Moitron. La commanderie des templiers
Un petit tour dans le passé à présent. Et nous avons retrouvé l'une des dernières traces en Sarthe de l'ordre des templiers. Cet ordre religieux et militaire de chevaliers du Moyen Age... A Moitron plus précisément dans une commanderie en rénovation. Visite guidée
Sur la trace des Templiers à Figeac
Histoire des Templiers à Figeac (Lot-46).
Extrait du magazine il était une fois, réalisé par Télétoulouse (TLT) et commenté par Anne Oriol.
Retrouvez le magazine en intégralité sur teletoulouse.fr
MONTRICOUX - COMMANDERIE TEMPLIERE
Montricoux est une commune française, située dans le département de Tarn-et-Garonne et la région Midi-Pyrénées.
Ses habitants sont appelés les Montricounais et les Montricounaises
L'histoire de Montricoux fut marquée notamment par la fondation d'une commanderie par les Templiers de Vaour au XIIIème siècle.
A Montricoux, les Templiers firent construire d'abord le donjon puis un château auquel ils accolèrent leur monastère.
Le donjon bien plus haut qu'il ne l'est actuellement, comprenait une salle basse voûtée, sans autre ouverture à l'origine que d'étroites meurtrières sur la façade sud. Au-dessus, il y avait trois étages et une plate-forme crénelée. Aux angles s'élevaient quatre tourelles en encorbellement également crénelées; dans celle du nord-ouest se trouve l'escalier à vis qui desservait les différents étages; on pouvait y accéder par une porte donnant dans le château et par une galerie boisée à l'intérieur de la salle basse, au niveau du premier étage. La construction du donjon fut achevée en 1287.
Le château et ses dépendances furent détruits au XVI° siècle durant les guerres de Religions, par un incendie provoqué par une attaque des Calvinistes de Montauban, seul le donjon fut épargné
symbole de l'autorité seigneuriale, il sera malheureusement mutilé à la Révolution de 1789 par la population. Il resta longtemps en l'état de ruines, avant que ses murs ne furent arasés et qu'une toiture ne soit mise en place.
C'est aux Templiers que nous devons très certainement, la construction de la partie la plus ancienne de l'église actuelle, celle qui correspond au porche d'entrée et qui appartient à l'architecture romane tertiaire du XII° siècle.
Les diverses pièces du Cartulaire des Templiers de Vaour relatifs à Montricoux, nous montrent que cinq églises existaient au XII° siècle sur l'étendue actuelle de la commune. Outre l'église Saint-pierre, déjà citée, il faut ajouter la chapelle de Saint-Félix devenue l'église de Saint-Laurent de Mairessi, puis de Maynet, l'église de Saint-Géniés qui a disparu depuis la révolution après le rattachement de ce territoire à la commune de Montricoux, l'église de Saint-Benoît de Castres dont la construction est antérieure à l'an mille, aujourd'hui désaffectée est privée. Le culte y fut célébré jusqu'à la Révolution et un pèlerinage avait lieu tout les ans pour implorer la guérison des enfants malades, il se poursuivit jusqu'au XIX ° siècle. La cinquième église était située au lieu dit Bourbou, et dédiée vraisemblablement à Sainte-Madeleine. Il n'en reste aujourd'hui qu'un pan de mur dont l'appareillage de certaines assises à feuilles de fougère caractérise l'époque mérovingienne. Le lieu où elle se trouve était nommé « la Madeleine » au XI ° siècle et à la fin du XIX° siècle, tout comme pour Saint-Géniès, dans un champ où devait être le cimetière de la paroisse, les labours faisaient souvent découvrir des restes humains.
En parcourant rues et ruelles, on peut admirer de très belles maisons à Pan de bois ainsi que quelques ouvertures aux encadrements remarquables.
Des vestiges de l'ancien rempart subsistent flanqués de trois tours qui témoignent du riche patrimoine historique et architectural du village
La première dénomination connue de Montricoux serait tout d'abord « Mormacus » puis Mons-Riculfi qui deviendra en langue d'OC Mont-Ricolf et plus tard Mont-Ricos qui veut dire : Mont rude, âpre (Monricos).
STE EULALIE DE CERNON AVEYRON - COMMANDERIE TEMPLIERE
Sainte-Eulalie-de-Cernon est une commune française, située dans le département de l'Aveyron
Ses habitants sont appelés les Saint-Eulaliens
Cependant, le terme occitan les désignant est Cristoulis, faisant référence à l'occupation des soldats du Christ, les Templiers puis les Hospitaliers.
