Le musée de l'Hospice Comtesse gratuit aux lillois tous les dimanche
La ville de Lille a décidé de rendre accessible gratuitement trois musées lillois tous les dimanches à partir du mois de janvier : le palais des Beaux-Arts, le musée d’histoire naturelle et le musée de l’Hospice Comtesse. Cette mesure, prise en faveur de la démocratisation culturelle, vise les habitants de Lille, de Lomme et d’Hellemmes.
L’occasion de découvrir le musée de l’Hospice Comtesse, situé rue de la Monnaie. Avec sa salle des malades, sa chapelle et son jardin médicinal, il raconte la vie des Augustines dès le XIIIème siècle et le quotidien d’une maison flamande des XVII et XVIIIème siècles.
Visite guidée avec Céline Doutriaux, historienne de l’Art.
La Chapelle destruction du monument
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Herbert Du Plessis concert at Eglise St Julien le Pauvre- A MUST SEE while in Paris.
Herbert Du Plessis plays Liszt's Hungarian Rhapsody No.2
When you think you have seen it all in Paris, there stands a surprise for you! Attending a concert of HERBERT DU PLESSIS at
Eglise St Julien le Pauvre. This is an experience you will remember forever..an amazing recital of Chopin and Liszt works. I attended the same concert 3 times in the last 8 months. A first class recital, the best interpretation of Liszt and Chopin I have heard, with wonderful tone and sensitivity. An unforgettable experience, a must see...
Upcoming concerts:
About the church...The small Church of Saint Julien Le Pauvre is one of the oldest, if not the oldest church in Paris. It was built in the 12th century on the ruins of a 6th century church. According to the legend, Saint Julien The Poor mistakenly killed his parents. To atone for this sin, he built a hospice near a river where he and his wife cared for travelers. One of these travelers happened to be Jesus disguised as a leper, and forgiveness for Julien's sin was granted. Saint Julien is a patron saint of travelers and ferrymen.
1 Rue Saint-Julien le Pauvre
75005 Paris
France
Une chapelle à pans de bois vieille de 500 ans à Alvimare
Située en Seine-Maritime, la chapelle des Blanques est la dernière à pans de bois de Seine-Maritime. Depuis des années, un couple de propriétaires met tout en oeuvre pour la sauvegarde de cet édifice.
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A LA DECOUVERTE DE PARIS
Paris est aujourd'hui la capitale la plus visitée au monde, elle est jugée comme l'une des moins accueillantes et des plus chères : selon une enquête sur soixante villes auprès de 14 000 personnes à travers le monde, elle se situe à la première place pour la beauté et le dynamisme, mais en fin de classement en ce qui concerne la qualité de l'accueil (52e sur 60) et les prix pratiqués (seulement 55e).
La région parisienne accueille environ 42 millions de touristes par an et Paris intra-muros environ 28 millions dont approximativement 17 millions d'étrangers, ce qui fait d'elle la ville la plus visitée au monde. Elle est également l'une des villes organisant le plus de congrès internationaux. En 2009, les cinquante premiers sites culturels de la ville ont enregistré 67,2 millions d'entrées, un chiffre stable par rapport à 2008.
Les monuments les plus célèbres de Paris datent d'époques variées. Ils se trouvent souvent dans le centre et sur les rives de la Seine. Les quais de Seine du Pont de Sully au Pont de Bir-Hakeim constituent l'un des plus beaux paysages fluviaux urbains et sont d'ailleurs classés à l'inventaire du patrimoine mondial de l'UNESCO. On y trouve notamment, d'est en ouest : Notre-Dame, le Louvre, les Invalides, le pont Alexandre-III, le Grand Palais, le musée du quai Branly, la Tour Eiffel et le Trocadéro. Plus à l'est, d'importants édifices contemporains ont été construits (le ministère des Finances, le site François Mitterrand de la bibliothèque nationale de France, etc.).
