Saint Nicolas - BUHL - 2015
Saint Nicolas accueilli par la grande foule
Beaucoup, beaucoup de monde, vendredi soir, autour de l’église Saint-Jean-Baptiste pour accueillir le tant attendu saint Nicolas avec sa grande barbe blanche, sa belle mitre rouge et sa crosse d’évêque de Myre.
Une ambiance magique régnait sur la place de l’église, à peine éclairée par les flammes des grandes bûches scandinaves, les petites lumières des cabanons, quelques spots et les lampions colorés que tenaient les enfants, surveillés de près par leurs parents.
Yves Coquelle, président de l’Office municipal des sports et de la culture qui organisait la manifestation, a su faire patienter le jeune public en promettant moult fois l’arrivée imminente de saint Nicolas.
En attendant le saint homme, ce fut la formation de Gugga Musik, « D’r Behler Schlappabader » (« Les Moines pantouflards de Buhl ») qui ont ouvert les festivités en offrant une prestation de circonstance qui a été très applaudie.
Les Petits Lutins, bien coquins, ont fait leur entrée et se sont regroupés autour de la grande panière remplie à ras bord des cinquante kilos de mandarines et des vingt kilos de chocolats et de bonbons acquis par l’OMSC qu’ils allaient distribuer aux enfants sages !
Puis, sous les cris de joie des enfants, saint Nicolas est arrivé… Hans Trapp était bien sûr de la partie, avec son grand sac de jute et son fouet en osier, ainsi que les gentils moines de Murbach venus, cette fois-ci, sans le petit âne qui s’était attardé ailleurs !
La distribution des gâteries, des compliments, des petites remontrances pouvaient commencer.
Quand tout fut vidé et dit, saint Nicolas s’est assis sur son trône et les parents ont dégainé leurs portables pour de mémorables séances photos.
La fête n’était pas terminée car, au nom de l’OMSC, Yves Coquelle a invité tout le public à déguster des tranches des mannala géants, accompagnées, pour les enfants, de chocolat chaud..
Cette année, ce sont Yves Coquelle et l’équipe de l’OMSC qui ont eu la bonne surprise de voir la fête de la Saint-Nicolas être filmée par un cameraman de France 3 pour l’émission « Midi en France » (lire ci-dessus) de cette semaine. A ne pas louper !
La grande foule pour accueillir Saint Nicolas à Buhl ( 68 ) - Photos
Vidéo uniquement disponible sur pc a cause des droits d'auteurs de la musique du spectacle
Énormément , de monde, vendredi soir, autour de l’église Saint-Jean-Baptiste pour accueillir le tant attendu saint Nicolas avec sa grande barbe blanche, sa belle mitre rouge et sa crosse d’évêque de Myre.
Une ambiance magique régnait sur la place de l’église, à peine éclairée par les flammes des grandes bûches , les petites lumières des cabanons, quelques spots et les lampions colorés que tenaient les enfants, surveillés de près par leurs parents.
Yves Coquelle, président de l’Office municipal des sports et de la culture qui organisait la manifestation, a su faire patienter le jeune public en promettant moult fois l’arrivée imminente de saint Nicolas.
En attendant le saint homme, ce fut la formation de Gugga Musik, « D’r Behler Schlappabader » (« Les Moines pantouflards de Buhl ») dirigée par Carole Fabacher qui ont ouvert les festivités en offrant une prestation de circonstance qui a été très applaudie.
Puis ce fut un moment d' émerveillement aussi bien pour les parents , que pour les enfants et l'occasion de découvrir, un voyage mystérieux et enflammé, un spectacle, qui leur a été proposé par LES .ENFANTS DE BORVO , une jeune troupe de jongleurs de feu pour qui la jongle est leur plume et le feu leur encre. ( Spectacle sur la vidéo qui suivra )
Puis, sous les cris de joie des enfants, Saint Nicolas est arrivé précédé des Petits Lutins, qui se sont regroupés autour de la grande panière remplie à ras bord des cinquante kilos de mandarines qu’ils allaient distribuer aux enfants sages ! …
Hans Trapp était bien sûr de la partie, avec son grand sac de jute et son fouet en osier, ainsi que les gentils moines de Murbach !
La distribution des gâteries, des compliments, des petites remontrances pouvaient commencer.
