare se distingue par son beffroi, tour carrée haute de 67 mètres et portant sur ses quatre faces des cadrans d'horloge.
Le buffet de la gare est le meilleur restaurant d'une grande gare, à ne pas confondre avec la buvette ou le café de la gare.
Au premier étage, par le grand escalier, se trouve le restaurant mythique style Second Empire, Le Train bleu, ainsi que son bar Le Big Ben. Il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 28 septembre 19724. Renommé pour sa cuisine lyonnaise, c'est le plus beau buffet de gare de Paris.
L'embarcadère de Lyon (I) fonctionne depuis 1847. Il est ouvert officiellement au public le 12 août 1849 sous le nom d'« Embarcadère de chemin de fer de Paris à Montereau ». Conçu par l'architecte François-Alexis Cendrier, ce n'est qu'un bâtiment de planches en attendant les arbitrages entre l'État français et la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM), première du nom. La compagnie du PLM était peu flattée d'arriver face à la maison d'arrêt de la Nouvelle Force dite « prison Mazas ». Elle espérait pouvoir aller jusqu'à la place de la Bastille. Le tracé a été utilisé pour la création de la rue de Lyon. Avec l'augmentation du trafic ferroviaire et la montée en puissance du PLM, cet embarcadère est agrandi à maintes reprises.
L'embarcadère devenant inadapté à l'accroissement du trafic, la gare de Lyon (II) fut construite sur des plans de François-Alexis Cendrier en 1855 comme terminus des lignes de la compagnie du chemin de fer de Paris à Lyon (PL) deuxième du nom. Cette gare est édifiée sur une levée de terre de 6 à 8 mètres destinée à la protéger des crues de la Seine. Elle ne comporte que cinq voies couvertes d'une grande halle de 220 mètres et large de 42. Un portique, enjambant l'entrée de la cour de l'Arrivée, à droite, reliait la gare proprement dite à un bâtiment d'administration centrale sur le côté, le Bâtiment X donnant sur le boulevard Mazas. Cette gare est détruite partiellement par un incendie lors de la Commune de Paris en 1871 et reconstruite à l'identique.
En 1900, les voyageurs visitant l'Exposition universelle de Paris arrivent dans une nouvelle gare de Lyon (III) à 13 voies, dessinée par l'architecte toulonnais Marius Toudoire. Elle est inaugurée le 6 avril 1901, par Émile Loubet, Président de la République.
Elle dispose désormais d'une façade sur la place Diderot (actuelle place Louis-Armand) et d'une tour horloge haute de 67 mètres, recouverte d'un dôme en zinc. Chaque face du fût, de section carrée, est large de 8,5 mètres ; le cube de l'horloge mesure 10 mètres de côté. On monte au sommet par un escalier de 400 marches. L'horloge monumentale est de Paul Garnier avec quatre cadrans de 6,4 mètres de diamètre et une surface de 140 m2 de vitraux. Les chiffres romains en laiton, sont peints à la main et mesurent un mètre de haut. Les aiguilles sont en aluminium ; la grande pèse 38 kg et mesure quatre mètres tandis que la petite pèse 26 kg et mesure 2,8 mètres. Les cadrans furent éclairés depuis l'intérieur par 250 becs à pétrole, jusqu'en 1929. Ils furent remplacés par un éclairage électrique, modernisé en 2005. Arrêtée suite à la tempête du 26 décembre 1999, cette horloge a été remise en marche le 15 février 2005 (avec son mécanisme d'origine.
Lien Tipeee :
Inauguration d'un nouveau bar-cave à bières à Port-Marianne, le My Beers
Avec 400 références au catalogue et des bières en pression nouvelles toutes les semaines, le My Beers devrait rassasier tous les amateurs de cervoise. Ambiance lors de la soirée d'inauguration le jeudi 26 octobre 2017.
Hubert Besacier | Performance : éléments pour une définition problématique
Intervention dans le cadre du colloque La performance : vie de l'archive et actualité, AICA-France/Villa Arson. 25, 26 et 27 octobre 2012
Session 2/8 : Définition et statut de la performance, 25 octobre, ponctuée de plusieurs interventions « minutes papillon » de Michel Giroud, peintre oral et tailleur en tout genre.
Allocution 1/3
Je propose d'aborder la question de la nature et du statut de la performance à partir de l'expérience que j'ai acquise sur le terrain, dans les années 70.
À partir de 1973, lorsque j'ai découvert dans la revue Artitudes le travail de Gina Pane, puis en organisant le symposium de performances de Lyon que nous avons fondé avec ORLAN (1979-1983).
