Galleria Spada di Roma
Un Museo,a Roma,tra i meno conosciuti,ma per questo non inferiore ad altri per la ricchezza della sua collezione d'arte e pitture.Situato a pochi passi da Piazza Farnese, in uno spettacolare palazzo Rinascimentale ,Contiene nel suo cortile anche la galleria con la falsa prospettiva Bororminiana
Empire of the Eye: The Magic of Illusion-Palazzo Spada's Corridor, Part 5
Palazzo Spada's Corridor in Rome demonstrates the use of forced perspective. Special effects reveal how Borromini used an optical trick to create the illusion of depth.
Roma da Visitare-????Museo???? Galleria Spada????
La Galleria Spada è un museo e fa parte del Polo Museale del Lazio. Collocata all'interno di uno degli edifici più belli di Roma, il cinquecentesco Palazzo Capodiferro, la Galleria Spada ospita l'importante collezione di pittura barocca creata nel corso del Seicento dai cardinali Bernardino e Fabrizio Spada. Alla conclusione del percorso museale si visita il Giardino Segreto, che conserva la Colonnata (o Prospettiva) illusionistica realizzata nel 1653 da Francesco Borromini.????
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Brandenburg Concerto No4-1 BWV1049 - Classical Whimsical di
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Fonte:
Artista:
Roma, Galleria Spada (manortiz)
Roma Borromini Galleria della falsa prospettiva Palazzo Spada HD 1920X1080
La Galleria Spada è ospitata nell'omonimo palazzo, che si trova in piazza Capo di Ferro a Roma. Il palazzo è famoso anche per la sua facciata, e per la falsa prospettiva del Borromini.Transitando nel cortile del Palazzo giungendo dall'ingresso principale, sulla sinistra si scorge, mediante un'apertura centrale sbarrata da un cancello in noce, la galleria con la prospettiva che si inoltra oltre il piccolo giardino di melangoli; la galleria si presenta nella sua forma attuale dopo gli ultimi restauri. La finta prospettiva è creata sull'illusione che la galleria sia lunga circa 35 metri, mentre in realtà è lunga 8,82 metri. L'illusione è dovuta al fatto che i piani convergono in un unico punto di fuga; così, mentre il soffitto scende dall'alto verso il basso, il pavimento mosaicato sale. Anticamente, sulla parete di fondo era disegnato un finto motivo vegetale che accentuava il senso prospettico. Attualmente sul fondale si trova il calco di una statuetta di guerriero di epoca romana. La galleria fu costruita in un solo anno, tra il 1652 e il 1653, da Borromini, aiutato dal Padre agostiniano Giovanni Maria da Bitonto. La Galleria è frutto dell'interesse di Bernardino Spada per la prospettiva e i giochi prospettici: egli probabilmente attribuiva a questa galleria il significato dell'inganno morale e dell'illusione delle grandezze terrene. Inizialmente la galleria presentava degli affreschi di Giovanni Battista Bagni, in seguito sostituiti da un colonnato.La galleria - dal dicembre 2014 passata in gestione al Polo Museale Romano - fu fondata nel 1927, dopo che lo Stato Italiano, nel novembre dell'anno precedente, l'aveva acquistata, ed ebbe in Palazzo Spada insieme al Consiglio di Stato. Successivamente, negli anni quaranta del XX secolo fu chiusa. Venne riaperta nel 1951, su interessamento dell'allora sovrintendende delle Gallerie di Roma Achille Bertini Calosso e grazie all'impegno di Federico Zeri, che era già direttore del museo. Zeri si impegnò a recuperare la maggior parte delle opere disperse durante la guerra e ne curò il riordino, cercando di ricreare nelle quattro sale del museo il primitivo aspetto sei-settecentesco: pertanto oggi la galleria si presenta come un esempio superstite di pinacoteca antica. I quadri sono disposti sulle pareti in file successive e si integrano con gli arredi, i mobili e le sculture del museo. La maggior parte delle opere esposte deriva dalla collezione di Bernardino Spada e, in misura minore, da altre collezioni, tra cui quella di Virgilio Spada
BIG cat in Galleria Spada, Rome
Roma, Palazzo Spada, Prospettiva del Borromini (manortiz)
GALLERIA SPADA - SSPSAE e Polo Museale della Città di Roma
Guarda il video ufficiale di Galleria Spada per il progetto MuseoiD-Italia.