Quand tout fut vidé et dit, saint Nicolas s’est assis sur son trône et les parents ont dégainé leurs portables pour de mémorables séances photos.
La fête n’était pas terminée car, au nom de l’OMSC, Yves Coquelle a invité tout le public à déguster des tranches des mannalas géants, accompagnées, pour les enfants, de chocolat chaud et les parents éventuellement d'un excellent vin chaud.
Photos et Article
Réalisation Jean Marc Coquelle
La Venue du Saint Nicolas - Buhl 68530 - 2011
Garder l’âme d’une tradition, tel est le fil conducteur du comité directeur de l’Office municipal des sports et de la culture de Buhl. Aussi, vendredi prochain, après la tombée de la nuit, les enfants seront, sans nul doute, au rendez-vous avec saint Nicolas et Hanstrapp, place de l’Église à Buhl.
« Un beau spectacle attendra les visiteurs.
Cette année, l’animation sera rehaussée par la fanfare des Hussards d’Altkirch, qui sera la première fois dans le Florival, comme ce fut le cas les deux années précédentes avec les Grognards de Haute Alsace.
Après le spectacle sur la place de l’église Saint-Jean-Baptiste, somptueusement illuminée, c’est en cortège, ouvert par deux sapeurs-pompiers locaux, en tenue d’époque, que tous se dirigeront vers la place du Marché pour le concert de la fanfare des Hussards d’Altkirch. Le moment tant attendu par les petits et les grands, couronnera cette soirée en l’honneur des enfants, avec distribution de chocolat chaud et de Mannalas, ainsi que des parts des deux grands Mannalas de trois mètres qui auront été découpés sur place », souligne le président, Yves Coquelle.
Le bénévolat de l’équipe organisatrice
Nadine, Joanna, Marie Pierre, Audrey et Sylviane ont mis leur talent de couturières à contribution depuis quelques semaines, où elles se retrouvent pour confectionner les costumes des lutins et des capes pour le spectacle et le défilé. Déjà innovatrices et bien engagées lors du quiz de Pâques, elles ont à nouveau débordé d’imagination pour cette fête destinée aux enfants, mais démontrent qu’elles gèrent bien les dépenses, cette manifestation étant entièrement financée par l’OMSC.
Formation de prestige
La fanfare des Hussards d’Altkirch est une authentique formation de prestige et de tradition. Elle est une des toutes dernières fanfares de cavalerie traditionnelle de la France, descendante directe du 8 e Régiment des Hussards.
Ce prestigieux régiment créé en 1793, a servi les deux Empires et toutes les Républiques. Stationné en Alsace, à Altkirch, les trente dernières années de son existence, le régiment et sa fanfare ont été dissous en 1993. La fanfare a été recréée, sous statut associatif, le 11 novembre 2000, par quelques nostalgiques et anciens musiciens appelés et engagés.
Elle est agrémentée par la tonalité des timbales, les excellentes trompettes de la formation à deux voix, qui assurent l’éclatante sonorité de la fanfare, par des trompettes-cors, trompettes-basses et contrebasse et d’un efficace pupitre de tambours, grosses caisses et cymbales.
Forte aujourd’hui d’une vingtaine de musiciens, venant des quatre coins du département, elle cultive, entretient et sauvegarde le répertoire traditionnel de la cavalerie française ainsi que l’esprit des Hussards.
Le Petit Montmartre 2015
Le Petit Montmartre, sur un air d’accordéon
Le petit Montmartre a animé la Place de l’église de Buhl samedi et dimanche. Une troisième édition qui a apporté cette année encore son lot de découvertes artistiques, gastronomiques et musicales.
il y avait foule ce week-end sur la Place de l’église Saint-Jean-Baptiste de Buhl, où l’équipe de l’Office municipal des sports et de la culture organisait la 3e édition de son désormais fameux « Petit Montmartre buhlois ». Un cru 2015 savouré comme il se doit au son de l’accordéon et de l’orgue de la barbarie, en flânant au milieu des nombreux stands proposant produits du terroir, livres ou œuvres d’art.
