Cimetière militaire français de Zuydcoote (59)
Zuydcoote st une commune française, située dans le département du Nord environ 10 kilomètres au nord-est de Dunkerque.
A l'entrée de Zuydcoote en venant de Leffrinckoucke - La nécropole française se compose de 3 carrés : Carré français 1939-1945 - Carré français musulman 1914-1918 - Carré français 1914-1918 …..
Créée au début des années 1920, elle fut agrandie après la Seconde Guerre mondiale. Y reposent plus de 2 200 soldats des deux guerres mondiales, français, anglais, allemands et même, isolés, un soldat russe, un belge… .Le cimetière communal accueille également un carré où reposent une centaine de militaires belges et autant de Britanniques morts pendant la Grande Guerre. Plusieurs de ces tombes, endommagées en 1940 du fait des combats, ont été remises en état sous l'Occupation. Un monument dédié aux victimes civiles de 1940 symbolise l'hommage « de Dunkerque à ses morts
Il contient 1150 soldats français et une russe de la première guerre mondial, on peut trouver des tombes de différent pays (ex espagnol …) faisant partie de la légion étrangère tombé pendant la deuxième guerre mondial, le nombre des tombes m’ai inconnue car le livre a l’entrée à disparue.
Cimetière militaire britannique de Zuydcoote (59)
À l'automne de 1917, alors que le Corps XVe tenait de la section Nieuport, les 34e et 36e stations d'évacuation sanitaire ont été affichés à Zuydcoote, et le cimetière militaire contient, pour la plupart, les tombes des officiers et des soldats qui sont morts dans ces hôpitaux . Sur le côté ouest du cimetière est Zuydcoote françaises ». Le Mémorial britannique, route de Furnes Construit à l'initiative de la Grande-Bretagne et inauguré en 1957 par la reine La Commonwealth War Graves Commission est l’organisme britannique en charge de la construction et de l’entretien des cimetières et monuments militaires partout dans le monde. Ils commémorent les 1700000 hommes et femmes des forces du Commonwealth (Australie, Canada, Inde, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Royaume-Uni) morts au cours des deux guerres mondiales. Arrivé en France en 1914 à la tête d’une unité de la Croix-Rouge britannique, Sir Fabian Ware constate que rien n’est prévu pour conserver les traces des dernières demeures des victimes des combats. Son unité se charge alors de répertorier et de prendre soin des tombes qu’elle parvient à recenser. Ce travail est reconnu par le ministère de la Guerre qui crée en 1915 la Commission d’enregistrement des sépultures, qui deviendra Commission impériale des sépultures de guerre par une charte royale en 1917. L’idée-force est de garantir une égalité de traitement et la permanence des sépultures et des mémoriaux. La Commission prend également la décision de ne pas rapatrier les corps et d’inhumer les soldats là où ils sont tombés. Dans un idéal de fraternité face à la mort, elle décide également la réalisation de sépultures rigoureusement uniformes. La question du choix personnel des sépultures soulèvera néanmoins de vifs débats. Ils seront tranchés par le Parlement britannique en 1920 qui approuvera les principes édictés par l’actuelle Commission des sépultures de guerre du Commonwealth. Les « cités silencieuses », ainsi nommées par Rudyard Kipling, désignent tant les modestes cimetières que les immenses nécropoles, sans oublier le mémorial édifié souvenir des nombreux soldats disparus sans laisser de traces. Deux monuments sont communs à tous : la Croix du Sacrifice et, dans les cimetières plus grands, la Pierre du Souvenir, œuvre d’Edwin Lut yens (1869-1944). Des artistes de renom ont participé à la création des cimetières et des monuments, tout comme d’éminents spécialistes du jardinet horticulteurs. S’ils ont laissé leur empreinte, leur contribution est restée largement anonyme: ces lieux de mémoire appartiennent réellement à ceux pour lesquels ils ont été créés, aux hommes et aux femmes victimes de la guerre. La commission entretient près de 3000 cimetière set 20 mémoriaux sur le seul territoire français.Sources: Commonwealth War Graves Commission. cwgc.orgLe souvenir britannique ration Dynamo, explique le nombre impressionnant de sépultures.
Il contient les tombes de 314 britanniques ,5 canadiens, un australien, 4 néo-zélandais, 2 sud-africains et une belge.
Cimetière militaire allemand de Zuydcoote (59)
Zuydcoote st une commune française, située dans le département du Nord environ 10 kilomètres au nord-est de Dunkerque. Les lieux sont aujourd'hui paisibles mais toute la première guerre mondiale, ils furent aux premières loges des mêlées des Flandres... Hier ennemis, Français et Allemands reposent dans la paix du même cimetière de Zuydcoote alors que les sépultures britanniques occupent le cimetière qui jouxte celui-ci...
