Official presentation of Gurs Internment Camp
Official presentation of Gurs Internment Camp
Camp de Gurs.
Camp de concentration de Gurs. Pyrénées Atlantiques.64. France.
Mémorial de Dani Karavan.
Musique : God Speed You ! Black Emperor. Canada.
Vidéo: LnCurutchet
Face à l'obstination du Crime, l'obstination du témoignage.
Gurs, une drôle de syllabe,
comme un sanglot qui ne sort pas de la gorge Louis Aragon.
Camp de Gurs : commémoration 80 ans après l'ouverture
Le camp de Gurs ouvrait il y a 80 ans avec l'arrivée des réfugiés espagnols fuyant la prise de pouvoir par Franco. Les commémorations vont se succéder cette année.
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Le Camp de Gurs
Pour les textes et informations :
Brandpompier@World War 2 KZ Camp de Gurs (France)
Ik heb deze video gemaakt met de YouTube-functie voor het maken van diavoorstellingen (
camp de gurs.mpg
Avec ses 80 ha, ses 400 baraques, sa route de 1,7 km et ses 250 km de fils barbelés, le camp d'internement de Gurs fut le plus grand camp d'internement du sud de la France. A l'origine dès 1939, il fut prévu pour y interner des combattants de l'armée républicaine espagnole, vaincue par le franquisme. Arrivèrent en premier les soldats basques de l'armée républicaine espagnole, puis les aviateurs, les membres des Brigades Internationales puis des immigrés clandestins, surtout des aragonais. En 1940 entrèrent à leur tour les indésirables (réfugiés allemands, autrichiens et polonais arrêtés dans l'agglomération parisienne, les victimes de la première rafle du Vel d'Hiv le 15/05/1940 soit 5000 femmes étrangères arrêtées au Vélodrome d'Hiver et transférées à Gurs, les Mosellanes (femmes de la Moselle) soupçonnées d'appartenir à la cinquième colonne, les prisonniers politiques, notamment des communistes). Enfin, à la fin du camp sont internés des gitans au printemps 44, des prisonniers allemands, des collaborateurs ainsi que des trafiquants du marché noir.
Gurs fut aussi la dernière étape de milliers de juifs allemands des Pays de Bade, du Palatinat et de la Sare vers le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau (six convois soit 3907 hommes, femmes et enfants).
L’ADTE à Gurs
Rendez-vous aux écuries de Marie à Gurs pour un super petit déj. La balade (22Km) nous a fait traverser une très jolie forêt avec de nombreux gués et quelques grosses montées. Pause déjeuner au golf de Navarrenx avec sa jolie vue sur le parcours, des discussions animées et un excellent gâteau basque pour repartir en toute légèreté!
Le chemin du retour toujours en forêt pour terminer par la visite du camp de Gurs.
Un énorme merci à tous les organisateurs, balisage accompagnement quad et 4x4, la sécurité et l’intendance, l’accueil des écuries et du golf, la bonne humeur...
Un merci tout particulier à Guapa ma jument de 30 ans qui me porte avec gentillesse et dynamisme depuis 27 ans, une longue amitié!
Un peu d’histoire:
Le camp de Gurs est un camp de concentration construit en France à Gurs[1] près d'Oloron-Sainte-Marie dans les Basses-Pyrénées (actuellement Pyrénées-Atlantiques) par le gouvernement d'Édouard Daladier entre le 15 mars et le 25 avril 1939 pour interner les personnes fuyant l'Espagne (Républicains espagnols, combattants des Brigades internationales) après la prise de pouvoir du général Franco.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, le même gouvernement y interna des citoyens étrangers ressortissants des pays en guerre contre la France ainsi que des militants du Parti communiste français, favorable au Pacte germano-soviétique.
Après l'armistice du 22 juin 1940, signé avec l'Allemagne par le gouvernement français de Pétain, le camp fut utilisé comme camp d'internement mixte pour accueillir des juifs de toutes nationalités – sauf français – capturés et déportés par le régime nazi dans des pays sous son contrôle (Allemagne, Autriche]], Belgique, Pays-Bas)[2]. Près de 4 000 juifs furent transférés au camp de Drancy, entre le 6 août 1942 et le 3 mars 1943, puis en Pologne au camp d'Auschwitz où ils furent presque tous exécutés.
Au cours de la guerre, le camp reçoit en plus des personnes qui avaient traversé la limite avec la zone occupée par les Allemands, des Espagnols qui avaient déjà été détenus au camp et qui, libérés à l’automne 1940, se trouvaient dans la région sans justifier d’emploi, des Espagnols en provenance d’autres camps fermés en raison des conditions de vie ou du faible nombre de détenus, des apatrides, des gitans, certains prisonniers de droit commun en attente de jugement (prostitution, marché noir, faux papiers, etc.).
