AUTOUR DE TOURS - ÉGLISE ST JULIEN
Le but de notre chaine ?
Vous présenter & vous faire connaître l’histoire de la ville de Tours par le biais d’un bâtiment représentatif d'une période historique.
Nos vidéos participent à une « vulgarisation de l’histoire » de Tours.
Afin de s’assurer de l’exactitude des informations, de soigneuses recherches ont été effectuées en amont, et professeurs de l’Université, ou spécialistes, sont présents.
Réalisation : Rivière Althéa, Yvon Maelle, Renvoisé Mélyssa, Suisse Zoé, Sénéchal Clément, Thiolet-Berger Maxime
Remerciements : Christine Bousquet, Claire Villalonga, Père Francois Dusartel, Salmon Aicha, Jean-Claude Choppin, Vilma Bertin, Joanna Frangne
Saint Julien de Brioude - Art Roman - Auvergne - France
La basilique Saint-Julien est une basilique romane située à Brioude, dans le département français de la Haute-Loire et la région Auvergne.
Dédiée à Saint Julien de Brioude, qui y aurait été martyrisé en 304, elle est la plus vaste église romane d'Auvergne.
Le premier sanctuaire dédié à saint Julien remonte à la fin du IVe siècle : il est construit sur l'emplacement du tombeau présumé du saint par une dame espagnole, en remerciement de l'accomplissement de son vœu. Grégoire de Tours rapporte que la renommée du saint se répand, attirant les pèlerins. Une première église est alors bâtie. Le duc Victorius, gouverneur wisigoth de l'Auvergne, l'orne de colonnes de marbre provenant de monuments antiques ; les restes de colonne cannelée qui se trouvent aujourd'hui dans la crypte en sont peut-être une partie. Un clergé se met en place pour célébrer le culte et accueillir les fidèles : Grégoire de Tours évoque dans ses écrits l'existence d'un monastère et des moines.
Cette église mérovingienne est peut-être détruite par un incendie. Une église carolingienne bâtie aux VIIIe et IXe siècles lui succède dont témoigne aujourd'hui la mosaïque du chœur. En 825, un édit lui confère une large autonomie et l'« immunité », c'est-à-dire l'exemption de taxes. Un acte de 874 évoque un chapitre de chanoines, fort de 21 maisons, à qui est confiée la garde du tombeau du saint. Le pape Formose (891) aurait accordé à celui-ci, après une visite, de ne relever que du Saint-Siège. À la faveur du déclin de l'empire carolingien, les Guilhelmides prennent possession de Brioude, dont ils deviennent les abbés : le duc Guillaume Ier d'Aquitaine, mort en 918, est ainsi inhumé auprès du tombeau de saint Julien.
Brioude passe ensuite aux mains des comtes de Gévaudan, puis des comtes d'Auvergne. Le chapitre de Saint-Julien compte alors en son sein les rejetons des plus grandes familles d'Auvergne. Il accueille notamment Odilon de Mercœur et Robert de Turlande, qui lui préfèrent, néanmoins, l'un l'abbaye de Cluny, l'autre la vie d'ermite, puis la fondation de l'abbaye de la Chaise-Dieu.
La construction de l'église romane actuelle remonte à la deuxième moitié du IXe siècle. Elle est favorisée par le développement de Brioude devenue un lieu de pèlerinage et une étape sur le chemin de saint Jacques de Compostelle, de Rome et de Jérusalem. Le chapitre cherche alors à s'affranchir de la tutelle des comtes d'Auvergne. Le pape Urbain II, venu prêcher la première croisade à Clermont en 1095, place Saint-Julien sous sa responsabilité directe, et son successeur Pascal II confirme le droit du chapitre à nommer son abbé et son prévôt. Le roi Louis VII affirme de même que le chapitre dépend de lui. Parallèlement, des dissensions se font jour à l'intérieur même du chapitre, reflet de la rivalité entre les famille de Mercœur et d'Auvergne.
En 1223, après le rattachement de l'Auvergne au domaine royal, le chapitre rachète aux comtes d'Auvergne leurs droits féodaux sur Brioude. Le chapitre de Saint-Julien maintient sa mainmise sur Brioude jusqu'à la Révolution, qui voit sa suppression. L'église, réaffectée à l'usage de la paroisse en 1794, voit l'un de ses clochers abattus et l'autre décapité.