La Galleria Spada - II
La Galleria Spada - II
Un musée silencieux et émouvant, loin du vacarme des sites célèbres, qui vous réservera des vrais coups de cœur. Amants des grands noms médiatisés, s’abstenir.
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XVII ème siècle
Rome
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Nous voici de retour à la Galleria Spada, où la dernière fois nous avons rencontré le propriétaire. Empruntez avec moi cet escalier dérobé, qui ne paye pas de mine, et découvrez un trésor caché.
J’ai ici un de mes plus chers amis, qui m’accueille chaque fois avec un sourire qui n’a pas besoin de dents. Son corps est poussière depuis quatre siècles mais son portrait nous dit toujours que ce qui sauve les hommes c’est la passion.
Ce vieux botaniste inconnu, peint par Passerotti, portraitiste hors pair, garde à l’œil ses notes, parce qu’à un certain âge on peut toujours avoir une défaillance, et il nous indique, très satisfait, la plante à l’arrière plan. « Elle n’est pas belle, ma camomille ? », il semble nous dire. Il n’y a rien d’autre dans ce tableau que l’homme et sa passion, avec une sobriété de moyens qui est propre de la Contreréforme, et un bonheur qui est propre à ce vieillard souriant, satisfait de ce qui a fait la joie de sa vie, et à Passerotti, qui a eu la sensibilité de le cueillir.
A coté, ce musicien est exactement le contraire. Malgré le visage manque de relief, faute d’avoir été complété, il y a un feu dans son regard, une énergie dans la pose, qui laisse s’échapper, négligé, un pan de la chemise, un sentiment de présence si puissant et au même temps d’inquiétude, qui ont fait penser à Titien. La formule - être et caducité de l’être – ainsi que la liberté du pinceau sont ceux du grand maître vénitien, mais pas la qualité. Peut être il s’agit là de l’œuvre d’ Orazio, fils de Titien.
Dans la gallérie se confrontent deux manières opposées de traiter le même sujet. Borée, le vent du nord, enlève Orithye. Giovanni Romanelli, qui à Paris a travaillé pour Mazarin et Anne d’Autriche, isole les deux figure monumentales dans un paysage désert, et en fait une œuvre classique. Francesco Solimena en revanche crée une grande scène d’opéra baroque, avec les amies d’Orithye qui s’échappent, une essaye même de s’opposer, en retenant le drapé de la fille, et le nuage immense qui transporte Borée comme une montgolfière.
Artemisia Gentileschi, une de rarissimes femmes peintres du XVIIème siècle, n’avait que 16 ans quand elle a peint cette Vierge à l’enfant, qui n’a rien de divin et tout d’humain. Ses formes pleines regardent beaucoup plus à la Renaissance qu’au baroque. Grande artiste et femme malheureuse, violé par le peintre Agostino Tassi, ami et collègue du propre père d’Artemisia.
Et puis objets d’art, mobilier, comme ces magnifiques consoles en bois doré et une rare plaque en verre églomisé.
Pour terminer, aller admirer la perspective de Borromini, appelé ici par cet homme très singulier qui fut Virgilio Spada : soldat, puis prêtre, astrologue, érudit. La colonnade est profonde, n’est pas ? Et la statue au fond, elle est très grande, c’est évident.
Et bien, la perspective ne mesure que 8 mètres et la statuette n’arrive pas aux anches d’un homme de taille moyenne. Le sol monte, le plafond descend, la largeur de l’entrée est double par rapport à l’extrémité opposée, la taille des colonnes se réduit progressivement en en allant vers le fond. C’est une perspective illusionniste, un exercice éblouissant, qui remplace le vrai avec le vraisemblable, parfaitement en ligne avec la poétique baroque.
Loin du vacarme et de foules des sites célèbres, où on se fait un selfie devant Raphaël et Caravage –souvent sans distinguer l’un de l’autre - venez découvrir ce musée intime, humble et précieux, où depuis quatre siècles, exactement dans les mêmes salles, les œuvres réunies par la famille Spada attendent en silence ceux qui n’ont pas besoin de stars.