Après la Libération de la France, et avant sa fermeture définitive en 1946, y furent brièvement internés des prisonniers de guerre allemands, des Français ayant collaboré avec les Allemands et des combattants espagnols qui avaient pris part à la Résistance, mais que leur volonté de mettre fin à la dictature de Franco rendait dangereux aux yeux des Alliés.
Environ 64 000 personnes y ont été internées, et 1 072 y sont mortes, entre sa création en mars 1939 et sa fermeture à la fin de la guerre en août 1944.
Extrait - Gurs, un silence assourdissant (2017)
Fin 1945, il faut, dans la précipitation, effacer des mémoires les camps d’internement qui existent sur le territoire Français. Les traces de cette barbarie tombent alors dans l’oubli…. Pourtant des internés, des historiens, des livres, quelques films documentaires, racontent ce moment méconnu et terrible. Un long travail de mémoire débute.
Dans ce film, nous avons exhumé l’histoire de Gurs, petit village des Pyrénées Atlantiques devenu en quelques mois la 3ème ville des Basses-Pyrénées, aujourd’hui les Pyrénées Atlantiques. Des dizaines de milliers de personnes sont passées par ce camp, le plus grand de France. Internées dans des conditions terribles. Plus de mille y sont décédées. Des milliers l’ont quitté pour les « camps d’extermination » d’où elles ne sont pas revenues.
Comment oublier les morts de Gurs ? La souffrance de ceux qui y ont séjourné ? La détresse obsédante qui habite ceux qui ont survécu ? Dans ce film, nous tentons de comprendre comment une telle barbarie a pu exister, pour que jamais ne ressurgisse une réalité aussi inhumaine.
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Extrait - Gurs, un silence assourdissant (2017)
Fin 1945, il faut, dans la précipitation, effacer des mémoires les camps d’internement qui existent sur le territoire Français. Les traces de cette barbarie tombent alors dans l’oubli…. Pourtant des internés, des historiens, des livres, quelques films documentaires, racontent ce moment méconnu et terrible. Un long travail de mémoire débute.
Dans ce film, nous avons exhumé l’histoire de Gurs, petit village des Pyrénées Atlantiques devenu en quelques mois la 3ème ville des Basses-Pyrénées, aujourd’hui les Pyrénées Atlantiques. Des dizaines de milliers de personnes sont passées par ce camp, le plus grand de France. Internées dans des conditions terribles. Plus de mille y sont décédées. Des milliers l’ont quitté pour les « camps d’extermination » d’où elles ne sont pas revenues.
Comment oublier les morts de Gurs ? La souffrance de ceux qui y ont séjourné ? La détresse obsédante qui habite ceux qui ont survécu ? Dans ce film, nous tentons de comprendre comment une telle barbarie a pu exister, pour que jamais ne ressurgisse une réalité aussi inhumaine.
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Extrait - Gurs, un silence assourdissant (2017)
Fin 1945, il faut, dans la précipitation, effacer des mémoires les camps d’internement qui existent sur le territoire Français. Les traces de cette barbarie tombent alors dans l’oubli…. Pourtant des internés, des historiens, des livres, quelques films documentaires, racontent ce moment méconnu et terrible. Un long travail de mémoire débute.
Dans ce film, nous avons exhumé l’histoire de Gurs, petit village des Pyrénées Atlantiques devenu en quelques mois la 3ème ville des Basses-Pyrénées, aujourd’hui les Pyrénées Atlantiques. Des dizaines de milliers de personnes sont passées par ce camp, le plus grand de France. Internées dans des conditions terribles. Plus de mille y sont décédées. Des milliers l’ont quitté pour les « camps d’extermination » d’où elles ne sont pas revenues.
Comment oublier les morts de Gurs ? La souffrance de ceux qui y ont séjourné ? La détresse obsédante qui habite ceux qui ont survécu ? Dans ce film, nous tentons de comprendre comment une telle barbarie a pu exister, pour que jamais ne ressurgisse une réalité aussi inhumaine.
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Mickey au Camp de Gurs
German-born French cartoonist of Jewish descent Horst Rosenthal. It was created while Rosenthal was a prisoner at the Gurs internment camp in France during World War II. The comic features Walt Disney's Mickey Mouse, who is arrested on suspicion of being Jewish and is sent to Gurs. Rosenthal acknowledged the source of his protagonist by adding Publié Sans Autorisation de Walt Disney (Published without Walt Disney's Permission)[1] to the front cover. Rosenthal was detained in Gurs for two years before being sent to Auschwitz in September 1942; he was murdered on the day of his arrival.[2][3]
Mickey au Camp de Gurs was first published in 2014 in Paris by Calmann-Lévy and the Mémorial de la Shoah, 72 years after it was written. Mickey au Camp de Gurs has been called one of the earliest surviving examples of a comic from the Holocaust,[4] and perhaps the earliest sequential art narrative dealing with the Holocaust.