En 1837, Prosper Mérimée visite Saint-Julien et le décrit comme une « église byzantine d'un grand caractère, qui malgré tout ce qu'elle a souffert, peut être encore rangée parmi les édifices les plus remarquables que compte l'Auvergne. » Il obtient son classement au titre des monuments historiques dans la liste de 1840. La restauration de l'église est confiée à l'architecte diocésain Aymon Mallet, qui mène les travaux en s'inspirant des autres grands édifices romans auvergnats, gommant au passage les disparités de style dues à une construction assez longue. Enfin, l'église est érigée en basilique mineure par Pie XII le 26 avril 1957.
Places to see in ( Tours - France )
Places to see in ( Tours - France )
Tours is a university town between France's Cher and Loire rivers. Once a Gallic-Roman settlement, today it's a university town and a traditional gateway for exploring the chateaux of the Loire Valley region. Major landmarks include the cathedral, Saint-Gatien, whose flamboyant Gothic facade is flanked by towers with 12th-century bases and Renaissance tops.
Tours (with a silent s) is an important French city (population 140,000, 360,000 with the suburbs) located on the river Loire in the Centre-Val de Loire region. Touraine, the region around Tours, is renowned for its wines and for the perfection of its local spoken French. For tourists, the city is a good base for exploring the many castles and charming towns in the Loire Valley. Although much of the city is modern, Tours boasts half-timbered buildings in Place Plumereau, a 12th century cathedral, and Roman ruins scattered throughout the city, including in the Jardin de St Pierre le Puellier.
Beneath the plane trees lining Boulevard Béranger, the twice-weekly flower market in Tours provides a splash of color and a heady whiff of fragrance to the thoroughfare, one of several that can justly be described as Haussmannesque. The imposing Belle Epoque City Hall, built by noted native-son architect Victor Laloux bears more than a passing resemblance to the Hôtel de Ville in the nation’s capital. Echoes of the Paris Opéra are found in the opulent Grand Théâtre de Tours, since architect Charles Garnier was involved in its construction. Towering Saint Gatien cathedral, in spite of its ornate facade and owl-eyed twin towers topped with Renaissance belfries, is, on the interior, a Gothic marvel fit for Quasimodo. And in the summer—inspired by the success of Paris Plage—Tours puts on its own beach-party festival on the banks of the Loire, with evening concerts, open-air movies and guinguettes for dancing.
Alot to see in ( Tours - France ) such as :
Tours Cathedral
Basilica of Saint Martin, Tours
Château de Tours
Musée des Beaux-Arts de Tours
Jardin botanique de Tours
Hôtel Goüin
Musée du Compagnonnage de Tours
Museum of Natural History of Tours
Vieux Tours
Centre de Création Contemporaine Olivier Debré
Cloître de la Psalette
Hôtel de ville de Tours
Prébendes d'Oé Garden
City Hall - Tours
Halles de Tours
Tour Charlemagne
Marmoutier Abbey, Tours
Château de Candé
Park Perraudière
Parc de Sainte-Radegonde
Basilique Saint-Julien
Musée De La Typographie
Château de Plessis-lez-Tours
Tour de l'Horloge
Park Bretonnières
Guinguette de Pont Wilson
Kizou Aventures
Priory of St. Cosmas
Le Monstre - Xavier Veilhan
Le Monstre - Xavier Veilhan
Lulu Parc
Pôle Karting Service
Le Cèdre du Liban
Les Halles Luynes
( Tours - France ) is well know as a tourist destination because of the variety of places you can enjoy while you are visiting Tours . Through a series of videos we will try to show you recommended places to visit in Tours - France
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La basilique Saint-Martin de Tours
A l'occasion de l'Année Saint Martin, le diocèse de Tours vous propose de découvrir l'ancienne abbaye de Marmoutier...
Belle ville Tours , France
Un jour de Tours en France.Au mois de Août 2019
Centre ville
Basilique Saint-Julien
Centre de Création Contemporaine Olivier Debré,
Le clocher de l'eglise Saint Julien de Brioude à Saint Lys 31
Le clocher de l'église de Saint-Lys, Saint-Julien de Brioude, comporte 10 cloches ...
Eglise Saint Julien Tours
Numérisation de l'église Saint-Julien de Tours et prises de vue par drone.
M&I3d
Les cloches de St-Julien sonnent en pleine nuit
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Les cloches de l'église Saint Julien ont sonné en pleine nuit et pendant 2 heures suite à un dysfonctionnement technique.
