Église Saint-Pierre de Collonges-la-Rouge (Dordogne-FRANCE)
♫ Jésus, à Toi ma vie ~ Soeur Agathe ♫
Collonges la Rouge & l'Église Saint-Pierre, France
Collonge la Rouge
Collonges-la-Rouge (Colonjas en occitan), surnommée la « cité aux vingt-cinq tours », est une commune française, située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Les habitants de Collonges-la-Rouge sont des Collongeois et Collongeoises
COLLONGES LA ROUGE EN CORREZE (un des plus beaux villages de France)
Lien Tipeee :
-la-Rouge (Colonjas en occitan), surnommée la « cité aux vingt-cinq tours », est une commune française, située dans le département de la Corrèze en région Limousin.
Les habitants de Collonges-la-Rouge sont des Collongeois et Collongeoises.
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.
Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraine la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du XIXe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.
Au début du XXe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.
En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage,éclairage,eaux pluviales).
Collonges-la-Rouge (19 Corrèze - Limousin) - Chiesa di Saint-Pierre
Angelus del 07 maggio 2009
Collonges la Rouge
Description
Début de la saison touristique à Collonges-la-Rouge
Avec presque un mois de retard, la saison touristique 2018 commence enfin dans un des plus beaux villages de France. A Collonges-la-Rouge, les commerçants voient les touristes revenir et les réservations s'accumuler. Intervenants : Guillaume Squeren
Restaurateur à Collonges-la-Rouge, Ronan Lebreton Restaurateur à Collonges-la-Rouge, Nicolas Ceyrac Commerçant Propriétaire de gîtes à Collonges-la-Rouge, Marie-Dominique Derrien Hôtelière à Collonges-la-Rouge. Equipe : Jean-Martial Jonquard, Jean-Marie Arnal, Nicolas Stil.
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Collonges la Rouge en Corréze
Cette vidéo traite de Projet sans titre
Collonges-la-Rouge - Vallée de la Dordogne, L'étonnant voyage !
Collonges la Rouge, vous étonnera par la couleur de sa pierre !
#ValléeDeLaDordogne, L'étonnant voyage !
Collonges-la-Rouge - La Cité aux Vingt-Cinq Tours
LA CLEF DE VOÛTE. Blotti aux pieds des derniers contreforts du Limousin, le village fortifié de Collonges-la-Rouge est un véritable joyau de la Corrèze. Le grès rouge des pierres utilisées dans l'édification des bâtiments, signe d'identité de la commune, contraste avec le vert de la campagne alentour et illumine les façades des belles demeures aristocratiques qui s'y trouvent. Ce rouge insolite et flamboyant doit sa couleur au grès gorgé d'oxyde de fer, fruit de millions d'années de dégradation du Massif central que l'érosion a lentement déposé dans le bassin de Brive.
Ce fleuron du patrimoine corrézien voit le jour au VIIIe siècle, quand les moines de l'abbaye de Charroux, en Poitou, fondent un prieuré sur les terres de Collonges. Ancienne étape des pèlerins vers Saint Jacques de Compostelle, c'est à son rattachement à la vicomté de Turenne que Collonges-la-Rouge doit la richesse de son architecture. Indépendants de la Couronne de France, les Collongeois bénéficient de précieux privilèges accordés dès le XIe siècle : exemptions fiscales, libertés, franchises, privilèges, immunités, et droit d'exercer la justice. C'est grâce à cela que de nombreuses familles de Collonges ont pu s'enrichir et se construire de magnifiques castels et manoirs.
La rue principale du bourg ou rue de la Barrière, aligne les maisons nobles du XVIe siècle. Parmi elles, se trouve la Maison de la Sirène au colombage en encorbellement et à la toiture en lauzes de grès rouge. Ce type de toiture primitive qu'on trouve dans l'ensemble du village, église comprise, exige de très solides charpentes de châtaignier. Sur sa porte à accolade, on voit à droite la sculpture d'une sirène qui tient un miroir d'une main et de l'autre un peigne, et à gauche probablement celle d'un homme à longue chevelure chevauchant un dauphin.
La rue Noire, au jolie pavement, distribue les maisons en retrait les unes des autres pour faciliter la défense de la ville. Dans cette rue se trouve la maison du célèbre comédien Maurice Biraud, qui fit beaucoup pour la notoriété de Collonges. Situé rue de la Garde, le castel de Vassinhac, daté de 1583, a été construit par les Vassinhac, jadis la plus puissante famille de Collonges. Ornée de deux tours hexagonales et d'une tourelle en poivrière, la porte d'entrée est à accolades et à gorge gothique et croisillon Tudor. Cet édifice avait à la fois une fonction défensive et une vocation résidentielle.
