Digne : en quête de ressources pour ses séminaristes
La situation est assez rare pour être mise en évidence. Mgr Jean-Philippe Nault, évêque de Digne, Riez et Sisteron, s´interroge sur la manière de financer la formation des séminaristes de son diocèse. Huit séminaristes sont au séminaire et le diocèse, en situation financière fragile, doit chercher des ressources pour financer leurs études. C´est pourquoi l´évêque a lancé un appel à dons sur internet en décembre 2016, pour subvenir à leurs besoins et à leur formation. Pour autant, l´évêque de Digne encourage la pastorale des vocations dans un diocèse qui ne compte que 26 prêtres de moins de 75 ans. Car ce renouveau constitue un signe d´Espérance. Au-delà des considérations matérielles se joue l´avenir du diocèse et bien plus encore : « Nous aurons toujours besoin de pasteurs selon le coeur de Dieu, souligne Mgr Nault. La question des vocations est donc cruciale pour notre pays et pour chacun de nos diocèses. Elle est chargée aussi d´espérance. » Quel renouveau pour le diocèse ? Quel sens a la formation des prêtres ? Rencontre avec deux séminaristes du diocèse en mission paroissiale à Forcalquier.
Reportage du 06/04/2017.
150 ans de l’église Notre-Dame de Valence – 1858/2008
Le Comité des Orgues et la Communauté de Notre-Dame de Valence vous présentent un historique pour les 150 ans de l'Eglise avec des illustrations musicales sur l'orgue de ND par Dominique JOUBERT, Jean-François MURJAS, Liliane TAULEIGNE, Organistes Valentinois.
L’église Notre Dame est l’une des églises de la paroisse du centre ville de Valence. Les fidèles de Notre Dame ainsi que ceux de la cathédrale, de Saint Jean, de Sainte Catherine et sainte Thérèse constituent aujourd’hui la paroisse Saint Emilien.
En 2008, il y a 150 ans naissait la paroisse Notre Dame ; 150 ans d’histoire d’hommes bâtisseurs, de réalisations, de modifications et d’adaptations diverses que nous vous invitons à découvrir.
La population de Valence est alors de 16000 âmes dans les remparts dont 8 à 9000 pour la paroisse de Saint Apollinaire, et de 4500 à 5000 en dehors des remparts.
Le 11 décembre 1858, l’empereur Napoléon signe le décret érigeant Notre Dame en succursale.
Le 14 novembre 1897, Monseigneur COTTON bénit les 4 cloches qui garnissent le clocher.
Elles se nomment Marie-Georgine, Marie-Augustine, Marie-Thérèse-Claudia et Marie-Francisca, toutes quatre réalisées par la maison Paccard d’Annecy. Leur inauguration donne lieu à un concert d’orgue avec Vincent D’Indy dont on connaît les attaches valentinoises et cévenoles.
L’église a souffert de la guerre et du poids des ans. Il y a eu 174 victimes dans la paroisse. Une pieta en marbre de Carrare et le nom des victimes sont visible dans la chapelle de droite à l’entrée de l’église.
BALADE AIX LES BAINS
Aix-les-Bains est une commune française, située dans le département de la Savoie et la région Rhône-Alpes. Importante ville thermale française, elle est dotée du plus grand port de plaisance en eau douce de France. Elle compte 27 531 habitants et fait partie de l'aire urbaine de Chambéry.