Ce week-end festif avait débuté samedi sur les chapeaux de roues, avec les multiples expositions d’artistes qui permettaient d’admirer peintures, sculptures et perles de verre. Les amateurs de belles mécaniques n’étaient pas en reste, puisque des collectionneurs passionnés présentaient quelques magnifiques voitures d’époque. Dans l’église et ses alentours, on pouvait également découvrir plusieurs expositions de photos et documents sur le thème de la vigne et de son histoire, ou encore sur le château du Hugstein et son sentier. La partie musicale était assurée par Vincent Schoepfer et son adorable orgue de barbarie. Et pour ajouter encore à cette ambiance parisienne des bords de Seine, les amateurs de livres n’ont eu que l’embarras du choix pour flâner au milieu des centaines d’ouvrages proposés par les bouquinistes.
Le pique-nique des producteurs locaux
En fin d’après-midi, les producteurs locaux ont tenu leur pique-nique. L’occasion de déguster charcuterie, pain, légumes et autres fromages.
Hier, la fête a repris de plus belle, avec une partie musicale assurée dans un premier temps par le concert-apéritif de la chorale « Unis’son », puis par la prestation très énergique du groupe les « Frelots ». Ces derniers, au nombre de trois, ont fait guincher le public avec des reprises particulièrement inspirées des grands classiques de la chanson française. D’autres moments forts ont ponctué la journée, notamment la création d’une œuvre peinte par Sylvain Berst, les caricatures amusantes de « Champôl », ou encore les ateliers peinture et puzzle destinés aux enfants
Réalisation Jean Marc Coquelle
Abaye de Murbach & L'église de Buhl
Description
Le Petit Montmartre 2016, Dans une ambiance parisienne (Tablettes et Iphones )
L’édition 2016 du « Petit Montmartre » a su habilement jongler avec les aléas de la météo et offrir deux journées de formidable convivialité entretenue avec un savoir-faire devenu presque naturel par l’équipe organisatrice.
L’OMSC de Buhl s’est une nouvelle fois pleinement engagée dans l’organisation du « Petit Montmartre Buhlois » avec l’aide des membres des différentes sections et du service technique de la commune.
Samedi après-midi, la fête a été inaugurée par la prestation de la Musique de Linthal, dirigée par Sébastien Flory, et les paroles de bienvenue de Fernand Doll, premier magistrat de Buhl, qui a remercié et félicité Yves Coquelle, président de l’OMSC, Serge Montagnon, vice-président et initiateur de la fête, les membres de l’OMSC, le personnel communal et le service technique pour la réalisation de la manifestation.
Après avoir salué la présence d’Alain Grappe, Karine Pagliarulo, conseillers départementaux, de René Gross, maire de Murbach, de Richard Gall, maire de Lautenbach-Zell/Sengern et, plus tard dans la soirée, de Francis Kleitz, maire de Guebwiller, Yves Coquelle a présenté les nombreux exposants aux invités et le fameux « four papier » dont son créateur, Sylvain Berst, a explicité le fonctionnement.
Au retour de la visite, Yves Coquelle a procédé à la prestigieuse cérémonie d’intronisation de quatre nouveaux membres de la Confrérie du Petit Montmartre buhlois. Il s’agit de Dame Karine Pagliarulo, nommée au rang de « Grand chevalier d’honneur » alors que Dame Catherine Stein (de la Pâtisserie Stein), Sieur Mathieu Pfeffer (chef d’agence des DNA à Guebwiller), Sieur Christophe Traber (patron du restaurant « Caveau d’Or ») ont été nommés « Grands chevaliers d’honneur accompagnants ». Tous les membres de la Confrérie ont ensuite eu l’honneur de faire s’envoler les belles colombes blanches de l’association colombophile du Florival.
Animations, concerts gratuits en non-stop
Le but de ces deux journées était de faire plaisir au public ! Il a été largement atteint. Samedi soir, un concert donné par Nathalie B a attiré la grande foule. Il a été suivi par un spectacle par la troupe Quendor.
Dimanche, un concert-apéritif par la chorale buhloise Unis’son puis un concert-spectacle par les célèbres Frelots a animé l’après-midi. Après un lâcher de ballons-cartes par les élèves de l’école Maurice-Koechlin, un dernier concert dans l’église Saint-Jean-Baptiste par le duo Cairn avec Dominique Ritter à l’orgue Koulen et Eric Hueber à la bombarde a donné une belle touche finale à ces deux journées de festivités.