Roma, Palazzo Spada e Prospettiva del Borromini (manortiz)
La Galleria Spada - I
La Galleria Spada - I
Un précieux chef d'œuvre de l'art du portrait classique. Ce qui est fini et fragile chez les hommes, comme les émotions, devra céder la place à ordre et élégance.
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Guido Reni
Portrait du cardinal Bernardino Spada
1631
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Les touristes ignares regardent ce palais avec admiration et stupeur. Les stucs des empereurs en façade et ceux des 12 dieux dans la cour, ainsi que des magnifiques frises décoratives, affichent déjà à l’extérieur le statut de connaisseur et ami de l’art antique de son propriétaire. Nous sommes à Rome, bien sûr, il s’agit d’un cardinal. Ne vous faites pas impressionner par la police à l’entrée, qui s’explique par la présence dans le palais Spada du Conseil d’Etat. Et ne vous arrêtez pas, le nez collé contre la vitre, pour essayer d’apercevoir la célèbre perspective de Borromini. Vous pouvez rentrer dans le palais.
Ici, exactement dans les quatre salles où se trouvaient il y a quatre siècles, sont toujours exposées les œuvres magnifiques collectionnées par le cardinal Bernardino Spada, qui racheta le palais au XVIIème siècle. C’est lui qui nous reçoit dans la première salle, peint par Guido Reni.
Il était de grand famille, aimable, habile et beau, par-dessus. Je le soupçonne d’avoir été un tantinet pédant, avec sa correspondance scrupuleusement classée à l’arrière plan. Reni a représenté Bernardino quand il était légat du pape, c'est-à-dire son représentant, à Bologne. Il est en train d’écrire au somme pontife quand il s’arrête pour nous regarder. Le format très grand, le contexte qui exprime ses hautes fonctions, le rideau qui le magnifie, tout dit qu’il s’agit ici d’un tableau officiel, de parade.
Guido Reni remplace la pourpre, couleur du sang que les cardinaux sont prêts à verser pour l’Eglise, avec une rose moins éclatant mais plus précieux. La palette restreinte contribue à l’élégance suprême de ce portrait. Que du rose et du blanc, couleurs qui s’assombrissent quand ils ont le malheur de s’éloigner du cardinal, à l’arrière plan. Vous aurez aussi remarqué combien c’est souhaitable, pour un cardinal habillé de rose, d’avoir les yeux bleu.
Quand au visage, il nous regarde apollinien e auguste, mais jamais vous pourrez y déceler ces mouvements risibles de l’âme qu’on appelle emotions. Ne cherchez pas en profondeur, dans cette œuvre, parce que les abimes n’intéressent pas Guido Reni. La perfection du dessin, qui a si bien été étudiée sur Raphael, la préciosité de la palette, la justesse de la pose, tout ça suffit amplement, sans s’encombrer de ce que des gens indiscrets, quelque siècle après, appelleront psychologie et qui ne sied pas à un si grand seigneur. J’aime beaucoup ce portrait, parce que le classicisme de Reni réussit à créer ici un monde supérieur, d’ordre et d’élégance, où la beauté remplace les sentiments.
Ce n’est pas mon monde mais, comme Groucho Marx, moi aussi j’ai des opinions que je ne partage pas.
Palazzo Spada em Roma (Itália)
É um palácio em Roma, onde está atualmente instalado o Conselho de Estado, albergando uma grande coleção de arte, a Galeria Spada. Encontra-se no nº 13 da Piazza Capo di Ferro, uma pequena praceta do Rione Regola, no percurso que, da Piazza Farnese, conduz à Via Arenula, com um jardim frente ao rio Tibre, muito próximo do Palazzo Farnese. É famoso pela sua fachada e pela perspectiva deixada por Francesco Borromini.
A Galleria Spada exibe, em quatro salas, pinturas da coleção do cardeal Spada. As obras, do século XVI e século XVII, são criações de Andrea del Sarto, Guido Reni, Tiziano, Jan Brueghel, o Velho, Guercino, Rubens, Albrecht Dürer, Caravaggio, Domenichino, Annibale Carracci, Salvator Rosa, Parmigianino, Francesco Solimena e Artemisia Gentileschi. Os quadros estão expostos de acordo com o gosto do século XVII, moldura contra moldura, com os quadros mais pequenos ao alto, sobre os maiores.