On trouve sur l'île de la Cité des monuments anciens emblématiques. La cathédrale Notre-Dame, de style gothique, principalement bâtie du xiie siècle au xiiie siècle, a été très restaurée au xixe siècle et sa façade occidentale nettoyée à la fin du xxe siècle. Elle est symboliquement le noyau de Paris et les distances routières françaises sont mesurées à partir de son parvis. L'ancien palais de la Conciergerie fut le siège du pouvoir royal jusqu'au règne de Charles V, dans la seconde moitié du xive siècle. Une partie du bâtiment fut dès lors aménagée en prison et fut notamment le lieu de détention d'illustres personnalités de l'Ancien Régime avant leur exécution, lors de la Révolution française. La Sainte-Chapelle, construite à proximité de la Conciergerie, est considérée comme un chef-d'œuvre de l'architecture gothique. Le pont Neuf, à l'extrémité occidentale de l'île et datant de la fin du xvie siècle, est le plus vieux pont de Paris en l'état.
Des monuments de style classique marquent également le centre de Paris de leur empreinte. La chapelle de la Sorbonne au cœur du quartier latin, a été construite au début du xviie siècle. Le Louvre, résidence royale, a été embelli au xviie siècle et plusieurs fois retouché par la suite. L'Hôtel des Invalides, avec son fameux dôme doré, fut érigé à la fin du xviie siècle dans les faubourgs de la ville par un Louis XIV soucieux d'offrir un hospice aux soldats blessés. Il abrite depuis le 15 décembre 1840 les cendres de Napoléon Ier et son tombeau depuis le 2 avril 1861157. Le Panthéon, édifié quant à lui à la fin du xviiie siècle à proximité de la Sorbonne, est devenu sous la Révolution un temple civil où des Français illustres sont enterré. Suite sur Wikipédia...
Château de Hautefort : Vue de la terrasse
Le panoramearth est pris de la terrasse du château qui est surélevée. Au début de la vidéo on voit la façade sud du corps principal du château. Puis, on voit la cour, la terrasse, comme on veut. Puis, l'aile est du château (la touriste anglaise assise a accepté d'être sur la vidéo, je l'en remercie) et la tour sud-est qui contient une chapelle. Ensuite, à partir de 1 minute de la vidéo, on a un splendide panorama sur le paysage au sud du château et de la ville de Hautefort. On voit d'abord le beau jardin à la française en contrebas de la terrasse. Puis, une rétro-fioriture sur les toitures de la ville, pour recoller avec le panorama au loin. A 2 minutes 10 secondes, la tour sud-ouest. Puis, la façade de l'aile ouest du château. Le château de Hautefort se distingue par ses caractéristiques atypiques. C'est un château classique perché sur un éperon rocheux. Les châteaux classiques généralement situés sur des plaines, s'ouvrent largement sur les jardins. Hautefort n'est pas une création ex-nihilo, c'est à l'origine une forteresse médiévale très probablement construite à l'emplacement d'un camp romain. Au 9e siècle, le castrum de Autafort, appartient aux puissants vicomtes de Limoges. L'importance stratégique de cette forteresse s'affirme pendant les guerres de Guyenne qui opposent les Plantagenêts aux Capétiens. Les propriétaires, Constantin et Bertran de Born, frères ennemis, supportent des camps différents. Le château subit alors plusieurs sièges dont celui de Richard Cœur de Lion en 1183, avant d'être relevé de ses ruines par Bertran de Born, le célèbre guerrier-troubadour. La forteresse médiévale se composait d'un donjon relié par des courtines à d'autres tours (Tour de la Palme, Tour Longue, Tour des Prisons...). Le château de Hautefort et l'ancien Hospice du village sont de rares exemples de l'architecture classique en Périgord. Si Hautefort tranche si radicalement avec l'architecture des châteaux de la région, forteresses du Moyen Age ou châteaux de la Renaissance aux puissants effets de masse, c'est qu'il n'a pas suivi la même histoire et qu'il appartient à un monde différent. L'ascension sociale des marquis de Hautefort les a conduit à vivre à la cour de France dans un milieu intellectuel et artistique différent de leur sphère originelle et c'est elle qui est la cause du caractère atypique de leur château dont la construction dura un siècle entier, de la fin du 16e à la fin du 17e siècle et fut menée par deux architectes étrangers au terroir, un Lorrain (Nicolas Rambourg) et un Parisien (Jacques Maigret) qui firent presque totalement table rase des bâtiments médiévaux. Le corps de bâtiment central, ponctué de part et d'autre d'un pavillon d'angle, est flanqué d'ailes en retour d'équerre. Ces ailes se terminent par des tours rondes coiffées de dômes à lanternon (d'après le site officiel du château -
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Date (y/m/d): 2008/06/28
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Country: France
State/Region: Aquitaine
County/District: Dordogne (24)
City: Hautefort (24390)
Author: Panoramaddict
NICE DRONE. LA CHAPELLE DU SEMINAIRE DE NICE
NICE DRONE. LA CHAPELLE DU SEMINAIRE DE NICE
© Olivier Miniato 2018 tous droits réservés.