Il contient 202 sépultures allemandes dont L'ossuaire rassemble31 soldats dont 23 inconnus. Il y a également 2 soldats inconnus, Les tombes allemandes, caractérisées par de sombres croix massives, ont la particularité de recueillir deux ou trois corps.
Nécropole nationale française du Fort des Dunes Leffrinckoucke (59)
Le fort des Dunes est un ouvrage fortifié du XIXe siècle sur la commune de Leffrinckoucke à6 km à l'est de Dunkerque. Construit dans le cadre du système Séré de Rivières, il a été intégré plus tard dans la ligne Maginot, a été utilisé lors de la bataille de Dunkerque puis sous l'occupation allemande.
Le Fort des Dunes fut en effet soumis aux bombardements intensifs de l’aviation allemande lors de l’opération Dynamo, le 2 juin 1940. Environ 300 militaires français y furent tués dont celui du général Guillaume Janssen .Le 3 juin 1940, un nouveau bombardement aérien provoqua la mort d'une centaine de soldats et causa d'important dégâts matériels.. la nécropole extérieure qui renferme les corps des soldats non réclamés par leurs familles témoigne des lourdes pertes enregistrées à cet endroit par l’armée française durant ces journées apocalyptiques.
Sous l’Occupation, le fort est intégré par les Allemands dans le dispositif du Mur de l’Atlantique sous le nom de code « Dahlie » (dahlia) et devient une simple annexe de la batterie de Zuydcoote.
La Nécropole nationale du fort des dunes à Leffrinckoucke (Relevé n° 26105) contient 192 tombes de soldats français morts pendant la seconde guerre mondiale. Dans l'enceinte de la Nécropole nationale – un monument Aux soldats inconnus morts pour la France au fort des Dunes en juin 1940
Les trois cimetières militaires de Montay (59)
Montay est un village dans la banlieue nord de Le Cateau.
Comme en témoignent les trois cimetières britanniques et leurs 618 tombes, Montay fut le lieu de deux terribles batailles de la guerre 1914-1918. La première, en août 1914, opposant d'une part les soldats anglais, français et écossais aux soldats allemands d'autre part stoppa la percée de ces derniers et permit aux alliés de se regrouper sur la Marne. La seconde en novembre 1918 brisa une des dernières résistances allemandes.
Le plus grand cimetière a été faite par la 23e brigade, le Royal Garrison Artillery, le 26 et 27 Octobre 1918 Il contenait à l'origine de 111 tombes, principalement des officiers et des hommes de la 38e (gallois) et les divisions 33e et le 6e bataillon du Dorset, mais après l'Armistice il a été augmenté quand tombes ont été ramenées des champs de bataille . Il ya maintenant 470 sépultures du Commonwealth et des commémorations de la Première Guerre mondiale dans ce cimetière. 61 des sépultures ne sont pas identifiées, mais il ya un mémorial spécial pour une victime croit être enterré parmi eux. Tous sont tombés dans la période Octobre ou Novembre 1918 Ce cimetière contient les tombes de 468 britannique et un canadien, Il ya aussi un terrain de 27 tombes allemandes dans le cimetière. Le cimetière a été conçu par Charles Holden.
Le deuxième cimetière a été faite le 10 Octobre 1918 par la 38e Division (gallois) et le 2ème Argyll and Sutherland Highlanders et contient les tombes de personnes tuées entre le 22 Octobre-Novembre 1918 1. British Cemetery Montay contient 41soldats britanniques du Première Guerre mondiale sépultures.
Le troisième cimetière a été faite par la Division de la 33e et donné le nom de Selridge de sa position au-dessus de la vallée du fleuve. Il contenait à l'origine de 60 tombes, datant du 10 Octobre au 1er Novembre, la majorité appartenait aux 6 e ou 12 e fusiliers du Lancashire ou le 2 e Argyll and Sutherland Highlanders. Après l'Armistice, 87 autres tombes ont été ajoutés. Qui a été de la 17e Division le 1er Novembre 1918 Il contenait les tombes de 86 soldats des États- Uni (dont 55 appartenaient à Yorkshire bataillons des services) et 49 prisonniers allemands. Onze dont les hommes sont enterrés dans le cimetière, Il contient maintenant 147 tombes britanniques, de 1914 à 1918 victimes de la guerre
Cimetière militaire des Moeres (59)
Ce Cimetière communal Des Moeres (deuxième guerre mondial) se trouve au sud de dunkerque prés de la frontière Belge, ce carré contient les tombes de 68 soldats britanniques qui sont tombés pendant les étapes du retrait vers dunkerque en 1940.