Extrait - Gurs, un silence assourdissant (2017)
Fin 1945, il faut, dans la précipitation, effacer des mémoires les camps d’internement qui existent sur le territoire Français. Les traces de cette barbarie tombent alors dans l’oubli…. Pourtant des internés, des historiens, des livres, quelques films documentaires, racontent ce moment méconnu et terrible. Un long travail de mémoire débute.
Dans ce film, nous avons exhumé l’histoire de Gurs, petit village des Pyrénées Atlantiques devenu en quelques mois la 3ème ville des Basses-Pyrénées, aujourd’hui les Pyrénées Atlantiques. Des dizaines de milliers de personnes sont passées par ce camp, le plus grand de France. Internées dans des conditions terribles. Plus de mille y sont décédées. Des milliers l’ont quitté pour les « camps d’extermination » d’où elles ne sont pas revenues.
Comment oublier les morts de Gurs ? La souffrance de ceux qui y ont séjourné ? La détresse obsédante qui habite ceux qui ont survécu ? Dans ce film, nous tentons de comprendre comment une telle barbarie a pu exister, pour que jamais ne ressurgisse une réalité aussi inhumaine.
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Exposition Camp de Gurs au Musée des Beaux-arts de Pau
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les internés du camp de Gurs ont dessiné leur quotidien. Leurs œuvres sont maintenant exposées au Musée des Beaux-Arts à Pau. Exposition à voir jusqu’au 10 juin.
E2R Histoire - Gurs : le camp oublié
Dans le Béarn, Gurs le camp oublié, l’Histoire définit le lieu comme un camp qui a accueilli des réfugiés républicains espagnols, mais pas seulement. Gurs a servi de camp de transit à plus de 4000 juifs avant leur départ pour Drancy et la déportation.
Reportage d'Élyse Daycard et Benoit Bracot
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Le camp de Gurs : Conférence de Eric Mailharrancin
Organisé par Eusko Ikaskuntza, filmé le 23 Mai 2014 à la Maison des Associations de Glain.
Conférence donnée par Eric Mailharrancin sur le camp de Gurs.
Gurs : une leçon de l'histoire / From Berlin to Gurs.
camp de gurs
Diaporama sur le camp de Gurs j’espère que cela vous plaira n'hésiter pas à mettre des commentaires
4 Alexandre Halaunbrenner - Au camp de Gurs
A dix ans, Alexandre Halaunbrenner est emprisonné avec toute sa famille dans plusieurs camps dinternement en France. Il sera ensuite témoin de larrestation de son père et son frère par Klaus Barbie. Cachées à la colonie dIsieu, ses deux petits sœurs mourront à Auschwitz, à la suite de la rafle organisée par Barbie. Des années plus tard, Alexandre Halaunbrenner sera témoin lors du procès de lancien nazi. Retrouvez lintégralité de ce témoignage sur adirp.org
MER 47 a GURS avec TML 02 Description du camp
A l’occasion de la visite de l’association Mémoire de l’Espagne Républicaine de Lot-et-Garonne - MER47 - le 30 avril 2015, Raymond VILLALBA présente, à l’aide d’un plan, l’implantation du camp de Gurs.
S’étirant sur 2 000 m de long et sur 500 m de large on peut compter 440 baraques y compris celles qui hébergent les soldats, gardes du camp.
Lorsque ces soldats partent pour le front, en 1939, ils sont remplacés par la gendarmerie.
Sous le régime de Vichy, les gendarmes sont remplacés par des civils en armes.
Le 14 juillet 1939, les Républicains espagnols organisent, sur le terrain de sport, un défilé de 5 000 hommes pour commémorer la Fête Nationale française. Ceci afin de rappeler leur attachement aux valeurs de la République et à c elle de la Révolution française de 1789 ainsi que pour faire la démonstration qu’ils n’étaient pas tels que les décrivaient la presse de droite française : des bandits rouges violeurs de bonnes sœurs mais une force discipliné au service de la République.
Raymond VILLALBA rappelle le salut de René VIETTO, coureur du tour de France, poing levé tout au long des deux kilomètres du camp, lors du passage de la célèbre épreuve devant Gurs.
Les tentatives d’évasion échouaient souvent et les fuyards, lorsqu’ls étaient repris, finissaient dans un trou creusé dans le sol avec une toile de tente par-dessus. Ce lieu de répression était appelé paes espagnols l’hippodrome.