MERVEILLES D'ALGÉRIE. L'aqueduc de CONSTANTINE
L 'aqueduc Romain de Constantine ( trésor de Cirta) Acte : 2
Ouvrage hydrolipidique antique se trouvant à proximité du boulevard de la Soummam. Un endroit qui renferme dans son sous-sol une véritable nécropole numide et qui mérite plus d’attention.L’aqueduc romain reste l’un des rares sites archéologiques encore debout et visible en plein centre de Constantine. Ses arcades sont aussi la fierté de la ville des ponts malgré les aléas du temps et la bêtise des hommes surtout avec des actes de vandalismes à répétition.ces sites témoins de l’histoire d’une ville au passé plusieurs fois millénaire, sombrent dans l’anonymat s’ils ne sont pas menacés de disparition. C’est le cas des dolmens de Salluste situés par les historiens auprès de l’emplacement des anciens jardins de Constantine, dans la localité de Békira, à quelques kilomètres du chef-lieu de wilaya. Selon les spécialistes, ces vestiges, dont on a perdu les repères, auraient été démolis ou ensevelis après l’extension urbanistique tentaculaire d’une bourgade qui compte aujourd’hui plus de 20 000 habitants. Par crainte de voir arrêter le chantier, nombreuses sont les entreprises de construction qui font fi des lois exigeant la déclaration obligatoire de toute découverte archéologique, surtout que tout ce qui est en sous-sol demeure une propriété de l’Etat. Le même sort semble être réservé au tombeau de Praecillius, un homme connu pour être un grand bijoutier cirtéen, découvert par les Français dans le site dit El Hofra situé sur toute l’étendue entre le quartier de Kouhil Lakhdar (ex-Djenane Ezzitoune) et le fameux aqueduc romain et qui renfermait à l’époque de nombreux vestiges, dont des stèles d’une grande valeur archéologique. Après les pillages, le lieu ne fera plus l’objet de recherches sérieuses. Hormis les fragments antiques et inscriptions retrouvés au début du siècle dernier dans l’actuel square Ahmed Bey (ex-Djenane Ezzaoualia) et autres objets antiques appartenant à l’Etat et déposés au musée national Cirta de Constantine.
LES AMIS DE CONSTANTINE.CIRTA
2.
L'AVIS DE NOTRE PERE ET FRERE L'ARTISTE ET PEINTRE SI ALALOUCHE SUR LA CULTURE ET CONSTANTINE CAPITALE ARABE .RENCONTRE A UNE EXPOSITION DE PEINTURES AU CENTRE CULTUREL MED LAID EL AL KHALIFA CONSTANTINE
constantine la ville des ponts algerienne GLMgroup
constantine la ville des ponts
Vidéo de l'aqueduc de la Vanne
Sans avoir la majesté des grands aqueducs comme ceux du Gard (appelé communément pont du Gard) ou de Roquefavour, pour citer deux exemples célèbres, l'aqueduc de la Vanne permet d'alimenter, en partie, Paris en eau.
Entre Pont sur Yonne et Sens, cet ouvrage d'art franchi l'Yonne et la Ligne Impériale Paris - Lyon - Méditerranée.
De passage à coté, il était plus que tentant de sortir mes drones et de filmer ce site symbolique et souvent photographié de la ligne PLM.
La chance a voulue que quelques trains passent pendant que je filmais :-)
Constantine - YY Productions HD
#Constantine, l'une des plus anciennes cités du monde , également surnommée la « ville des ponts suspendus », « ville du vieux rocher », « ville des oulémas », aussi « ville des aigles » ou bien « ville du malouf », variante constantinoise de la musique arabo-andalouse. Elle est considérée comme la capitale de l'est du pays. Prochainement sur Youtube !
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Constantine , ce poème suspendu
Anciennes cartes postales de CONSTANTINE
Vues de Constantine dans les années 1900
Descente sur le chemin des Touriste Constantine du 15 Octobre 2016
Une des curiosités de la ville de Constantine est bien le chemin des touristes. Cet aménagement permettait de suivre le fond des gorges du Rhumel sur toute leur longueur.
Le chemin des touristes, inauguré en 1895, est l'oeuvre de l'ingénieur-constructeur Frédéric REMES. Long de plus de deux kilomètres et demi, ce sentier est accroché aux parois du ravin, passant d'une rive à l'autre.
C'est donc autant la prouesse technique que l'intérêt touristique qui retiennent l'attention.
Je vous propose tout d'abord le plan des gorges comprenant les principales curiosités jalonnant le chemin des touristes, puis une découverte de cet itinéraire réalisé à partir de plusieurs documents décrivant cet ouvrage.
En suivant le chemin des touristes
En partant du sud (porte de Sidi Rached) l'accès se fait par une série d'escaliers et de plans inclinés. On découvre, rive droite, à une centaine de mètres en amont du pont du Diable le « rocher des Martyrs ». Sur la rive gauche l'on aperçoit, dressé sur son éperon rocheux, la mosquée de Sidi Rached.