Je ne pensais pas que l’engouement serait aussi grand
Autre moment magique avec une rencontre inédite autour de la Tour Eiffel, dont un Buhlois fut le concepteur et que les exposants, collectionneurs et artisans locaux conjuguent sous toutes les formes. Alors quand Mireille Huchet, la collectionneuse et éditrice de « Tour Eiffel mon Amour », converse avec Rémi Koechlin, l’arrière-arrière petit fils de Maurice Koechlin, concepteur de la structure de la Tour Eiffel, ce fut un enchantement supplémentaire. « Je découvre les environs et en venant ici à Buhl, je ne pensais pas que l’engouement serait aussi grand. C’est super et pour tout public » , a commenté à chaud Rémi Koechlin.
À ces moments inédits, il faut associer tous les acteurs qui depuis quatre années ont consolidé les fondations de cet important rendez-vous florivalien annuel : la musique de Linthal Sengern, qui a donné le coup d’envoi, les peintres, sculpteurs, artisans, collectionneurs, bouquinistes, brocanteurs, caricaturiste, marchands, les élèves de l’école Koechlin, les Amis du retable, l’association Pro Hugstein.
Sans oublier la chorale Unis’Son, les Frelots, Vincent et son orgue de Barbarie, Nathalie B et son orchestre manouche, la troupe de spectacle Quendor et le Duo Cairn.
Le public est reparti, enchanté, après avoir rencontré artistes-peintres, artisans du bois, du métal, bouquinistes, auteurs, créateurs, caricaturiste et s’être laissé guider à travers des expositions sur les fêtes profanes à Buhl, le château du Hugstein, le Retable…
Réalisation : Jean Marc Coquelle
152.Liebfrauenkirche Achern (2/2) / Eglise Notre-Dame Achern (2/2)
Viertelstundenschlag (Glocken 4+2+3), gefolgt vom Vollgeläut (6 Glocken) der katholischen Liebfrauenkirche in Achern (Ortenaukreis, Baden-Württemberg) : 2. Teil mit Innenansichten der Kirche.
Schlagtöne : c' - es' - f' - g' - b' - c''. (Bessere Tonqualität im Video 1/2)
Von diesen sechs Glocken wurde eine Glocke im Jahre 1599 gegossen, eine andere im Jahre 1751 und die vier anderen wurden in den Jahren 1949/1950 gegossen. Genauere Informationen über diese Glocken wären willkommen!
Diese Kirche wurde 1824 im Weinbrennerstil erbaut. Ihr Vorgängerbau war eine Marienkapelle, von der ein Teil des Turms aus dem Jahre 1452 übrigbleibt. Für den Bau der heutigen Kirche wurden Baumaterialien der ehemaligen Oberacherner Johanneskirche und der Klosterkirche Allerheiligen benutzt.
Sonnerie des quarts d'heure (cloches 4+2+3), suivie du plenum (6 cloches) de l'église catholique Notre Dame d'Achern (Allemagne, Bade-Wurttemberg): 2ème partie avec vues de l'intérieur de l'église.
Tonalités : do - mi bémol - fa - sol - si bémol - do.
De ces six cloches, une a été coulée en 1599, une autre en 1751 et les quatre autres en 1949/1950. Toute information complémentaire sur ces cloches est la bienvenue !
Pour la construction de cette église édifiée en 1824, on réutilisa des matériaux provenant de l'ancienne église St-Jean de la commune voisine d'Oberachern et du couvent de la Toussaint. Dès 1452 fut édifiée une chapelle dédiée à la vierge à l'emplacement de l'église actuelle et dont il subsiste la base de la tour.
Interview d'Andrew Miller - Dernier Requiem pour les innocents
Andrew Miller en compagnie de David Tuaillon nous parle de son livre Dernier requiem pour les innocents traduit par Piranha.
Dernier Requiem pour les innocents
Une plongée étonnante dans le Paris populaire à la veille de la Révolution.
En 1785, Jean-Baptiste Baratte, jeune ingénieur normand tout juste diplômé, est chargé par le ministre du roi de vider le cimetière des Saints-Innocents avant de le détruire. Situé en plein coeur de Paris, c'est le plus ancien de la ville; depuis plusieurs années déjà, il déborde et l'odeur nauséabonde qui s'en dégage menace la santé des riverains.