Au Moyen Âge, l'église locale dépendait alors des bénédictins de Gellone.
En 1158, Raymond Béranger, roi d'Aragon et comte de Barcelone, en sa qualité de tuteur de Raymond Berenger II, vicomte de Millau, trop jeune pour exercer ses droits, donne à Élie de Monbrun, la ville de Sainte-Eulalie, et la terre dite Larzac qui l'entoure, avec permission d'y construire des villes (villas) et des places fortes (forcias).
À partir de Sainte-Eulalie, les Templiers organisent le territoire du Larzac, et construisent à Sainte-Eulalie une grande commanderie. Structurant l'espace agricole, la Commanderie deviendra une des plus puissantes du sud de la France, participant alors au financement des activités des Templiers en Palestine.
À la fin de l'ordre du Temple, la ville passe sous domination hospitalière (1312).
En 1377, pendant la nuit du 11 juillet, François de Roquefeuil, un seigneur voisin issu de la puissante Maison de Roquefeuil, incendie le château et pille la ville.
De 1442 à 1450, les remparts de la ville sont alors construits par Déodat Alaus maître maçon de Saint-Beauzely.
En 1575, la ville est pillée par les protestants lors des guerres de religion.
À la Renaissance, la ville s'embellit : le chateau devient villégiature de Commandeurs comme Jean-Antoine Riqueti de Mirabeau, oncle du fameux tribun révolutionnaire, se pare de fresques remarquables. La place du village est réaménagée avec la construction d'une fontaine monumentale ceintrée de quatre platanes majestueux. L'accès à l'église est inversé et le cœur est percé d'un portail baroque.
Hôtel Figeac
Hôtel Figeac:
Le Dernier Témoin de L'Ordre
Film pour la Société des Amis de Laon et du Laonnois. Ce court-métrage met en avant l'importance du travail de restauration à réaliser pour la sauver de la ruine.
Quelle Aventure : le mystère des Templiers
Qui n’a jamais entendu parler du trésor des templiers, beaucoup de personne le cherche encore… mais cette fois ci c’est au tour de Fred et Jamy de partir a ça recherche et pour cela quoi de mieux que d’aller a la source en retourner a l’époque des templiers.
Frédéric Courant (Acteur), Jamy Gourmaud (Acteur), Franck Chaudemanche (Réalisateur) Classé: Tous publics
Genres : Documentaire, Jeunesse
Ruines du Château de Taillefer dans le Lot, un paysage et un patrimoine exceptionnels
Nous nous sommes rendus, une nouvelle fois, à Gintrac dans le Lot pour admirer de splendides ruines et un paysage magnifique.
L' histoire:
Le château dit du Bastit ou de Taillefer constitue l'une des pièces maîtresses du patrimoine castral médiéval du Lot. Paradoxalement, l'édifice et le lieu n'ont laissé que très peu de traces dans la documentation. Selon Jacques Juillet (1975), Taillefer aurait fait partie au début du 14e siècle (1315), des possessions de la commanderie des templiers du Bastit-du-Causse (de Gramat). L'auteur admet que l'origine de l'édifice reste énigmatique et émet l'hypothèse qu'il pourrait résulter d'une donation des seigneurs de Loubressac (vers 1151) ou de ceux de Miers. Le rebord de falaise sur lequel le château fut édifié aurait été connu sous le nom de Roc de Saint-Lazare, ce qui le conduit à supposer la présence d'une ancienne léproserie, et expliquerait la présence d'un ancien bassin récemment détruit, au revers de la porte d'entrée, à droite (bassin des ladres ?). Une chapelle dédiée à Notre-Dame était, semble-t-il, attenante au château.
L'appellation de château de Taillefer, communément utilisée pour désigner l'édifice, est en réalité celui d'une ancienne famille bourgeoise de Martel qui aurait donné son nom à un hameau (ancienne borie ?) situé sur le flanc ouest du site. L'utilisation abusive de ce toponyme pour désigner le château résulterait d'une confusion avec un autre château (disparu ?) qui dominait la Dordogne au-dessus de Gluges (commune de Martel) et que Champeval mentionne sous le nom de Taillefer. La carte IGN et les plans cadastraux mentionnent le lieu-dit sous le nom du Bastit, toponyme qui paraît renvoyer à celui de la commanderie des templiers du même nom, implantée au sud-ouest de Gramat, à laquelle le château est supposé avoir appartenu.