O Palazzo Spada foi adquirido, com todos os mobiliários e a galeria, pelo Estado Italiano, em 1927, hospedando atualmente o Conselho de Estado
Palazzo Spada - Roma
A look into a very nice and sophisticated historical noble palace in Roma: Palazzo Spada, official site of Consiglio di Stato.
La Prospettiva del Borromini a Palazzo Spada (manortiz)
Palazzo Spada. La Galleria degli stucchi del Consiglio di Stato.
Roma centrale Montemartini Campo dei fiori palazzo Spada
serata in giro per Roma centrale Montemartini Campo dei fiori palazzo Spada
Places to see in ( Rome - Italy ) Palazzo Barberini
Places to see in ( Rome - Italy ) Palazzo Barberini
The Palazzo Barberini (English: Barberini Palace) is a 17th-century palace in Rome, facing the Piazza Barberini in Rione Trevi. It houses the Galleria Nazionale d'Arte Antica. The sloping site had formerly been occupied by a garden-vineyard of the Sforza family, in which a palazzetto had been built in 1549. The sloping site passed from one cardinal to another during the sixteenth century, with no project fully getting off the ground.
When Cardinal Alessandro Sforza met financial hardships, the still semi-urban site was purchased in 1625 by Maffeo Barberini, of the Barberini family, who became Pope Urban VIII. Three great architects worked to create the Palazzo, each contributing his own style and character to the building. Carlo Maderno, then at work extending the nave of St Peter's, was commissioned to enclose the Villa Sforza within a vast Renaissance block along the lines of Palazzo Farnese; however, the design quickly evolved into a precedent-setting combination of an urban seat of princely power combined with a garden front that had the nature of a suburban villa with a semi-enclosed garden.
Maderno began in 1627, assisted by his nephew Francesco Borromini. When Maderno died in 1629, Borromini was passed over and the commission was awarded to Bernini, a young prodigy then better known as a sculptor. Borromini stayed on regardless and the two architects worked together, albeit briefly, on this project and at the Palazzo Spada. Works were completed by Bernini in 1633. After the Wars of Castro and the death of Urban VIII, the palace was confiscated by Pamphili Pope Innocent X and was only returned to the Barberini in 1653.
The palazzo is disposed around a forecourt centered on Bernini's grand two-storey hall backed by an oval salone, with an extended wing dominating the piazza, which lies on a lower level. At the rear, a long wing protected the garden from the piazza below, above which it rose from a rusticated basement that was slightly battered like a military bastion. The main block presents three tiers of great arch-headed windows, like glazed arcades, a formula that was more Venetian than Roman. On the uppermost floor, Borromini's windows are set in a false perspective that suggests extra depth, a feature that has been copied into the 20th century. Flanking the hall, two sets of stairs lead to the piano nobile, a large squared staircase by Bernini to the left and a smaller oval staircase by Borromini to the right.
As well as Borromini's false-perspective window reveals, other influential aspects of Palazzo Barberini that were repeated throughout Europe include the unit of a central two-storey hall backed by an oval salone and the symmetrical wings that extended forward from the main block to create a cour d'honneur.
The salon ceiling is graced by Pietro da Cortona's masterpiece, the Baroque fresco of the Allegory of Divine Providence and Barberini Power. This vast panegyric allegory became highly influential in guiding decoration for palatial and church ceilings; its influence can be seen in other panoramic scenes such as the frescoed ceilings at Sant'Ignazio (by Pozzo); or those at Villa Pisani at Stra, the throne room of the Royal Palace of Madrid, and the Ca' Rezzonico in Venice (by Tiepolo). Also in the palace is a masterpiece by Andrea Sacchi, a contemporary critic of the Cortona style, Divine Wisdom.
The rooms of the piano nobile have frescoed ceilings by other seventeenth-century artists like Giuseppe Passeri and Andrea Camassei, plus, in the museum collection, precious detached frescoes by Polidoro da Caravaggio and his lover Maturino da Firenze. The garden is known as a giardino segreto (secret garden), for its concealment from an outsider's view. It houses a monument to Bertel Thorwaldsen, who had a studio in the nearby Teatro delle Quattro Fontane in 1822-1834.