Jean-Baptiste envisage d'abord sa mission comme... suite sur
Cloches - Zurich-Wiedikon (CH-ZH) église réformée
Construite de 1895 à 1896, l'église réformée de Wiedikon est un des édifices religieux néogothiques les plus majestueux et intéressants du pays. Le choix de la brique n'est de loin pas aléatoire: la présence de briqueteries sur le territoire de cette ancienne commune - rattachée à Zurich en 1893 - a rendu le coût de ce matériau bien plus accessible que s'il avait été question de pierres de tailles, comme l'architecte Paul Reber l'avait pourtant préconisé initialement. Victime - comme l'ont été nombre d'autres monuments issus du courant historiciste - de transformations malheureuses tout au long du XXe siècle, cette magnifique église a retrouvé son aspect original lors d'une ultime rénovation supervisée entre 1983 et 1984 par les Biens Culturels zurichois. L'impressionnant orgue Goll de 1897 a lui aussi subi de profondes modifications au fil des décennies. A l'origine pneumatique, l'instrument est aujourd'hui à traction mécanique depuis le relevage effectué en 1985 par la maison Kuhn. L'excellence de l'orgue, associée à la beauté et à la remarquable acoustique du lieu, font de l'église réformée de Wiedikon un lieu privilégié pour de nombreux concerts.
La sonnerie ne comportait initialement que 4 cloches formant un accord majeur parfait en si bémol 2. Un défaut de construction provoqua la chute de la cloche no2 en 1949. C’est en 1950 que l’actuelle cloche no4 fut hissée dans un emplacement déjà pensé lors de la construction du premier beffroi. Son aspect épuré tranche avec les riches motifs néogothiques de ses sœurs aînées.
-Cloche 1, « Cloche des Heures », note sib2 -26/100, poids 3’311kg, coulée en 1896 par Ruetschi à Aarau
-Cloche 2, « Cloche de Midi, note ré3 -41/100, poids 1’639kg, coulée en 1896 par Ruetschi à Aarau
-Cloche 3, « Cloche du Matin et du Soir », note fa3 -17/100, poids 1’009kg, coulée en 1896 par Ruetschi à Aarau
-Cloche 4, note sol3 -27/100, poids 770kg, coulée en 1950 par Ruetschi à Aarau
-Cloche 5, note sib3 +15/100, poids 421kg, coulée en 1896 par Ruetschi à Aarau
(La3 = 435Hz, déviation en 1/16 de 1/2 ton)
Mes plus vifs remerciements à M. Hans-Ulrich Spitzli, sacristain de longue date, pour sa gentillesse et sa disponibilité. Un tout grand merci également à mes excellents camarades Stefan Mittl, expert-campanologue à Zurich, et John Brechbühl, membre de la GCCS, pour l’organisation de cet intéressant week-end campanaire entre Zurich et Argovie les 18 et 19 juillet 2015.
Sources :
« Die reformierte Kirche Bühl in Zürich-Wiedikon », par Wilhelm Gut, © Evang-ref Kirchgemeinde Zürich-Wiedikon 2011
Archives de la maison Ruetschi
A consulter :
Volée Dominicale du temps ordinaire de l'église Notre Dame de grâce et st omer de Ardres
Vidéo du Dimanche 3 Septembre
Sacristain de cette église j'ai filmé la volée pour l'office de 11h15 ( sonnerie que j'ai programmé) j'ai créé une ordonnance de sonnerie selon la liturgie, des baptêmes, solennité, mariage etc...
Dans cette vidéo ( pardon pour le son médiocre car il y avait du vent j'ai protéger le micro) sonnerie horaire ( 11h00) déclenchement de la sonnerie partielle ( 3 cloches sur 4 : les plus grosses) à 11h01 pendant 8 minutes. J'ai filmé que quelques minutes car le prêtre allait arrivé.
Sonnerie Horaire sur la cloche 2 Fa#3
11h01: Sonnerie pour les Dimanches du temps ordinaire par ordre de mise en route:
Cloche 3: Marie Désirée Dieudonnee 430kg sol#3 ( elle date de 1874)
Cloche 2: Saint Omer 659kg Fa#3 ( refondue en 1724)
Cloche 3: Marie Claudine Jeanne Victoire 873kg Mi 3 ( refondue en 1724 puis en 1930)
Cloches: Eysson (25 530), Eglise Saint-Georges
Cloche 1: « Marie », Diamètre 115,1 cm, Poids 890 kg, Fondue par Bournez à Morteau, en 1 825, Chante le Mi3
Cloche 2 « Marie-Françoise », Diamètre 97,8 cm, Poids 500 kg, Fondue par G.Farnier à Robécourt, en 1 934, Chante le Sol3.