Le Casino Grand Cercle se trouve à Aix-les-Bains, constitue un ensemble architectural majeur en Savoie, au même titre que le casino d'Évian-les-Bains. Le casino a été inauguré en 1850 par le roi Victor-Emmanuel II, duc de Savoie. Le plafond de son salon est couvert d'une splendide mosaïque composée de 3,5 millions de petits cubes de verre sertis sur fond d'or. À l'époque, le bâtiment comprenait en sa partie centrale une salle de bal flanquée de deux salons, l'un pour le jeu, l'autre pour la lecture et la correspondance. Trente ans plus tard, le casino prit de l'ampleur et s'agrandit de deux pavillons latéraux. En 1899, le bâtiment se dote d'un théâtre de neuf cent places, équipé d'une machinerie en bois. Dernièrement quatre œuvres de l'artiste peintre Di Credico ont été placées dans la salle des jeux traditionnels (la boule, la roulette, le blackjack...). Le casino Grand Cercle a été classé au 24e rang des casinos français sur la base de son produit brut des jeux pour l'exercice 2004-2005
L'église Notre-Dame-des-Eaux, paroisse de l'Assomption se trouve dans le centre-ville d'Aix-les-Bains. Un concours d'architectes fut organisé pour concevoir l'édifice religieux et fut remporté par Arthur Bertin. La construction fut confiée à l'entreprise Bonna. Les travaux débutèrent en 1890 pour se terminer en 1892 bien qu'en réalité des modifications furent encore apportées jusqu'en 1905. Le bâtiment prend la forme d'une croix. L'aspect général est d'inspiration byzantine. La croisée des transepts supporte une coupole. Son clocher de couleur vert, à cause de l'oxydation de sa couverture, est fait de bois, sa tour s'élève à cinquante-cinq mètres au-dessus du parvis. On peut également y contempler ses voûtes en berceau simple qui, pour leur part, sont plutôt d'inspiration romane. Le chemin de croix, en cours de classement à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, provient d'Espagne, d'où il a été ramené par le général Forestier, lors des campagnes de Napoléon Ier. Quant aux tableaux des douze apôtres, classés depuis 1976, et conservés dans le chœur, ils proviennent certainement d'Italie, d'après les expertises, et seraient du xviie siècle102. Cet édifice domine de ses hauteurs la cité aixoise. Il est très présent dans la vie quotidienne des habitants. La place devant l'église se transforme durant la semaine en parking public en raison de son emplacement central dans le tissu urbain.
Le Musée Faure est issu originellement d'œuvres d'une collection privée, celle du docteur Faure (1862-1942), léguée à la ville et installée depuis 1949 dans une villa 1900. Ce musée possède la deuxième collection de France d'œuvres de Rodin avec pas moins de trente-quatre sculptures, sans compter les études du maître. Cet établissement propose également au public une collection de peinture concernant l'impressionnisme avec des peintres proches, comme ceux du romantisme, du post-impressionnisme et du symbolisme. Il détient la deuxième plus grande collection impressionniste de province. On peut voir des peintures de Corot, Boudin, Jongkind, Ravier, Puy, Cézanne, Sisley, Pissarro, Degas, Bonnard, Vuillard, Lebourg, Lebasque, Marquet, Robert Antral, Charles Cottet, Jules Desbois, Edmond Aman-Jean, John Singer Sargent, Victor Vignon, Constant Troyon, Stanislas Lépine, et aussi Adolphe Monticelli, Georges Michel, Jean Victor Bertin.
lire la suite sur wikipedia....
Le père René Pichon sur France 3!
A l'occasion des fêtes de Noël 2008, une équipe de France 3 est venue réaliser un reportage sur le Père Pichon, curé d'Aix-les-Bains et marathonien de la foi; à la tête de 12 paroisses, ce prêtre sportif s'apprête en effet à enchaîner une série de messes, pour apporter, d'églises en églises, la Bonne Nouvelle de la naissance du Christ; une épreuve d'endurance, qui débute à l'église aixoise Notre Dame, par la traditionnelle veillée de Noël dont le thème met en scène les grandes figures de la bonté.
Messe de la nuit de NOEL du mardi 24 décembre 2019
Evenement en direct avec les freres et les soeurs de St Pierre. Pour suivre l'office avec les textes du jour, rendez-vous sur .