( Rome - Italy ) is well know as a tourist destination because of the variety of places you can enjoy while you are visiting Rome . Through a series of videos we will try to show you recommended places to visit in Rome - Italy
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Eric Clark Travel Videos - Rome Italy - Piazza della Pamphilj / Palazzo Pamphili
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From Wikipedia
Palazzo Pamphilj, also spelled Palazzo Pamphili, is a palace facing onto the Piazza Navona in Rome. It was built between 1644 and 1650.
Since 1920 the palace has housed the Brazilian Embassy in Italy, and in October 1960 it became the property of the Federative Republic of Brazil[1] in a purchase negotiation led by Ambassador Hugo Gouthier de Oliveira Gondim.[2] The roof terrace is open to the public, with a renowned restaurant and bar that showcases the Roman skyline, and frequent concerts, often featuring Italian opera.
In 1644, Cardinal Giambattista Pamphilj of the powerful Pamphilj family, who already owned a palace between the Piazza Navona and the Via Pasquino, became Pope Innocent X. With this election came the desire for a larger more magnificent building to reflect his family’s increased prestige. Further land was bought, the architect Girolamo Rainaldi received the commission and construction began in 1646. The new project was to incorporate some existing buildings, including the former palace of the Pamphilj (whose decoration by Agostino Tassi was partially preserved) and the Palazzo Cibo.
In 1647, the Baroque architect Francesco Borromini was consulted about the design and he made a series of new proposals for the palace. However, the prevailing preference was for Rainaldi’s more staid and conservative design. Borromini’s limited contributions included the stucco decoration of the salone (the main room) and design of the Gallery, located at first floor level between the rest of the palace and the church of St. Agnese next door. The Gallery extends through the width of the block with a large Serliana window at either end.
Palazzo Pamphilj on the left, with Sant'Agnese in Agone church on right, and Fontana del Moro in foreground. The Serlian windows adjacent to church open to the Cortona-frescoed gallery.
Between 1651 and 1654, the painter Pietro da Cortona was commissioned to decorate the Gallery vault. His secular fresco cycle depicts scenes from the life of Aeneas, the legendary founder of Rome, as recounted by Virgil. The Pamphili claim to be descended from Aeneas. Unlike the large spacious volume of the Palazzo Barberini in which he had painted his fresco celebrating the reign of Innocent’s predecessor, Urban VIII Barberini, the Pamphilj Gallery was long with a low vault which meant that a single viewpoint to see the frescoes was not possible. So Cortona devised a series of scenes around a central painted framed ‘Apotheosis of Aeneas’ into the Olympian heavens. The elaborate doorframes regularly spaced along the longer walls of the Gallery display a combination of motifs typically used by Borromini and by Cortona [3]
The plan has three courtyards. The rooms on the piano nobile (the first floor) have frescoes and friezes by artists such as Giacinto Gimignani, Gaspard Dughet, Andrea Camassei, Giacinto Brandi, Francesco Allegrini, and Pier Francesco Mola.
Carlo Rainaldi, the son of Girolamo, completed the building around 1650.
The new palazzo became the home of Innocent's widowed and unpopular sister-in-law Olimpia Maidalchini, who was his confidante and advisor and, more scurrilously, reputed to be his mistress. She was the mother of Camillo Pamphilj, the one time cardinal, who through his marriage came into the possession of the Palazzo Aldobrandini, now known as the Palazzo Doria Pamphilj.
Confusingly, until the unification of the Doria and Pamphilj surnames both palazzi were known as Palazzo Pamphilj, or in the case of today's Doria Pamphilj sometimes Palazzo Pamfilio. Both spellings Pamphilj and Pamphili are in common Italian usage, even though the family prefers Pamphilj.
ROMA - Galleria Spada e la falsa prospettiva di Borromini 4K
La Galleria Spada si trova all'interno di Palazzo Spada, sede del consiglio di stato, che si trova non lontano da Piazza Farnesina. Il palazzo è famoso per la sua facciata ma soprattutto per la falsa prospettiva del Borromini. La finta prospettiva è creata sull'illusione che la galleria sia lunga circa 35 metri, mentre in realtà è lunga 8,82 metri. L'illusione è dovuta al fatto che i piani convergono in un unico punto di fuga; così, mentre il soffitto scende dall'alto verso il basso, il pavimento mosaicato sale.
La galleria espone pitture del XVI e XVII secolo.
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