BUNKERS D'UN WEEK END A ZUYDCOOTE
Visite des bunkers à Zuydcoote
-les cimetieres militaire de Mont- Bernanchon et Gonnehem (62)
Commune de Mont-beranchon est titulaire de la Croix de Guerre 1914-1918 (25 septembre 1920)et Commune de Gonnehem est titulaire de la croix de guerre 14-18 (23 septembre 1920)
lieux de mémoire des communes.
-le cimetiere britannique « mont- Bernanchon »à Gonnehem. Ce cimetière a été ouvert à la mi avril 1918, alors que la ligne de front allemande se rapproche durant la bataille de la Lys à près de 3 kilomètres du village. Il était utilisé par les unités combattantes et l’office des sépultures du XIII corps et par la 4e division. Après l’Armistice, des tombes y furent regroupées. Aujourd’huiil contient les tombes de 166 soldats britanniques et 2 francaise tombes dans le batailles de la lys et 2 tombes britanniques de la seconde guerre mondial Cimetière conçu par W.H. Cowlishaw.
- Mont-Bernanchon Churchyard (route de Saint-Venant à Béthune, lieu-dit Plaine du Moulin, superficie : 942 m2). Dans le cimetière, on trouve les tombes de 13 soldats tombés durant la première guerre mondiale, et 55 tombés au cours de la deuxième guerre mondiale, tous sont britanniques.
- Gonnehem Churchyard. Dans le cimetière, on trouve les tombes de 5 soldats britanniques tombés en 1915 et 1918. Cimetière conçu par W.H. Cowlishaw.
Cimetiere militaire francais de Dunkerque
Dunkerque est une ville portuaire bien connue dans la partie ouest du département du nord. Sur le cimetière sont 1833 sépultures françaises de la première guerre mondiale
La ville était un centre hospitalier français de la bataille de la région et d'Ypres.
cimetiere militaire 14/18 de Bethune (62)
Le cimetiere militaire de bethune se trouve au fond du celui municipal
La section britanniques de ce cimetiere fut utilisé pour les inhumations des corps provenant des nopitaux de Bethune .Il contient les tombes de 2923 soldats britanniques, 55 canadiens , 26 indiens , 122 francais et 87 allemands.
Il y a aussi les tombes militaires de la deuxieme guerre mondial , dont 17 britannique , 2 canadiens et 1 francais
Nécropole Nationale de Zuydcoote, Soldats de Mai Juin 1940
918 hommes y reposent, ils ont été tué lors de la Bataille de Dunkerque et de l'Opération Dynamo
Cimetière militaire de Thionville (Cimetière russe-franco-allemand) (57)
Thionville est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est.
1871 : par le traité de Francfort Thionville fait partie de l’Empire allemand et reprend son nom à consonance germanique Diedenhofen. La ville est intégrée au Reichsland Elsass-Lothringen, dans le bezirk Lothringen couramment dénommé Lorraine allemande. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent naturellement pour l’Empire allemand. Beaucoup de jeunes gens tomberont ainsi au champ d'honneur sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest, en particulier en France et dans les Flandres Sujets loyaux de l'Empereur, les Lorrains de souche accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix, enfin retrouvée. La population d'origine allemande, majoritaire à cette époque, est malheureusement contrainte de quitter la ville. La défaite de 1918 redonne Diedenhofen à la France. La commune redevient Thionville. Les arrondissements de Thionville-Est et Ouest seront conservés.
Thionville 1562 militaires français, soviétiques, allemands, belges et britanniques ; 1 ossuaire (1914-1918)
Le cimetière de Thionville contents les tombes de 692 soldats soviétiques (1914-1918). Situé dans l'enceinte de la nécropole française. Aussi les tombes de 787 Allemands et 162 Français (1914-1918) et 3 britanniques et deux belges.
Quelque tombes a entré du cimetière sont française et allemande de la seconde guerre mondial.
Sur les Docks (2) à Zuydcoote!!
21/11/14
Bande annonce de l'expo du 50ème anniversaire du film Week-end à Zuydcoote
Week-End à Zuydcoote 1964-2014
En 1940, l'écrivain Robert Merle a vécu le désastre militaire de Dunkerque où les soldats français et britanniques ont cherché à échapper aux forces conquérantes allemandes. Relatant son expérience dans son roman « Week-end à Zuydcoote », il décroche en 1949 le prix Goncourt et devient un auteur en vogue.