Présentation de la PAROISSE d'AIX-LES-BAINS
Voici la bande annonce d'un reportage de 28 mn sur les activités de la paroisse d'Aix-les-Bains en Savoie, menée avec enthousiasme et dynamisme par le Père René Pichon, aujourd'hui curé de 12 clochers.Réalisation vidéo: Fabien GUICHARDAN, production CHERCHEUR D'IMAGES (pictureraiders.com)
horaire messes paroisse d'Oleron
Paroisse d'Oléron - doyenné de Marennes - diocese charente maritime La rochelle
1 Saint-Pierre
rue de la République x place de l'Eglise 17310 Saint Pierre d'Oléron
05.46.47.11.44
2 LE CHATEAU Notre Dame de l'Assomption
05 46 47 65 44
rue Pierre Wiehn 17480 LE CHATEAU D'OLERON
dim 10h30
3 DOLUS Saint André
grande rue 17550 DOLUS D'OLERON
05 46 75 63 00
sam 19h
dim 10h30
4 La Cotiniere ND de la mer et Saint-Nicolas (anc. ND des flots)
rue du Capitaine Leclerc - sur LE PORT - La Cotiniere 17310 St Pierre
sam 18h
messe anticipée de la Pentecôte 19h
6 Saint-Georges
28 rue Dames 17190 Saint-Georges-d'Oléron
05 46 76 60 10
dim 11h
7 Grand-Village Saint Joseph
Rue du Petit Village 17370 Grand-Village plage
05 46 47 50 18
8 Saint Denis
rue Ernest Morisset 17650 SAINT DENIS D'OLERON
dim 10h30
9 LA BREE Notre Dame de l'Assomption
Rue des Acacias 17840 LA BREE LES BAINS
dim 9h30
10h30 messe de la Pentecôte
10 Saint Trojan
rue de la République 17370 saint trojan Les Bains
10h30 dim
11 Domino Chapelle
Rue de la Libération Domino 17190 SAINT GEORGES D'OLERON
samedi 19h
Long version:
CHAPELLE NOTRE DAME DE LA GORGE © 2018 - LES CONTAMINES MONTJOIE - HAUTE SAVOIE
Réalisation vidéo & photos © B.TRIOULET
La chapelle Notre-Dame-de-la-Gorge se trouve sur le territoire de la commune des Contamines-Montjoie (Haute-Savoie), au fond du Val Montjoie à 1210 mètres d'altitude. L'origine de cette chapelle est obscure mais néanmoins très ancienne.
Elle se situe sur le chemin qui, venant de la vallée de l'Arve par Saint-Gervais mène au col du Bonhomme puis vers l'Italie.
Histoire
Un ermite se serait installé dès le haut Moyen Âge le long de ce chemin afin d'offrir un abri aux voyageurs. Le sanctuaire était dédié à saint Antoine. Le petit sanctuaire va devenir paroisse. En 1338, le village de la Gorge compte trente feux.
En 1443, Mgr Vittelschi visite la paroisse qui ne compte plus que quatorze feux. Elle est alors nommée Notre-Dame-de-la-Gorge et est fille de Saint-Nicolas. L’évêque note que la toiture de l'église est en mauvais état et réclame des travaux. En juillet 1518, un incendie détériore l'église. Lors d'une tournée pastorale en 1606, Saint François de Sales constate qu'il n'y a plus que dix feux.
Entre 1699 et 1707, le nouveau curé Colliex, d'une famille de Magland, entreprend la reconstruction de l'église. Jean La Vougna, qui a construit l'église de Saint-Gervais, en sera l'architecte. Elle est de style baroque.
En 1728, le curé Gaillard entreprend la construction d'un ensemble de quinze petits oratoires qui jalonnent le chemin conduisant à l'église. Cinq Mystères Joyeux, cinq Mystères Douloureux et cinq Mystères Glorieux constituent le rosaire marquant les étapes de la vie de la Vierge Marie. Les oratoires actuels restaurés, sont plus petits.
Pendant la révolution française, l'église sert d'écurie. La paroisse, en déclin depuis longtemps, est supprimée en 1806 et rattachée aux Contamines.
Le 21 août 1871, le pèlerinage marial rassemble près de 10 000 personnes venues de toute la région. La sacristie de la chapelle conserve les bannières de Flumet, Notre-Dame-de-Bellecombe, Saint-Nicolas-la-Chapelle, La Giettaz, Praz-sur-Arly, Megève, Combloux, Domancy, Servoz et Les Houches, confectionnées pour cette occasion.
La restauration du sanctuaire commence en 1952. Les couleurs d'origine de la voûte et des murs sont retrouvées après grattage et des statues des XVIIe et XVIIIe siècles, retrouvées dans les greniers, sont replacées dans les niches.
L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 2015.
