Israël veut sa place sur la carte du vin mondial
SOURCE: AFPTVSCRIPT :
Sur les pentes des Monts de Judée se cultive une nouvelle passion israélienne.
Eran Pik vérifie la qualité de ses vignes, sur l’un des 300 vignobles du pays.
La production de vin en Israël est en plein développement depuis 20 ans, même si on en produisait déjà du temps de la Bible.
SONORE 1 – Eran Pik, producteur de vin au vignoble Tzora (homme, hébreu, 17 sec) :
C’est une terre de vin, avec une histoire de 3 à 4000 ans, mais une histoire qui n’a pas été continue. C’est pour ça, alors que du vin a été produit ici pendant des milliers d’année, et probablement du bon vin, nous ne savons plus comment ils le produisaient.
Chaque année, Israël produit 40 millions de bouteilles de vin, dont 10 à 15% est exporté, principalement vers les Etats-Unis et la France.
Le pays cherche à se faire une place sur l’échiquier international des vins, et ne pas seulement viser les communautés juives.
SONORE 2 – Gavrier Geller, consultant en vins (homme, hébreu, 21 sec) :
Le problème principal, c’est quand un vin Israélien est exporté, il finit généralement sur l’étagère des produits casher dans les magasins. Un client qui n’a pas vraiment besoin d’un vin casher peut le rater.
Les Israéliens boivent en moyenne 5 litres de vin par an, une consommation qui reste très inférieure à celle des Français ou Italiens.
Mais d’après un sondage, le nombre de personnes buvant du vin régulièrement a augmenté de 50% en 5 ans.
Pour l’œnologue Marc Dworking, les vins israéliens ont toutes les qualités pour devenir de grands vins.
SONORE 3 – Marc Dworking, œnologue et producteur de vin (homme, français, 19 sec) :
Des vignobles de mieux en mieux tenus, une consommation interne qui augmente, une demande internationale qui ne devrait pas faiblir, et une qualité en général qui augmente d’année en année. Donc je pense que les vins israéliens ont un très bel avenir devant eux.
Et même s’il manque une vraie culture populaire du vin, les producteurs ont de grandes ambitions : produire un vin haut de gamme, et typiquement israélien.
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SHOTLIST :
BEIT SHEMESH, ISRAEL. NOVEMBRE 2014
SOURCE : AFPTV
- Divers plans de Eran Pik dans ses vignes
- Plan large du vignoble Tzora
- Plan serré de bouteilles de vins
SONORE 1
VIGNOBLE FLAM, ISRAEL. NOVEMBRE 2014
SOURCE : AFPTV
- Divers plans dans la cave du vignoble Flam
- Divers plans d'une dégustation de vins
JERUSALEM. NOVEMBRE 2014
SOURCE : AFPTV
SONORE 2
VIGNOBLE FLAM, ISRAEL. NOVEMBRE 2014
SOURCE : AFPTV
- Divers plans d'une dégustation de vins
BORDEAUX, FRANCE. 24 NOVEMBRE 2014
SOURCE : AFPTV
- Divers plans de Marc Dworking
SONORE 3
BEIT SHEMESH, ISRAEL. NOVEMBRE 2014
SOURCE : AFPTV
- Divers plans de Eran Pik en train de goûter du vin
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DEPECHE DE CONTEXTE :
Israël veut sa place sur la carte du vin mondial
/ NEVE ILAN (Israël) - 10 janvier 2015 11:41 - AFP (Michael BLUM) / REPORTAGE - PREV
Sur les monts verdoyants de Judée, Eran Pick vérifie la qualité de ses vignes. Il fait partie de ces petits producteurs de plus en plus nombreux qui s'emploient à faire figurer les crus israéliens sur les meilleures cartes de vins.
Il y a 3.000 ans, on produisait du vin sur ces collines, dit M. Pick nous avons repris cette tradition pour faire un vin typiquement israélien qui atteint le niveau des meilleurs vins du monde.
Eran Pick, 40 ans, s'est formé dans les vignobles du Bordelais et de Californie. Il travaille pour le vignoble Tzora, crée en 1993, qui produit 80.000 bouteilles par an, dont 15.000 sont exportées.
Une goutte de vin dans les quarante millions de bouteilles annuelles de la viticulture israélienne. Cinq à sept millions sont exportées, en premier lieu vers les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France.
Le secteur, qui rapporte entre 300 et 350 millions de dollars par an, est dominé par quelques grands vignobles, comme Carmel.
Mais de petits domaines, produisant moins de 100.000 bouteilles par an, ont commencé à apparaître dans les années 90, poussés par la réussite de quelques pionniers. Les voyages plus fréquents des Israéliens, leur confrontation avec les arts de la table français ou italiens, ont encouragé des esprits entreprenants à tenter l'aventure, de retour au pays.
Ces petits producteurs ont véritablement proliféré ces cinq dernières années. S'ils n'étaient qu'une douzaine à l'origine, ils sont désormais 320 à 330, sur les 350 vignobles qu'on dénombre en Israël.
Certains ont été plantés comme un loisir. Mais c'est aussi devenu une espèce de tendance parmi les investisseurs étrangers, les hommes d'affaires que de posséder un vignoble, dit Gabriel Geller, consultant en vins à Jérusalem, du coup, de nombreux millionnaires juifs ont fait l'acquisition ou pris des parts dans ces entreprises.
- Le prix de la
Kibbutz | Wikipedia audio article
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Kibbutz
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- Socrates
SUMMARY
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A kibbutz (Hebrew: קִבּוּץ / קיבוץ, lit. gathering, clustering; regular plural kibbutzim קִבּוּצִים / קיבוצים) is a collective community in Israel that was traditionally based on agriculture. The first kibbutz, established in 1909, was Degania. Today, farming has been partly supplanted by other economic branches, including industrial plants and high-tech enterprises. Kibbutzim began as utopian communities, a combination of socialism and Zionism. In recent decades, some kibbutzim have been privatized and changes have been made in the communal lifestyle. A member of a kibbutz is called a kibbutznik (Hebrew: קִבּוּצְנִיק / קיבוצניק; plural kibbutznikim or kibbutzniks).
In 2010, there were 270 kibbutzim in Israel. Their factories and farms account for 9% of Israel's industrial output, worth US$8 billion, and 40% of its agricultural output, worth over $1.7 billion. Some kibbutzim had also developed substantial high-tech and military industries. For example, in 2010, Kibbutz Sasa, containing some 200 members, generated $850 million in annual revenue from its military-plastics industry.Currently the kibbutzim are organised in the secular Kibbutz Movement with some 230 kibbutzim, the Religious Kibbutz Movement with 16 kibbutzim and the much smaller religious Poalei Agudat Yisrael with two kibbutzim, all part of the wider communal settlement movement.