Une quinzaine d'années après, il signe les dialogues de cette adaptation cinématographique confiée au savoir-faire d'Henri Verneuil. Ce dernier, après plusieurs comédies à succès, s'est spécialisé dans la réalisation de grosses productions internationales, où il met en lumière son talent de conteur et l'efficacité de sa mise en scène.
Cette description de ce que beaucoup appelle encore « la débâcle française », détonne fortement dans le paysage cinématographique de l'époque, préférant vanter les mérites de la « résistance ».
Nous sommes en présence de simples soldats, coincés en juin 1940 sur la plage de Zuydcoote, qui dans le cadre de « l'opération Dynamo », tentent par tous les moyens de sauver leur peau alors que se précise l'annonce de la défaite. Entre amitié et histoire d'amour impossible, « Week-end à Zuydcoote » met en scène un casting impressionnant : Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle, Catherine Spaak, Marie Dubois, Pierre Mondy, François Périer, Georges Géret, Maurice Auzel, Christian Barbier, Robert Bazil, Pierre Collet, Gérard Darrieu, François Guérin, Kenneth Haigh, Ronald Howard, Pierre Vernier, Paul Préboist, Dominique Zardi, Bernard Musson, Marie-France Boyer...
Le tournage de ce film, réalisé en 1964, a animé les villes de Dunkerque-Rosendaël (site de la gare), Leffrinckoucke (usine des dunes), Bray-dunes et Zuydcoote. Il a nécessité le recrutement de nombreux figurants, venus des environs pour vivre cette aventure.
C'est pourquoi, la commune de Zuydcoote a décidé d'organiser un ensemble d'évènements sur l'année 2014 pour commémorer ce film qui a fait sa renommée sur le plan national, dépassant les de 3 millions d'entrées, mais aussi à l'international. Une exposition documentée avec la participation de nombreux musées et associations ainsi qu'un chemin de lecture proposeront de revivre le passé (1940), mais aussi l'époque du tournage (1964). Un livre sera édité pour l'occasion permettant aussi de fixer sur le papier l'histoire de ce tournage et la mémoire des figurants, ces témoignages étant complétés par des clichés inédits. En fin de journée, un spectacle musical vous conduira des chansons françaises des années 40 aux chansons anglaises de la « nouvelle vague » de 1964. Une conférence ainsi qu'une projection du film sera assurée les semaines précèdentes, alors que timbres, cartes postales ou bière du cinquantenaire feront le bonheur des amateurs...
Cimetière militaire de Caudry (allemand)(59)
Caudry est une ville du nord de la France Nord. Durant la Première Guerre mondiale, Caudry et le Cambrésis furent occupés par les troupes allemandes pendant presque toute la durée du conflit []. Les troupes allemandes entrèrent dans la ville le 27 août 1914 au matin . La mairie servit de Kommandantur à l'armée d'occupation. À Caudry comme ailleurs dans le Nord, l'occupation par les troupes allemandes fut lourde : jusqu'à 20 000 soldats furent hébergés dans la ville, pour 12 000 habitants qui y étaient restés. La ville fut libérée par la 37e division anglaise le 10 octobre 1918[, à proximité du cimetière militaire britannique 705 blessés. Le cimetière allemand en 1917 créé par les troupes allemandes, à la suite de la bataille dite de Pâques d'Arras en Avril 1917, la bataille de chars de Cambrai en Novembre 1917 et la contre-attaque allemande en Décembre,
Il contient les tombes de 3194 allemands, une russe et une française.
Cimetière militaire communal de Cambrai (59) porte de paris
Cambrai est une commune française, située dans le département du Nord de la France .Occupée et partiellement détruite par l'armée allemande pendant la Première Guerre mondiale, Cambrai voit se dérouler à ses portes en 1917 la bataille où les chars sont pour la première fois
En 1914, l'armée allemande occupe la ville : cette occupation qui dura quatre ans fut marquée par des scènes de pillages, de réquisitions et d'arrestations d'otages. Du 20 novembre au 17 décembre 1917, les environs de la ville de Cambrai furent le théâtre de la bataille de Cambrai, qui vit pour la première fois l'utilisation massive des tanks.
En 1918, les Allemands incendièrent le centre de la ville avant de la quitter, détruisant l'hôtel de ville ainsi que les archives municipales. Au total, plus de immeubles sur les que comptait Cambrai furent totalement détruits.
Au cours des quatre années d’occupation, la ville constitue pour les Allemands un important centre logistique et de commandement. Ils y installent aussi de nombreux hôpitaux. Les blessés qui y décèdent ou les soldats morts au front sont d’abord enterrés dans le cimetière de la Porte de Paris.