La Sainte Chapelle
Sainte-Chapelle des Contamines-Montjoie
Deux cents mètres en amont de Notre-Dame de la Gorge, une petite chapelle est accrochée au flanc de la paroi rocheuse. Elle remplace une chapelle plus ancienne qui se trouvait au ras du torrent et fut emportée par une crue en 1914.
La tradition veut que le premier ermite de la Gorge ait choisi ce site pour établir son ermitage.
Aujourd'hui encore, le 15 août, jour de l'Assomption et le 8 septembre, anniversaire de la Nativité de la Vierge, une procession conduit les fidèles de Notre-Dame-de-la-Gorge à la Sainte-Chapelle.
Regards sur la communauté catholique francophone de la Haye - 2015
Les jeunes de l’aumônerie de la Paroisse de tous les Saints à la Haye
Une paroisse qui bouge !
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L'abbaye cistercienne de Léoncel (Drôme - France)
(F) Des moines de l'Abbaye de Bonnevaux sont à l'origine de sa fondation en 1137, à 900 m d'altitude dans un val du Vercors. Les cols donnant accès à la plaine de Valence, la proximité du col de la Bataille et du partage des eaux entre Isère et Drôme soulignent la qualité de la situation.
Commencée au milieu du XIIe siècle, consacrée en 1188, l'église fit en réalité l'objet de plusieurs campagnes enchaînées jusque vers 1230.
Elle propose une transition entre l'art roman dépouillé et robuste du choeur et les élans pré-gothiques de la nef.
Les éléments du choeur, abside et absidioles voûtées en cul-de-four, transept aux voûtes en plein cintre sans arc ni moulure, croisée portant coupole sur trompes, traduisent l'influence de l'art roman provençal. Les bas-cotéss, en berceau rampant, manifestent aussi une grande sobriété. Par contre les cinq travées du vaisseau central, voûtées en croisées d'ogives, affichent un art plus savant, en partie sous influence bourguignonne et auvergnate.
De fortes piles supportent les arcatures brisées des élévations latérales et, indirectement, les retombées des voûtes en porte-à-faux sur des colonnes engagées et ornées de chapiteaux.
A l'extérieur, on remarque surtout l'harmonie du chevet autour de l'abside pentagonale et le clocher de type alpin à deux étages fort bien équilibré.
En 1389-90, Raymond de Turenne ravage l'abbaye; l'église reste seule debout. Le cloître, sauf la galerie orientale, et l'aile des convers ne furent pas relevés.
En 1681, l'abbaye est soumise au régime de commende. L'absentéisme des abbés, le refus de l'effort de réforme consenti ailleurs, la faiblesse du recrutement et plusieurs conflits de voisinage expliquent ou illustrent le déclin aux XVIIe et XVIIIe siècle. Mais les moines ne cessèrent de porter attention à leur monastère, surtout lorsque le partage des menses eut restreint leur accès à la plaine. Ils modifièrent la façade occidentale de l'église, le service paroissial suscitant l'ouverture du portail central et la fermeture des portes latérales. Ils refirent la coupole en élargissant l'oculus, remontèrent la clocher, reprirent le chevet, renforcèrent le mur gouttereau nord avec des contreforts. L'aile des moines fut remaniée et on acheva vers 1730 un bâtiment d'habitation, parallèle à l'église.
En 1777, après enquête, la Commission des réguliers décide la suppression de la communauté monastique de Léoncel dont les trois derniers religieux menaient une vie qui n'avait plus rien de religieuse, mais l'abbaye est maintenue.
En 1789, il n'y a plus que quatre moines, la Révolution mit un terme à la présence cistercienne, et l'abbatiale devint église paroissiale en 1790. (wikipedia)
Map for tourists:
VALPARD FILMS
Présentation Paroisse De Briant Décembre 2015 Blight Production
Visite guidée de la Paroisse Sainte Face de De Briant en Martinique, avec le père Luc Philippon, l'actuel curé !