Au centre de la ville, l'église Saint-Pierre et son clocher roman, daté de 1100, s'élance fièrement aux cotés du clocher carré et de la tour du guetteur. De style limousin et bâties sur la croisée du transept, les voûtes de la nef ont été reconstruites au XVe siècle. Le système défensif de l'église a été renforcé au XVIe siècle, où le grand donjon carré fut pourvu d'une salle de défense communiquant avec un chemin de ronde. Collonges traverse les guerres de religion de manière plutôt pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées en alternance pour le culte catholique et le service protestant... cas unique selon les historiens.
Le tympan à l'architecture raffinée, construit en 1130-1140, représente l'Ascension du Christ au registre supérieur, tandis que la Vierge, humble et priante, entourée des onze apôtres, occupe le registre inférieur. Œuvre admirable d'artistes limousins réalisant la synthèse entre les écoles des pays de Toulouse et d'Auvergne, il est en pierre calcaire de Nazareth, proche de Turenne : un véritable ivoire dans un cadre de rubis.
Tout à côté ce trouve la chapelle des Pénitents. Datant du début du XVe siècle, elle abrita à partir de 1665 une confrérie (les Pénitents noirs) qui avait notamment pour œuvre charitable d'enterrer les morts bénévolement. Bordant la place de l'église se trouve la halle aux grains et aux vins (XVIe siècle). Elle est pavée de grès rouge et de calcaire, et possède une imposante charpente couverte d'ardoises. Elle abrite le four banal, toujours utilisé à l'occasion du traditionnel marché d'antan.
Proche de la Porte plate, ancienne porte fortifiée de la ville, se trouve la maison de la Ramade de Friac avec ses deux tours de guet remarquables. Construite à la fin du XVIe, elle était la propriété de la branche des Ramade (famille importante pour l'histoire de Collonges) qui possédait le château de Friac, à l'extérieur de Collonges. En face de celle-ci se trouve la maison Boutang du Peyrat à la façade incurvée et percée d'une porte surmontée de symboles probablement franc-maçonniques.
Collonges-la-Rouge, que l'on appelle aussi la cité aux vingt-cinq tours, n'a pas encore livré tous ses secrets. On raconte que certaines de ses tours ont été cachées sous le Directoire lorsqu'un impôt a été institué sur les fenêtres et les tours. Les habitants, plutôt que les détruire, ont préféré construire tout autour.
Collonge la rouge - Another life 13 partie 3 et fin
Petite video au village tout rouge de Collonges La Rouge
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Visite commentée de la chapelle des pénitents à Collonges-la-Rouge : introduction
Collonge la Rouge
petite vidéo à partir de photos prise à collonge la rouge
Domme - Une Bastide Perchée
LA CLEF DE VOÛTE. Perchée sur les hauteurs d'une falaise vertigineuse et surplombant les méandres de la Dordogne, la nature a fait du mont de Domme le site idéal pour une place forte. Domme est une bastide (ville neuve fondée sur décision royale) élevée en 1281 par le roi de France Philippe II le Hardi contre la menace anglaise. Dès sa création, Domme se voit accorder des privilèges comme celui de battre sa propre monnaie, d'avoir des consuls, administrateurs et juges, ainsi que des exemptions.
La Bastide de Domme a du se conformer aux exigences du site. De ce fait, elle ne possède pas le plan régulier des autres bastides de la région : au lieu d'être carrée ou rectangulaire, elle est en forme de trapèze, et les rues suivent autant que possible un plan géométrique. Les fortifications son adaptées à la configuration naturelle du site en prenant appui sur les assises rocheuses affleurant ça et là. Son édification, commencée en 1283, pose de nombreux problèmes techniques. Ce n'est qu'en 1310 que la construction de l'enceinte est achevée.
Le site de Domme constituait un emplacement hautement stratégique qui semblait idéal pour contrecarrer les velléités d'expansion anglo-gasconnes. Et pourtant, sa position privilégiée n'empêcha pas la bastide d'être prise et reprise plusieurs fois. Dès 1346, les Anglais s'emparent de la ville et celle-ci devient tour à tour bastide anglaise ou française. Ce n'est qu'en 1438 que la bastide redevient définitivement française.