Dans ce carré militaire, reposent les corps de 94 soldats britanniques 7 australiens ,10 canadiens ,1 néo-zélandais, une d’Afrique du sud, des allemandes, des françaises et 6 belges morts durant la Première Guerre mondiale.
Ce mémorial rend hommage aux Cambrésiens, militaires et civils, disparus durant les guerres de 14-18, de 39-45 et lors des guerres d’Indochine et d’Algérie.
Dans le cimetière reposent les corps de soldats rapatriés par leurs familles. Certaines tombes sont surmontées de croix portant des éléments évoquant la guerre tels fusil, épée ou baïonnette. La plupart de ces sépultures présentent la médaille militaire ou la croix de guerre.
Cimetière militaire de Hondschoote (59) deuxième guerre mondial
Hondschoote est une commune française située dans le département du Nord (59) 15 kilomètres de sud-est de Dunkerque.
Ce cimetière ce trouve dans le cimetière communal de Hondschoote, ces soldats sont tombé pendant le replie vers dunkerque. il contient 54 soldats britanniques qui ont péri dans un combat d’arrière garde .
cimetiere militaire allemand de Salomé (59)
Il contient 3548 soldats allemands ,2 Austro-Hongroie.et 2 soldats d'Armée Portugaise morts pendant la guerre Première Guerre mondiale, le cimetière de Salomé a été créé en Janvier 1916 par les troupes allemandes. Il a servi aux soldats allemands qui sont morts ou de leurs blessures jusqu'en Juillet 1918. Les premieresTombes sont des années 1914 et ont regroupé ce qui pourrait être enterré temporairement pendant le combat sur le champ de bataille à l'époque. La majorité des morts étaient des victimes de la guerre autour de La Bassée et des environs, les combats au printemps et à l'automne de 1917 et l'attaque allemande au printemps 1918. Après la guerre, les autorités militaires françaises ont augmenté le Cimetière après la guerre.
Remarque :
- le nombre de victimes sur la plaque prés de la croix indique 2552 tombes
- les deux tombes portugaises sont des croix blanche
- les stèles en pierre naturel pour ceux de religion juive
Cimetière militaire de d’Awoingt (59)
Awoingt est une commune française située dans le département du Nord, en région Nord-Pas-de-Calais. Awoingt fait partie de la Communauté d'agglomération de Cambrai.
Le village d’Awoingt fut pris en octobre et devient un centre d’unités médicales .Les corps des victimes inhumés dans ce cimetière appartiennent à ces unités, soldats et aviateurs dont 636 britanniques ,15 néo-zélandais, un indien ,6 français et 57 allemands sont enterrés ici.
Le » Fort Des Dunes. Cimetières La mémoire de Dynamo et de la Résistance
Le » Fort Des Dunes.
Cimetières La mémoire de Dynamo et de la Résistance
La Nécropole nationale du fort des dunes à Leffrinckoucke ,Cimetières La mémoire de Dynamo et de la Résistance
Le rôle joué par cet édifice et les heures tragiques qu’il connut durant la Seconde Guerre mondiale en font aujourd’hui un haut lieu de la mémoire des conflits contemporains. Le Fort des Dunes fut en effet soumis aux bombardements intensifs de l’aviation allemande lors de l’opération Dynamo, dans les premiers jours de juin 1940. Environ 300 militaires français y furent tués et la nécropole extérieure qui renferme les corps des soldats non réclamés par leurs familles témoigne des lourdes pertes enregistrées à cet endroit par l’armée française durant ces journées apocalyptiques.
C’est dans l’enceinte même du fort que, le 2 juin 1940, le général Janssen, commandant la 12e division d’infanterie, trouva la mort, sous les bombes des stukas, après avoir visité ses unités pour leur annoncer un embarquement imminent.
Sous l’Occupation, le fort est intégré par les Allemands dans le dispositif du Mur de l’Atlantique sous le nom de code « Dahlie » (dahlia) et devient une simple annexe de la batterie de Zuydcoote.
Le nombre impressionnant de soldat tchèque inconnu dans cette nécropole et du faite du non respect des lois de guerre ( croix rouge) elle est du fait des forces allemande en punition d’avoir combattu avec les forces alliées. Le même sort est dans les régiments dit étranger dite coloniaux ,et de la légion étranger pour la même chose avec en plus en cas de capture par ,la déportation qui fut aussi le cas des soldats militaire de religion Israélite
Aout 2014 .souvenir Français de Seclin.