#diocèsemartinique #enroute #debriant #bonnevisite
Suptil Apremont depuis Chambery
Les Cloches de Cademario (CH-TI) - Église Paroissiale de Santa Maria del Popolo - Volée complète
Musique durant la présentation:
Suite No. 3 in D major BWV 1068 - Sir Neville Marriner/Academy of St Martin-in-the-Fields
Histoire de l'Église:
L’actuelle Église parroissiale de Cademario édifiée vers la fin du XIV siècle, était dediée à l'Assomption, elle fut ensuite dediée à Santa Maria de' Populo, à la suite d'un héritage de Allegrante Fontana, du branche, maintenant éteint, des Fontana de Cademario, architecte qui a travaillé à Rome. Elle est décrite dans les actes de la visite pastorale de 1599 de Mgr. Archinti et de ces dernièrs en ressortent que les chapelles latérales et la chapelle du grand autel étaient dejà terminés, on y celebrait dejà. En 1601 furent confiés à trois maîtres maçons de Breno les travaux de construction de la nef (on apprend ainsi d'un contract du 28 Avril 1601), lequels avaient dejà effectué la construction de la chapelle du grand autel. L'11 Juillet 1608 fut firmé le contract pour la fourniture du portail en pierre de Saltrio. Le 3 Juillet 1626, malgré probablement quelque opposition de la part de la Pieve de Agno, fut costituée la Parroisse de Cademario, separée de celle de Agno. En 1635 fut nommé Francesco Fontana, curé de Cademario. Il intervient, au nom de la municipalité, dans un contract, stipulé en cette année, avec Maestro Paolo de Novaggio, pour la fourniture des pierres destinées à l'erection du clocher. En 1745 fut construite la Sacristie, dont le décor fut soigné par le plâtier Giovanni Maria Staffieri de Bioggio. En 1766 fut commencé la construction du choeur neuf, avec l'augmentation de tutte la structure; elles furent construites deux voûtes à padillon, une au-dessus du transept et une au-dessus du grand autel. Il semblerait que la peinture décorative de l'Église fut détérioré, en effet on trouve, dans l'archive parroissiale les copies des demandes pour une estimation de coûts aux peintres Constantino Lomazzi de Bosco Luganese et Domenico Negri de Fescoggia, même si on sait pas avec certitude qui des deux a effectué la décoration. On peut en deduire par contre, selon la documentation photografique, que les evangelistes, furent peints par Domenico Negri, en effet y a des similitudes avec ceux peints sur la voûte de l'Église de Neggio. L'Église fut consacrée le 29 Settembre 1833 par Mgr. Giovanni Fraschina, de Bosco Luganese, Archevêque de Corinto, à cette occasion la dedication de l'Église fut changé de Santa Maria del Popolo en Sant'Ambrogio. Au souhait de la population le clocher fut relevé en 1934 sur projet de l'architecte Carlo Tami de Lugano. L'église nécessiterait d'une intervention appropriée de restauration qui en récupére tutte l'architecture originale de 1767.
Histoire des Cloches:
En 1757 est destiné la somme de L. 803.15 pour la coulée d'une deuxième cloche pour le clocher en plus de celle dejà existante. En 1781 une des cloches se brisa. En 1782 fut demandé et obtenue de la part de l'Evêque de Côme l'autorisation pour la refondre, soit en récupérer le bronze pour une nouvelle. On trouve en 1783 des montants pour le remplacement des battants, la même fut soignée par Giuseppe Boschetti, “forgeron” de Cimo. En 1808, on sentait la nécessité de refondre les cloches, soit utiliser le bronze pour des nouvelles. La coulée fut effectuée par Francesco Bizzozzero de Varèse, laquelle il s'obligeait à fournir trois cloches parfaitement accordées, avec une voix claire et sonore. Dans la facture signée par Giuseppe Bizzozzero, y sont les détails sur le poids des cloches. Cette sonnerie a été refondue plusieurs fois dans le temps: en 1851 fut refondue la grande cloche par la famille Barigozzi de Locarno, la deuxième en 1904 et en 1912 fut refondue la petite cloche et dans l'occasion les jougs en bois des deux petites cloches furent remplacés par des jougs en fer par la fonderie Bianchi de Varèse. Ces trois cloches ont existé jusqu'en 1934, quand elles furent refondues par les Frerès Barigozzi de Milan obtenant une sonnerie de 5 cloches en échelle de Ré bémol 3 bas. Ces dernieres furent bénies par le Vicaire Général Diocésain Mgr. Noseda le 22 Luglio 1934. En 1940 fut installé l'horloge sur le clocher. En 2008, en occasion du deuxième centenaire de la coulée de la première sonnerie, on ajouta 3 cloches plus petites de façon que l'on pouvait avoir une gamme chromatique complète composée de 8 campane parfaitement accordées. Les 3 cloches ajoutés sont œuvre de la Fonderie De Poli de Vittorio Veneto (I), et benies par Mgr. Luigi Mazzetti, par délégation épiscopale. Elles sont un don de Madame Olga Titarenko au nom du fils Timoteo. Donc la sonnerie est composée de 8 cloches en échelle de Ré bemol 3 bas, le systeme de volée est “ambrosien”. Les cloches, en plus d'avoir une installation à commande electronique, elles ont la possibilité d'être sonnés par le systeme traditionel avec les cordes, sur le clocher un clavier manuel pour les carillons a été installé.