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La cathédrale Saint-Pierre de Poitiers - Région Poitou-Charentes - Le Monument Préféré des Français
La cathédrale Saint-Pierre de Poitiers - Région Poitou-Charentes - Le Monument Préféré des Français
Trois portails richement sculptés, deux tours étonnamment différentes, une rosace d’une belle légèreté, voilà l’organisation de la façade de cette cathédrale. Derrière, mobilier et décoration ménagent des surprises et affichent des… records !
En 1160, débuta le grand chantier de la cathédrale que l’on admire aujourd’hui. Il ne s’acheva qu’en 1379 ! En deux siècles, les plans auraient pu évoluer… mais non, et cela confère à la cathédrale Saint-Pierre, une harmonie visuelle agréable. Ici donc, tout est de style gothique angevin : voûtes d'ogives très bombées, murs latéraux et contreforts puissants remplaçant des arcs- boutant extérieurs, nef occupant tout l’espace… Côté décoration, même si la sobriété semble l’emporter, chapiteaux et modillons ornent colonnes et murs, et retables et autels baroques apportent du contraste. Des vitraux historiés, dont celui de la crucifixion, réputé l’un des tout premiers du monde chrétien, éclairent la nef. Des stalles médiévales, censées être les plus anciennes de France, meublent le cœur. Et l’orgue du XVIIIe siècle, reconnu pour sa magnifique sonorité, met le tout en musique !
TOURS eglise saint julien 2017
Eglise saint julien de TOURS
Les Nuits Renaissance à Tours
Retour en vidéo sur les Nuits Renaissance, le nouveau spectacle son et lumière à découvrir au Musée des Beaux-Arts de Tours jusqu'au 7 septembre !
Rappel :
Ouverture des portes du jardin du Musée des Beaux-Arts :
- à 22h, jusqu’à 22h45 (début du spectacle) en juillet
- à 21h30, jusqu’à 22h15 (début du spectacle) en août / septembre
➡ bit.ly/NuitsRenaissanceTours
les coulisses de la cathédrale de Tours
Les coulisses de la cathédrale de Tours n'auront plus de secrets pour vous. La sacristie, le calorifère ou encore l'escalier monumental, voila quelques-uns des endroits que nous allons vous faire découvrir...
La pose du clocher
Le clocher de la chapelle Saint-Martin, à Tours Nord, a été posé ce 13 juillet 2017. Il mesure une dizaine de mètres et pèse 4 tonnes.
Cathédrale Saint-Gatien de Tours
Emission du 11/01/2004
La Basilique Saint Martin de Tours
La Basilique Saint Martin de Tours, un reportage réalisé par Sophie Moreno et Guillaume Lepron.
Tours france
In the 6th century Gregory of Tours, author of the Ten Books of History, made his mark on the town by restoring the cathedral destroyed by a fire in 561. Saint Martin's monastery benefited from its inception, at the very start of the 6th century from patronage and support from the Frankish king, Clovis, which increased considerably the influence of the saint, the abbey and the city in Gaul. In the 9th century, Tours was at the heart of the Carolingian Rebirth, in particular because of Alcuin abbot of Marmoutier.
In 732 AD, Abdul Rahman Al Ghafiqi and a large army of Muslim horsemen from Al-Andalus advanced 500 kilometres (311 miles) deep into France, and were stopped at Tours by Charles Martel and his infantry igniting the Battle of Tours. The outcome was defeat for the Muslims, preventing France from Islamic conquest. In 845, Tours repulsed the first attack of the Viking chief Hasting (Haesten). In 850, the Vikings settled at the mouths of the Seine and the Loire. Still led by Hasting, they went up the Loire again in 852 and sacked Angers, Tours and the abbey of Marmoutier.
During the Middle Ages, Tours consisted of two juxtaposed and competing centres. The City in the east, successor of the late Roman 'castrum', was composed of the archiepiscopal establishment (the cathedral and palace of the archbishops) and of the castle of Tours, seat of the authority of the Counts of Tours (later Counts of Anjou) and of the King of France. In the west, the new city structured around the Abbey of Saint Martin was freed from the control of the City during the 10th century (an enclosure was built towards 918) and became Châteauneuf. This space, organized between Saint Martin and the Loire, became the economic centre of Tours. Between these two centres remained Varennes, vineyards and fields, little occupied except for the Abbaye Saint-Julien established on the banks of the Loire. The two centres were linked during the 14th century. Tours is a good example of a medieval double city.