Les ruines conservées peuvent dater du 13ème siècle.
Le Château de Taillefer pour lequel nous avions déjà produit un reportage photos ici:
Vous pouvez profiter aussi d'un magnifique paysage avec la vallée du Lot.
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Vidéo réalisée avec le drone DJI Phantom 3 SE en 4K.
Exportée pour YouTube en 1080HD.
Musique: Epidemic Sound for YouTube Créators
Réalisation de Sébastien Colpin
©SEBASTIENCOLPIN2018
MARTIEL - AVEYRON
Martiel,
commune de l'ouest du département de l'Aveyron, dans la région Midi-Pyrénées, limitrophe du département du Lot, à 10 km de Villefranche-de-Rouergue
Le village est un ancien Fort de forme ovoïde, 4 800 m2 de superficie environ. Les Templiers ont résidé sur la commune (Ginouilhac, Lespinassière) et ont vraisemblablement participé à la fortification du site. Une vingtaine de maisons s'y trouvaient enfermées, les dos « aveugles » des maisons constituaient l'enceinte du Fort.
Le Porche, porte à l'ouest du Fort ouvre sur le faubourg et l'église St -Barthélemy, une deuxième porte située au sud a disparu.
Au centre du Fort, la Tour carrée est isolée des maisons attenantes, 6 m de côté et 24 m de haut, elle était coiffée d'un toit à l'origine. C'est une Tour « refuge », pas de présence permanente, elle servait au guet, à entreposer des biens en cas de danger, édifiée au XIIIe siècle sans doute avec l'aide des Templiers.
Martiel était à l'origine un bourg ecclésial construit autour de son église, et dont l'enceinte était constituée par les maisons construites côte-à-côte.
Cette première église, datant du Xe siècle a disparu. L'église actuelle fut construite dans le faubourg ouest au XVe siècle, avant d'être remaniée au XIXe siècle.
À la révolution, la commune a englobé quatre autres paroisses :
Elbes : cette paroisse très ancienne était déjà citée en 961 dans le testament de Raymond, comte de Rouergue. Cette seigneurerie appartenait aux vicomtes d'Elbes, puis aux abbés de Loc-Dieu.
Marroule : qui s'est développée autour du prieuré des bénédictines du Buis, près d'Aurillac.
Fontaynous : ancienne grange de l'abbaye de Loc-Dieu et lieu de résidence des abbés.
Ginouillac : cette seigneurie fut donnée aux Templiers de la commanderie de La Capelle-Livron.
NAJAC - forteresse Royale - AVEYRON
NAJAC
est une commune française située à l'ouest du département de l'Aveyron dans la région Midi-Pyrénées. Elle fait donc partie de l'ancienne province du Rouergue
Le bourg chef-lieu de la commune est l'une des cinq Bastides du Rouergue
Najac était le siège d'une viguerie qui fut par la suite transformée tribunal d'Appeaux et siège d'un bailliage dont dépendaient trente-neuf paroisses. Le siège de la justice du Rouergue se trouvait primitivement à Najac et relevait du comté de Toulouse.
Le bourg est dominée par le château, construit en deux périodes distinctes :
le XIIe siècle : la base de la Tour Carrée, construite par les comtes de Toulouse qui possèdent le comté de Rouergue ;
le XIIIe siècle : les autres parties du château, construites par Alphonse de Poitiers, frère de Saint-Louis, alors devenu comte de Toulouse de par son mariage avec l'unique fille du dernier comte de Toulouse, Jeanne de Toulouse, mariage arrangé par Blanche de Castille, mère de Saint-Louis.
Ce château a été construit pour impressionner les habitants du pays]. Dans une période assez instable, où les cathares sont encore persécutés, où le comté de Toulouse vient de tomber entre les mains du royaume de France, un donjon de plus de 40 mètres de haut avec des archères de 6 m 80, impressionne. C'est ainsi que pendant plus d'un siècle, aucune révolte n'est à signaler et ce, jusqu'à la guerre de cent ans, lorsque le bourg tomba entre les mains des Anglais
Son cachot servi de prison aux derniers templiers du Rouergue.