Église Saint Jean à Lascours (Cne de Roquevaire) - Annonce de la messe dominicale (intérieur)
L'auteur du Calendrier perpétuel de 1713 nous dit que l'église du lieu n'était autrefois qu'une chapelle fondée par Jean Négrel, clerc tonsuré, par acte du 4 novembre 1670, sous le vocable de Notre Dame de Pitié. Le sacristain de l'Eglise Cathédrale de Marseille entretenait le prêtre chargé de la desservir.
L'ancienne chapelle fut érigée en succursale le 26 septembre 1845 et placée sour le vocable de Saint-Jean l'Evangéliste, par Monseigneur de Mazenod, évèque de Marseille.
L'église paroissiale actuelle fut construite en 1875 sur les plans de Monseigneur l'Abbé Pougnet, et bénite par Monseigneur Place le 18 janvier 1876. C'est un édifice roman de 21 mètres de long sur 8 mètres de large. Elle n'a qu'une nef soutenue par 16 colonnes légères et gracieuses formant en quelque sorte trois nefs dont les ouvertures sont décorées de vitraux colorés.
[Source :
Le clocher de l'église est doté de trois cloches montées en volée rétro-équilibrée mais restant désespérément fixes, sonnées au tintement. Elles ont les caractéristiques suivantes :
- Cloche 1 : ................ ; Frères Farnier ; .... ; 78 cm ; La#3
- Cloche 2 : Valentin-Célestine ; Maurel ; 1886 ; 66,5 cm ; Si3
- Cloche 3 : Marcelle-Honorine-Marie-Françoise ; C.Wauthy ; 1921 ; 59,5 cm ; Ré#4
( nom ; fondeur ; date ; diamètre ; note )
Vidéo enregistrée le Dimanche 25 Mars 2012.
La sonnerie de l'office (plenum tinté) retentit une demi-heure avant, un quart d'heure avant, au début et à la fin de la messe.
Je remercie le Père Christian PAPAZIAN de m'avoir laissé monter dans le clocher.
Vous avez la possibilité de visionner des photos de ma visite du clocher à cette adresse :
Bon visionnage et n'hésitez pas à laisser un commentaire ou à voter :-)
N.B. :
* quelques photos sont disponibles à l'adresse suivante : (certaines sont visibles depuis Google Earth)
* la carte des lieux de prise de vue des vidéos est disponible à l'adresse suivante :
* la carte de mes visites de clochers est disponible à l'adresse suivante :
Cloches: Plénise (39 250), Eglise Saint-Anatoile
Cloche 1: Nom non pris, Diamètre Envi 110 cm, Poids 750 kg, fondue par A.Burdin, en 1 869 (?), à Lyon, Chante le Fa3
Cloche 2: Angélica, Diamètre env. 75cm, Poids 250 kg, fondue par Paccard, en 1 886, à Annecy-Le-Vieux, Chante le Do4
Début de la sonnerie à 1:09
Je remercie très chaleureusement M. Lacroix, maire de la commune de Plénise, pour l'ouverture du clocher, l'autorisation d'accès au clocher et la sonnerie spéciale des cloches, sans lui, cette vidéo n'aurait vu le jour! Encore merci
Page Facebook:
Église Saint Matthieu à Marseille (Château-Gombert) - 2ème annonce de la messe dominicale
L'église fut construite de 1686 à 1688. Elle est constituée une seule nef bordée de chaque côté par cinq chapelles latérales. Elle mesure 31 m de longueur, 13,5 m de largeur et 13 m de hauteur sous voûte. Le clocher, construit en même temps, a été couronné en 1756 par un très beau campanile en fer forgé suivant un usage répandu en Provence. L'église fut érigée en paroisse en 1707 et consacrée en 1834 par Mgr. Eugène de MAZENOD.