Le chemin passe sous le pont Sidi Rached, puis suit alors la rive droite du Rhumel en serpentant dans les anfractuosités du rocher à une hauteur moyenne de 30 à 50 mètres au-dessus de l'eau.
Un peu en aval, un petit barrage dévie les eaux vers un canal souterrain, situé rive gauche, et qui traverse tout le rocher pour aller alimenter la chute artificielle de 128 mètres du moulin Lavie.
Avant d'atteindre la passerelle Perrégaux l'on découvre deux grosses piles d'époque romaine. Elles peuvent être les vestiges d'un pont (pont d'Antonin), mais plus vraisemblablement ceux d'un sanctuaire ou d'un moulin.
Passée la passerelle Perrégaux se trouvent les bains de César dominant le gouffre. Ils sont alimentés par une cascade et des eaux thermales.
En continuant sur la rive droite on arrive au hammam de Salah Bey alimenté par des sources chaudes. Le Bey y descendait régulièrement en empruntant un escalier taillé dans la roche et dont on peut encore voir les traces en dessous de la medersa.
En face sur la rive gauche restent les ruines d'un aqueduc romain.
Les bains de César
Restes du pont romain
Un peu avant le pont d'El Kantara, au niveau de la gare, subsistent sur chaque rive les piles d'un ancien pont romain.
Au niveau du pont d'El Kantara, il existe un autre accès à ce chemin.
Après le pont d'El Kantara le chemin entre sous la voûte creusée par le Rhumel. Cette voûte longue de 300 mètres environ, est effondrée en deux endroits.
Sous la voûte deux passerelles métaliques permettent de passer sur la rive gauche, et de revenir vers la rive droite mais beaucoup plus bas.
les passerelles sous la voûte
Les sources pétrifiantes
L'on découvre ensuite sous la voûte des stalactites et des stalagmites, et le bassin d'une source pétrifiante.
Sous la voûte suivante, de plus petites dimensions, se situe la grotte de l'ermite Ben Maklouf.
Le chemin passe sous un dernier arc naturel avant de déboucher sous le pont de Sidi M'Cid.
Le parcours continue en suivant la rive droite jusqu'au pont des Chutes. Sur l'autre rive des citernes alimentent une seguia destinée à l'irrigation des jardins de la vallée.
Algérie | Musée Bordj Moussa : un fort espagnol bâti au 16e siècle à Béjaïa
Béjaïa - Le musée de Bordj Moussa est un fort espagnol bâti au 16ème siècle Il a été restauré et transformé à plusieurs reprises. Le Fort Bordj Moussa a d'abord été utilisé comme fort militaire durant la période turque puis comme prison durant la colonisation sous le nom de Fort Barral maintenant c'est un musée depuis 1989 et il recèle des trésors datant de la préhistoire jusqu'à notre époque contemporraine.
Aqueduc romain d'Ansignan
Aqueduc romain encore en service à Ansignan (Pyrénées Orientales)
War Memorial Constantine (Part1), monument aux morts Constantine, نصب الاموات قسنطينة الجزء الاول
هذا المعلم يعود إلى سنة 1934، حيث شيد على يد الفرنسيين، تخليدًا لأرواح جنودهم الذين سقطوا في ساحات المعارك ضد الألمان وهم فرنسيون وجزائريون نقشت أسماؤهم على ألواح من البرونز ثبتت داخل المعلم، هو أيضًا شاهد على نضال الجزائريين من أجل التحرر بعدما دفعوا دماءهم ثمنًا لوعد فرنسي انتهى بمجازر 8 من مايو 1945
Côte d'Azur - Fréjus - Aqueduc de l'Esquine
MERVEILLES D'ALGÉRIE. Aqueduc de CHERCHELL
L' Aqueduc de Toudja (Part 1).
Quelques traces d'un gigantesque aqueduc qui transportait l'eau de la source de Toudja, jusqu'à la ville de Saldae (Béjaia) sur une vingtaine de kms.
Traveling Algeria: Toudja
Voir aussi
yves yousfi: Ne me quittes pas
Belle chanson de jack brel suivie d'un clip
Les Empereurs Romain en Afrique du nord -Tamazgha
lOccupation romaine- Algerie-Dzair
L'occupation romaine de l'Afrique du Nord, à partir de Carthage, se fit par trois axes principaux :
- Le premier, suit la côte de la Tunisie du nord au sud, puis il se dirige vers l'est et passe par la Libye.
- Le second, qui va d'est en ouest, suit la ligne du plateau intérieur, nettement en arrière des massifs côtiers.
- Le troisième, en diagonale nord-est et sud-ouest, représente la voie de pénétration vers la frontière sud et vers l'Aurès par Ammaedara (Haïdra, Tunisie), Thevesti (Tebessa), Thamugadi (Timgad), et enfin Lambaesis (Lambèse).
La Numidie est un territoire militaire, dont le commandement est installé à Lambèse, elle deviendera province indépendante de la Proconsulaire en 198. A partir de 126, des voies de pénétration l'aideront à progresser par les pistes du Sud, mais elle se rétrécit vers le nord : Hippo Régius (Hippone) est en Proconsullaire, Igilgili (Jijel) en Maurétanie Sétifienne.