L'ensemble fortifié de la ville est en parti démantelé à la fin des guerres de Religion mais les remparts restent aujourd'hui assez complet dans les parties sud et est. Ils sont percées de trois portes : la Porte des Tours, l'une des plus belles du Périgord (cette porte est flanquée de deux grosses tours à bossage du XIIIe siècle qui abritaient la garnison et pouvaient servir de prison comme en témoignent les énigmatiques graffitis laissés par des prisonniers Templiers enfermés ici entre 1307 et 1318), la Porte de la Combe, et la Porte del Bos qui signifie du bois en français (elle était située à proximité d'un bois où furent pendus les traîtres qui livrèrent Domme aux Anglais en 1346).
À l'intérieur de la bastide subsistent de belles maisons anciennes de style roman et Renaissance. Près de la place de la Rode, la maison du batteur de monnaie témoigne des privilèges commerciaux octroyés à ces nouvelles villes. Construite en 1282, cette maison est l'endroit où l'on battait les pièces de cuir noir pour payer les bâtisseurs de la cité. Situé dans la ville basse, la place de Rode est l'une des deux places de la bastide. Elle est non seulement le lieu des supplices (place de «la Roue») mais aussi celle des foires qui s'y tenaient, quatre fois l'an, sur décision royale.
Sur la place de la Halle, située sur la partie haute de la ville, là où vivaient les notables, l'Hôtel du Gouverneur, construite au XVe siècle, a été surélevée d'une haute tour carrée au XVIe. La veille Halle occupe le centre de la place depuis le XVIIe. Elle devait servir de marché couvert au rez-de-chaussée et, à l'étage, de maison commune où se réunissait les autorités. Une rangée de colonnes en pierres sculptées supporte le balcon et une galerie en charpente. Aujourd'hui elle abrite l'entrée des grottes.
Comme pour la plus part des bastides, l'église n'est pas implanté au bord de la place centrale mais légèrement à l'écart. Construite avec les pierres de l'ancienne église détruite pendant les guerres de Religions, elle présente une façade constituée d'un clocher-mur. Le fronton de l'église porte la date de sa construction, soit 1622, et le porche d'entrée celle de 1883, année de sa restauration. L'édifice est composé d'une nef unique avec quatre chapelles latérales voûtées en pierre. La nef est couverte d'une voûte en pierre dressée en berceau surbaissé, percée de quatre fenêtres à pénétration. La Sainte Vierge fut de tout temps très honoré à Domme. Aussi l'église paroissiale a-t-elle pour patronne et titulaire Notre-Dame de l'Assomption.
En passant devant l'église on accède ensuite au belvédère de la Barre, qui s'élève à 212 mètres au-dessus du niveau de la mer et à 150 mètres au-dessus de la rivière. De là, le panorama embrasse un cirque de plus de 40 kilomètres sur la vallée de la Dordogne, avec des champs bien travaillés et des châteaux bien cachés. Depuis ce sommet, on a du mal à imaginer qu'une grande cavité se trouve juste au-dessous. C'est qu'une grande grotte naturelle s'étend entièrement sous la bastide de Domme.
Domme connaîtra la prospérité jusqu'au XVIIe siècle puis périclitera. Hors des grandes voies de communication, sans industries, la cité s'assoupira, victime de l'exode rural. Domme a traversé les siècles sans presque subir les ravages du temps et s'offre à nous telle qu'elle était au Moyen Âge.
Collonges la rouge © Catherine Le Roux
Collonges-la-Rouge, surnommée la « cité aux vingt-cinq tours », est une commune française, située dans le département de la Corrèze et la région Limousin.
Cet incomparable grès rouge signe l'originale identité de cet ancien fief des Comtes de Turenne. Il est partout, sous les toits de lauze ou d'ardoise des maisons nobles des XV et XVIème siècles, de la halle aux grains et aux vins ou encore de l'église Saint-Pierre.
Teaser du sentier des sources à Collonges-la-rouge
Tournon, vu du ciel
Vidéo projetée à l'occasion de la présentation des voeux 2017 à la population
Brantome and Collonges-la-Rouge
For my fellow nurses out there!!! please watch my playlist about my life as a nurse here in the UK:
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Random musings of a Nurse in the UK
This video is my personal vlog and would basically cover my life working as Nurse in the UK, it also includes some musings of my personal life! I am a very optimistic person, so for those people who would rather spoil and leave negative comments behind-I would advise you to stop watching my videos and just live your life and leave me alone. Let us all spread the love and inspire people! xx