Le clocher est doté de cinq cloches, quatre sont montées dans les fenêtres de la tour et sont équipées de jougs cintrés métalliques qui leur permettent de sonner en volée rétrograde, et la dernière est installée dans un campanile en fer forgé au sommet du clocher pour servir de timbre à l'horloge électronique.
Les cloches ont les caractéristiques suivantes :
Cloche 1 : Julienne Marie ; Granier ; 1965 ; 106 cm ; Fa3
Cloche 2 : ........ ; Eugène Baudouin ; 1889 ; 101 cm ; Sol3
Cloche 3 : Régine Louise ; Granier ; 1965 ; 92 cm ; La3
Cloche 4 : Lazarine-Marie ; Granier ; 1965 ; 78 cm ; Do4
Cloche h : .................... ; Pecharry ; 1756 ; ≈ 95 cm ; Sol#3
( nom ; fondeur ; année ; diamètre ; note )
Vidéo enregistrée le dimanche 30 septembre 2018.
Les heures sont sonnées sur la cloche h.
L'angelus sonne à 8h, 12h et 18h30 : les 3x3 coups sont sonnés sur la cloche 3 et la volée est effectuée sur les cloches 3 et 4.
Les volées d'annonce de la messe dominicale retentissent une demi-heure (plenum) et 10 minutes (cloches 2 et 3) avant le début de l'office.
Vous avez la possibilité de visionner des photos de ma visite du clocher à cette adresse :
Bon visionnage et n'hésitez pas à laisser un commentaire :-)
N.B. :
* la carte des lieux de prise de vue des vidéos est disponible à l'adresse suivante :
* la carte de mes visites de clochers est disponible à l'adresse suivante :
Eglise Saint Marcellin
La salle les Alpes
Cathédrale Saint-Pierre de Moutiers* la joie du capteur d’images de mettre en ???? cette cathédrale ????
Est une cathédrale catholique romaine, située à Moûtiers, dans la vallée de la Tarentaise, en Savoie (France). Elle a été classée sur la liste des monuments historiques le 30 octobre 1862, remplacé par un arrêté de classement du 30 octobre 1906[1].
C'était à l'origine le siège de l'archidiocèse de Tarentaise, supprimé à la suite du concordat du 2 avril 1802 qui crée le diocèse de Chambéry-Genève. La cathédrale est devenue ensuite le siège du diocèse de Tarentaise de 1825 à 1966, jusqu'à ce qu'un décret du Saint-Siège unisse les trois évêchés de Chambéry, de Tarentaise et de Maurienne en un évêché de Chambéry, Maurienne et Tarentaise.
L'évêché de la Tarentaise a été créé au ve siècle, mais il ne reste rien de la cathédrale initiale. Une lettre du pape saint Léon datant de 450 indique que l'évêché est rattaché à la métropole de Vienne[3].
Le premier texte mentionnant la cathédrale est celui de l'homélie prononcée par saint Avit, archevêque de Vienne, dans la cathédrale reconstruite par Sanctus entre 517 et 525, évêque de Darantasia (Moûtiers), au moment de sa dédicace (dicta in basilica sancti Petri quam Sanctus episcopus Tarantasiae condidit). Saint Avit indique que cette nouvelle cathédrale en remplace une autre devenue trop petite.
Il est probable qu'il a été construit à Darantasia, comme à Genève, à Lyon et dans plusieurs villes épiscopales, un groupe épiscopal comprenant l'église de l'évêque, l'église paroissiale et le baptistère[4]. Des fouilles entreprises au xixe siècle ont permis de retrouver un bâtiment circulaire au chevet de la cathédrale.