Cet engagement s'étant amorcé sous la triple influence de la recherche théâtrale, des références picturales dont se réclamaient la plupart des actionnistes d'alors, et du mouvement Fluxus.
(La première manifestation de Lyon fut une exposition qui faisait suite à celle du musée de Bologne juste après la mort de Georges Maciunas).
Cela m'a amené rapidement à m'interroger sur les équivoques véhiculées par le terme de performance lui-même, sur les différences fondamentales entre acteur et actant, sur le rôle du corps, sur la gestion des traces et sur la spectacularité et a contrario, sur les qualités du ténu, du précaire, de la fragilité de l'instant.
Enfin, au cours des décennies d'enseignement à la Villa Arson, à L'Ensa de Bourges, à la Curtin university de Perth, à l'Ensa de Dijon et en accompagnant la recherche de plusieurs étudiants en histoire de l'art des universités de Grenoble et de Rennes, j'ai pu suivre avec attention le reflux du phénomène historique et la façon dont les jeunes générations d'artistes usent désormais de ce qui est devenu un outil à part entière parmi les multiples modalités de l'art contemporain.
Hubert Besacier
Critique d'art, organisateur d'expositions.
Membre de l'AICA.
De 1978 à 1983, co-directeur du Symposium International d'Art Performance (135 artistes internationaux).
De 1983 à 1996, il dirige l'association A PRIORI (Expositions, publications, réalisations de projets d'artistes).
Jusqu'en 2011, professeur des Ecoles nationales supérieures d'art : Ecole d'art de Marseille Luminy, Ecole pilote internationale d'art et de recherche (Villa Arson) à Nice, Ecole nationale des Beaux- arts de Bourges, Divisional Research Fellow Curtin University - Perth (Western Australia) et Ecole nationale supérieure d'art de Dijon.
Publications (sélection) :
Outre les catalogues afférents au symposium de Lyon et des textes monographiques concernant tel ou tel artiste passant par la performance, il a publié un certain nombre de réflexions sur ces questions, entre autres :
- Œuvres plastiques des artistes de la performance (Elac 1980).
- Acte des colloques des symposiums (1981 et 1982).
- Vidéo et performance, Flaviana, Locarno 1982. (Réédité et commenté tout récemment par Janic Begoc dans La performance entre archives et pratiques contemporaines. Presses Universitaires de Rennes. 2010).
- Rites et traces dans la performance (revue Artics N° 8, Barcelone 1987).
- Réflexions sur le phénomène de la performance (Estudis escenics Barcelone 1988, repris en castillan par le Centro andaluz de teatro, Séville en 1993).
Ou encore, touchant à la différence de nature entre performance et jeu théâtral, Un temps, texte analysant l'intrusion sur un théâtre de Prato, d'une action de Liliana Moro et Giovanna Lué. (In Liliana Moro, La fidanzata di Zorro. Skira. Milan 2004).
L'Église et l'État en France (2/5) : La Loi de 1905 (CPS #11)
Tout sur la loi de 1905 sur la Séparation des Églises et de l'État !
PARTIE 1 :
TEXTE DE L'ÉPISODE & RÉFÉRENCES :
SOMMAIRE
00:00 Avertissement
00:55 Introduction
07:29 [Générique]
08:03 L'IDÉE DE LA TOLÉRANCE RELIGIEUSE
08:55 a. Pôle étatiste et contrat social
10:11 b. Pôle libéral et liberté de conscience
AVANT LA SÉPARATION
11:52 Le Règne du Concordat (XIXe siècle)
14:15 La République Incertaine : la menace monarchiste. (1870-1880)
16:00 Lois laïques de la République des Républicains (1880-1905)
19:40 Avant la rupture : polarisation politique (1898-1904)
20:17 Le problème des congrégations et la loi de 1901 sur les associations
21:54 Dissolution de congrégations religieuses sous le gouvernement Combes (1902)
25:00 Interdiction des écoles privées chrétiennes (1903-4)
26:22 Rupture des relations diplomatiques entre la France et la Papauté (1904)
LES DÉBATS DE LA LOI DE 1905
27:33 La Laïcité anticléricale (Maurice Allard) et gallicane (Émile Combes)
30:20 Article 1 et 2 : les principes de la loi
31:40 Article 4 : les associations cultuelles
32:58 Laïcité séparatiste inclusive (Aristide Briand) ou stricte (Ferdinand Buisson)
35:00 Peurs de gauche, peurs de droite et sincérité.