Place Plumereau, Medieval buildings
Tours became the capital of the county of Tours or Touraine, territory bitterly disputed between the counts of Blois and Anjou – the latter were victorious in the 11th century. It was the capital of France at the time of Louis XI, who had settled in the castle of Montils (today the castle of Plessis in La Riche, western suburbs of Tours), Tours and Touraine remained until the 16th century a permanent residence of the kings and court. The rebirth gave Tours and Touraine many private mansions and castles, joined together to some extent under the generic name of the Châteaux of the Loire. It is also at the time of Louis XI that the silk industry was introduced – despite difficulties, the industry still survives to this day.
Rodez cathédrale
La cathédrale et ses vitraux
passage du coeur navré place foire le roi tours
In Gallic times the city was important as a crossing point of the Loire. Becoming part of the Roman Empire during the 1st century AD, the city was named Caesarodunum (hill of Caesar). The name evolved in the 4th century when the original Gallic name, Turones, became first Civitas Turonum then Tours. It was at this time that the amphitheatre of Tours, one of the five largest amphitheatres of the Empire, was built. Tours became the metropolis of the Roman province of Lugdunum towards 380–388, dominating the Loire Valley, Maine and Brittany. One of the outstanding figures of the history of the city was Saint Martin, second bishop who shared his coat with a naked beggar in Amiens. This incident and the importance of Martin in the medieval Christian West made Tours, and its position on the route of pilgrimage to Santiago de Compostela, a major centre during the Middle Ages.
Middle Ages[edit]
In the 6th century Gregory of Tours, author of the Ten Books of History, made his mark on the town by restoring the cathedral destroyed by a fire in 561. Saint Martin's monastery benefited from its inception, at the very start of the 6th century from patronage and support from the Frankish king, Clovis, which increased considerably the influence of the saint, the abbey and the city in Gaul. In the 9th century, Tours was at the heart of the Carolingian Rebirth, in particular because of Alcuin abbot of Marmoutier.
In 732 AD, Abdul Rahman Al Ghafiqi and a large army of Muslim horsemen from Al-Andalus advanced 500 kilometres (311 miles) deep into France, and were stopped at Tours by Charles Martel and his infantry igniting the Battle of Tours. The outcome was defeat for the Muslims, preventing France from Islamic conquest. In 845, Tours repulsed the first attack of the Viking chief Hasting (Haesten). In 850, the Vikings settled at the mouths of the Seine and the Loire. Still led by Hasting, they went up the Loire again in 852 and sacked Angers, Tours and the abbey of Marmoutier.
During the Middle Ages, Tours consisted of two juxtaposed and competing centres. The City in the east, successor of the late Roman 'castrum', was composed of the archiepiscopal establishment (the cathedral and palace of the archbishops) and of the castle of Tours, seat of the authority of the Counts of Tours (later Counts of Anjou) and of the King of France. In the west, the new city structured around the Abbey of Saint Martin was freed from the control of the City during the 10th century (an enclosure was built towards 918) and became Châteauneuf. This space, organized between Saint Martin and the Loire, became the economic centre of Tours. Between these two centres remained Varennes, vineyards and fields, little occupied except for the Abbaye Saint-Julien established on the banks of the Loire. The two centres were linked during the 14th century. Tours is a good example of a medieval double city.
Place Plumereau, Medieval buildings
Tours became the capital of the county of Tours or Touraine, territory bitterly disputed between the counts of Blois and Anjou – the latter were victorious in the 11th century. It was the capital of France at the time of Louis XI, who had settled in the castle of Montils (today the castle of Plessis in La Riche, western suburbs of Tours), Tours and Touraine remained until the 16th century a permanent residence of the kings and court. The rebirth gave Tours and Touraine many private mansions and castles, joined together to some extent under the generic name of the Châteaux of the Loire. It is also at the time of Louis XI that the silk industry was introduced – despite difficulties, the industry still survives to this day.
QAG de Julien Aubert - Profanations et saccages d'églises
TOURS & VOUVRAY Vallée de la loire
Tours est une commune française du centre-ouest de la France, sur les rives de la Loire et du Cher, dans la région Centre-Val de Loire. Tours est la capitale de la Touraine. Cette cité est historiquement le plus important site de Touraine.
Le vignoble de Vouvray a été créé par les moines du monastère de Marmoutier fondé en 372 par saint Martin. Dès le début du XIIIe siècle, les cépages blancs sont réservés aux parcelles situées sur les coteaux et rebords de plateau présentant des sols caillouteux et calcaires. Au cours du XIVe siècle une partie du terroir viticole de Vouvray appartient aux rois de France qui font servir ces vins à leur table.