Les Sarrazins ont fait plusieurs incursions dans les Alpes jusqu'à Moûtiers, détruisant probablement la cathédrale[réf. nécessaire]. Après l'enlèvement en juillet 972 de Maïeul, abbé de Cluny, au cours d'un de ses voyages entre Cluny et Rome, le comte de Provence, Guillaume Ier et plusieurs seigneurs de Provence se sont lancés dans une opération contre les Sarrasins retranchés à La Garde-Freinet qu'ils ont pris en 973.
Rodolphe III fait des archevêques de Tarentaise des « comtes » de Tarentaise en 996 (« Charte de Rodolphe III »)[5]. En réalité, il leur octroie le comitatus sur une partie de la vallée[6]. Quand le royaume de Bourgogne est revenu à Conrad II, il est intégré au Saint-Empire romain germanique. Les archevêques de Tarentaise sont devenus des princes d'Empire. Ce titre de comte va donner aux archevêques des moyens financiers importants leur permettant de reconstruire leur cathédrale. Les droits des archevêques-comtes seront confirmés en 1186 par Frédéric Barberousse, dans une Bulle d'or.
Au xie siècle l'archevêque, peut-être Aymon/Amizon ou un successeur immédiat, a entrepris de reconstruire la cathédrale qui avait été endommagée au cours des incursions sarrasines. En même temps que l'église ont été reconstruits l'évêché, au sud, le long de l'Isère, et le cloître, au nord, sur la place.
De la cathédrale romane, il ne reste que le chœur et l'abside. Elle possédait quatre tours dont seules deux subsistent. Ainsi, le chœur jadis entouré de deux tours ne conserve que celle septentrionale faisant office de clocher. Le chœur avait été décoré de fresques qui ont été recouvertes par un enduit après 1650 par Mgr Milliet de Challes. Des éléments de ce décor ont été mis au jour en 1882 par l'architecte Borrel.
Le même archevêque a fait supprimer la crypte construite au xie siècle sous le chœur. Celle-ci servait de martyrium où étaient exposées les reliques. Elle créait une surélévation du chœur. L'archevêque avait justifié cette destruction par le risque qu'elle faisait courir à la stabilité de l'abside.
Les dernières études de la cathédrale ont montré qu'elle a dû être construite en deux temps :
la partie orientale, vers 1020,
la partie occidentale, la nef, vers 1050.
De la nef romane, il subsiste le mur gouttereau sud qui a été aménagé.
La cathédrale a été restaurée par l'archevêque Pierre II, entre 1141 et 1175. Son biographe indique qu'il dota la cathédrale de voûtes de pierre, c'est-à-dire la nef, car le chœur était déjà voûté.????????
Source Wikipedia
Aujourd'hui, jour de sainte Marguerite-Marie Alacoque (1647-1690), nous voyons s'accomplir les paroles de Jésus : Tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et tu les as révélées aux petits (Mt 11, 25). Quelles sont ces choses dont parle le Seigneur ? Les richesses de Dieu, la profondeur et la tendresse de l'Amour Divin. Sainte Marguerite fut un de ces instruments que Dieu a choisis pour nous révéler les merveilles de son Amour miséricordieux.????????
Lac d'Allos, Notre-Dame-des-Monts 2015
Lac d'Allos (04), mercredi 05 août 2015 _ Pèlerinage de Notre-Dame-des-Monts, messe célébrée par Mgr Jean-Philippe Nault, Évêque de Digne-les-Bains, l'Abbé Benoît, Curé de la Paroisse, l'Abbé Jean de Barème, et l'Abbé Joseph de Saint -André-les-Alpes.
Le groupe folklorique les Fileuses d'Oraison, et les tambourinaires des « Galoi prouvençau » de Miramas ont animé la cérémonie.
Photos et vidéos aimablement transmises au webmaster par M. Mautista de Miramas.
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Restauration de l'orgue de choeur de la collégiale Saint-Lazare d'Avallon (89)
Deux facteurs d'orgue de Troyes sont venus restaurer l'orgue de chœur de la collégiale Saint-Lazare d'Avallon (89). Un petit coup de jeune pour cet instrument vieux de plus d'un siècle !