LA QUERELLE DES INVENTAIRES (1906)
36:37 Appliquer la loi : la querelle des inventaires (1905-6)
37:28 Pie X refuse les associations cultuelles (Vehementer Nos 1906)
38:46 Les Fabriques : un précédent aux associations cultuelles ?
41:20 Affrontements pendant les inventaires des biens de l'Église
43:08 Un compromis : les associations diocésaines (1924)
CONCLUSION
44:15 Créer un cadre de droit civil à l'Église
45:42 Quelques soucis techniques quant à la partie 3
47:22 Pour aller plus loin
Bali Breizh er Mod Koz e Roazhon/ Bali Breizh au Mod Koz à Rennes
Skipailh Bali Breizh a gendalc’h e droiad e Roazhon. An taol-mañ emañ o tizoloiñ ar Mod koz, un davarn e Roazhon hag ul lec’h m’eo bev mat sevenadur ha yezh ar vro !
Goulwena, Yann-Herle ha Mael a zesko muioc’h diwar-benn kêr Roazhon a-drugarez d’o c’houvidi Hélène Bonniec, Glenn Jegou ha Louri Derrien, unan eus sonerien ar strollad Modkozmik.
Un nebeud sekredoù a vo diskoachet zoken...
Ledan e vo an temoù a vo lakaet ar gaoz warno : politikerezh yezh, an transportoù, ar sport, ar boued al lojeiz, ar gêraozouriezh ha buhez ar studierien eno... Displegadennoù roet gant tud entanet gant Roazhon hag ar mod da vevañ du-se.
Ha gant ma vo lakaet ar gaoz war ar boued lec’hel hag a vez servijet er Mod Koz, ez aimp pelloc’h gant se en ur sellet ouzh un teulfilm sevenet gant Kenan an Habask. Kontañ a ra istor pemp den yaouank e Bro Dreger hag o deus bet c’hoant en em staliañ en ur menaj en ur zoujañ ouzh an natur, ouzh al loened hag en ur glask kaout ur c’hempouez hiniennel war ar memes tro . Diskoulmoù dibar o deus kavet evit gellout en ober.
Lusket e vo an abadenn gant tonioù enrollet war-eeun gant ar strollad Modkozmik.
L’équipe de Bali Breizh continue sa balade dans Rennes. Cette fois, elle s’installe au Mod Koz, un bistrot où la culture bretonne est bien vivante !
Goulwena, Yann-Herle et Mael en apprendront davantage sur cette ville grâce à leurs invités, Hélène Bonniec, Glenn Jegou et Louri Derrien, un des sonneurs du groupe Modkozmik.
On découvrira quelques secrets...
Les thèmes évoqués seront variés : la politique linguistique, les transports, le sport, les logements, l’urbanisme, la vie estudiantine et la gastronomie ou plutôt la bistronomie... Des sujets évoqués par des gens passionés par Rennes et son mode de vie.
Et puisqu’il sera question des produits locaux cuisinés au Mod Koz, on creusera le sujet en regardant un documentaire réalisé par Kenan an Habask. Ce dernier nous raconte l’histoire de cinq jeunes paysans du Trégor qui ont décidé de reprendre une ferme et de l’exploiter en respectant la nature et les animaux tout en parvenant à un équilibre personnel. Pour mener à bien ces défis, ils ont trouvé des solutions originales.
L’émission sera rytmée par des morceaux joués par le groupe Modkozmik.
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Gilets jaunes : un ancien champion de boxe fait reculer les policiers à coups de poings
Image marquante lors de l'Acte 8 des Gilets jaunes le 5 janvier à Paris : un homme, visage découvert et bonnet vissé sur la tête, a surgi de manière acrobatique devant un cordon policier, qui tentait de contenir des manifestants sur la passerelle Léopold Sédar-Senghor.
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Naturalisation 6 : Les 100 questions incontournables de l’entretien
Les 100 questions incontournables de l’entretien pour la naturalisation française avec des conseils et des exemples de réponses.
(English, French, Spanish and Vietnamese subtitles)
Les 6 clefs de la naturalisation française :
(vidéos accompagnées des documents dans la description)
1. Les 7 conditions pour la naturalisation française :
2. Démarches à effectuer et pièces à fournir :
3. Connaissance de la langue française (DELF, TCF ANF, TEF, etc.) :
4. La charte des droits et devoirs du citoyen français (lecture illustrée) :
5. Le livret du citoyen :
6. Les 100 questions incontournables de l’entretien :