Un peu d’histoire:
Dès 1840, Mgr Galvano décide de faire construire son petit séminaire dans le quartier isolé du Lazaret. Par ordonnance royale du 28 juillet 1842, il inaugure le Parvum Seminarium et collegium, établissement d’études secondaires destiné à recevoir aussi bien les élèves laïques que les futurs clercs. Confié aux Lazaristes à partir de 1866 pour « franciser » l’enseignement, le petit séminaire connait un essor et un rayonnement sans précédents avec près de 300 élèves en 1885. Pour accueillir ces effectifs, Mgr Balaïn fait agrandir les bâtiments dont notamment l’aile-est avec un ensemble de classes et de dortoirs situés au dessus d’un vaste préau (futur emplacement de la bibliothèque). La chapelle est également l’œuvre de ce prélat. En 1907, confisqué en vertu de la loi de séparation des Églises et de l’État, le petit séminaire est attribué aux hospices de la ville. Les années passent et les bâtiments se détériorent inexorablement… En 1928, Mgr Ricard les rachète pour un million de francs et décide d’installer son grand séminaire. Un vaste chantier de restauration débute alors pour accueillir les futurs grands séminaristes. Le décès subit du prélat en octobre 1929 ralentit les travaux entrepris mais Mgr Rémond continue l’œuvre de son prédécesseur. Il aménage les lieux, fait décorer richement la chapelle et inaugure le grand séminaire en janvier 1931.
Dans le cadre de la formation de ses prêtres, le prélat crée une bibliothèque moderne et spacieuse dont il souhaite qu’elle devienne « un foyer de sciences ecclésiastiques et d’histoire religieuse locale ouvert aux laïques comme aux clercs ». Au cours de l’année scolaire 1935-1936 et après plus de deux ans de travaux, Mgr Rémond présente les nouveaux locaux de la bibliothèque aux professeurs et aux élèves. Pour enrichir les collections, l’évêque de Nice lègue une grande partie de sa propre bibliothèque de séminariste et de jeune prêtre.
Selon les désirs de son fondateur, la bibliothèque a permis de former plusieurs générations de prêtres niçois dans l’ensemble des sciences ecclésiastiques. La fermeture du grand séminaire en 1966, au profit des séminaires inter-diocésains de Marseille et d’Aix puis d’Avignon, ne sonna pas le glas de cette institution. Depuis cette date, la bibliothèque est devenue « diocésaine » en s’ouvrant à tous les lecteurs qui s’intéressent à des sujets relatifs à la foi et à la vie de l’Église.
La Chapelle, après quatre années de travaux de restauration retrouve sa splendeur en été 2017.
Saint Trivier de Courtes - Ain (01)
Au cœur de la Bresse, Saint-Trivier-de-Courtes, ancienne cité fortifiée invite le visiteur à la découverte de son patrimoine. Tours puissantes et murs médiévaux, légendes ancestrales et histoires locales… Ici l’histoire se dévoile au détour d’une rue, la mémoire est gravée sur les briques rouges, appelées carrons en Bresse.