Je remercie très chaleureusement M. Le Maire de la commune d’Eysson, qui, sans lui, rien de ce reportage aurait été possible. Je le remercie aussi pour le prêt de son échelle et surtout, pour son bel accueil!
Cloches: Jungholtz (68 500), Basilique de Thierenbach
Cloche 1: « Nicolas », Diamètre 140,0 cm, Poids 1 750 kg, Fondue par Causard, à Colmar, en 1 931, Chante le Ré3
Cloche 2: « Christ Prince De La Paix », Diamètre 126,5 cm, Poids 1 137 kg, Fondue par la Fonderie de Karlsruhe, en 1 994, Chante le Mi3
Cloche 3: « Joseph », Diamètre 115,5 cm, Poids 940 kg, Fondue par Causard, à Colmar, en 1 946, Chante le Fa3
Cloche 4: « Anne-Madeleine », Diamètre 104,0 cm, Poids 725 kg, Fondue par Causard, à Colmar, en 1 946, Chante le Sol3
Cloche 5: « Antoine », Diamètre 91,8 cm, Poids 500 kg, Fondue par Causard, à Colmar, en 1 946, Chante le La3
Cloche 6: « Notre-Dame-De-L’Espérance », Diamètre 78,2 cm, Poids 302 kg, Fondue par la Fonderie de Karlsruhe, en 1 994, Chante le Do4
Cloche 7: « Splendeur-De-La-Vérité », Diamètre 69,0 cm, Poids 207 kg, Fondue par la fonderie de Karlsruhe, en 1 994, Chante le Ré4
Cloche déposée: Fondue par Causard, à Colmar, en 1 923
Début de la sonnerie à 2:23
J‘envoie mes plus vifs remerciements à M. l’abbé Simon, recteur de la basilique ainsi qu’à M. Marschal, président du conseil de fabrique.
Je remercie grandement Pascal (Campalsa via Youtube), pour cette superbe organisation, je le remercie d’autant plus pour cette superbe journée à la découverte du patrimoine Alsacien!
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Abbaye de Murbach
Ancienne abbaye de Murbach, joyau de l'art roman en Alsace. Les abbés de Murbach furent princes d'Empire.
Straßburg Place Kleber Musikkapelle Intermezzo - Street musicians Strasbourg
Mehr: Ein Besuch im nahen Straßburg lohnt sich immer. Unerwartete Happenings tauchen auf und sind genauso schnell wieder verschwunden, wie hier auf dem Place Kleber, einem zentralen Platz mitten in der Stadt. In der Mitte des Platzes sieht man auch die Statue von Jean-Baptiste Kléber der als französischer General während der Französischen Revoluition ( 1789 -....) Karriere machte. So verbleibt es mir einen Extra-Tusch zu zelebrieren: Vive la culture francaise!
Les Cloches du Temple Saint-Etienne de Mulhouse
L'origine du temple St.-Étienne est très ancienne. Un nouvel édifice de style roman est consacré en 1186. En 1351, le chœur, reconstruit dans le style gothique, est à son tour consacré.
Les collatéraux sont reconstruits en 1504. La tour est surelevée en 1510 et sera dotée d'un bulbe baroque en 1707. En 1523, le culte catholique laisse la place au culte réformé de langue allemande.
Au milieu du XIXe siècle, le conseil municipal décide de construire un nouvel édifice. Les plans néo-gothiques sont réalisés par l'architecte Jean-Baptiste Schacre. La première pierre est posée en 1859. L'inauguration officielle de l'édifice a lieu en 1866.
La flèche de la tour de chevet culmine à 97 m de hauteur. Il s'agit non seulement du plus haut clocher du Haut-Rhin mais aussi du plus haut clocher protestant de France.
Léglise fait lobjet dimportants travaux de restauration extérieurs et intérieurs, commencés en février 2009 et prévus pour durer jusquen 2019. Ces travaux, qui doivent à terme couvrir lédifice dans sa totalité, ont commencé par la mise sous échafaudage complète du clocher.[1