La ville abrite de nombreux trésors témoins de son histoire extraordinaire et mouvementée : ancien hospice, tour octogonale, vestiges de la cité médiévale, carronnières, poype, église, maisons à colombages…
La version diaporama avec les commentaires est téléchargeable sur mon blog : ou sur mon site internet :
Hautefort : Château vu de la Rue des Remparts
Le panoramearth est pris de la Rue des Remparts, qui contourne le château de Hautefort. Nous sommes à l'arrière du château, au nord. Au début de la vidéo, on voit une poubelle verte et une minuscule maison, du genre appentis pour des outils de jardinage. Puis, un vaste panorama qui se déroule et au premier plan un jardin dans lequel s'active un jardinier avec sa tondeuse à fil. A la seconde 24 de la vidéo, on voit de l'autre côté de la Rue Sylvain Floirat, une belle bâtisse en U. Elle vient d'être restaurée et l'intérieur n'est pas encore aménagé (sur d'anciennes images satellites on la voit en ruine et sans toiture, envahie de végétation). Je n'ai aucune idée du propriétaire de ce bâtiment, ni de son origine, ni de sa destination future et je n'en sais pas plus concernant le jardin devant... Le panorama se poursuit jusqu'à 1 minute 2 secondes de la vidéo, où l'on voit la Rue des Remparts. A 1 minute 33, on a une belle vue en contre-plongée de l'arrière du château, façades est et nord. A 2 minutes, la Rue des Remparts qui rejoint la Rue de Bastard, qui elle-même monte vers le parking des visiteurs et l'entrée pour visiter le château. Le château de Hautefort se distingue par ses caractéristiques atypiques. C'est un château classique perché sur un éperon rocheux. Les châteaux classiques généralement situés sur des plaines, s'ouvrent largement sur les jardins. Hautefort n'est pas une création ex-nihilo, c'est à l'origine une forteresse médiévale très probablement construite à l'emplacement d'un camp romain. Au 9e siècle, le castrum de Autafort, appartient aux puissants vicomtes de Limoges. L'importance stratégique de cette forteresse s'affirme pendant les guerres de Guyenne qui opposent les Plantagenêts aux Capétiens. Les propriétaires, Constantin et Bertran de Born, frères ennemis, supportent des camps différents. Le château subit alors plusieurs sièges dont celui de Richard Cœur de Lion en 1183, avant d'être relevé de ses ruines par Bertran de Born, le célèbre guerrier-troubadour. La forteresse médiévale se composait d'un donjon relié par des courtines à d'autres tours (Tour de la Palme, Tour Longue, Tour des Prisons...). Le château de Hautefort et l'ancien Hospice du village sont de rares exemples de l'architecture classique en Périgord. Si Hautefort tranche si radicalement avec l'architecture des châteaux de la région, forteresses du Moyen Age ou châteaux de la Renaissance aux puissants effets de masse, c'est qu'il n'a pas suivi la même histoire et qu'il appartient à un monde différent. L'ascension sociale des marquis de Hautefort les a conduit à vivre à la cour de France dans un milieu intellectuel et artistique différent de leur sphère originelle et c'est elle qui est la cause du caractère atypique de leur château dont la construction dura un siècle entier, de la fin du 16e à la fin du 17e siècle et fut menée par deux architectes étrangers au terroir, un Lorrain (Nicolas Rambourg) et un Parisien (Jacques Maigret) qui firent presque totalement table rase des bâtiments médiévaux. Le corps de bâtiment central, ponctué de part et d'autre d'un pavillon d'angle, est flanqué d'ailes en retour d'équerre. Ces ailes se terminent par des tours rondes coiffées de dômes à lanternon (d'après le site officiel du château -
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SUIVEZ LE GUIDE : A Lille, l'ancien hospice est un hôtel de luxe
Un ancien hospice devenu hôtel
Faire cohabiter une chapelle, un spa d’exception, un cloître et des chambres 5 étoiles : c'est désormais possible. Un mélange des genres que l'on retrouve dans l'un des bâtiments les plus atypiques de Lille : l’ancien l'hospice gantois. Une originalité qui a fait des adeptes comme Patrick.
Infos pratiques :
Guillaume Crouzet vous a présenté l’ancien hospice gantois transformé en hôtel :
L’Hermitage
La Maison Coilliot
LA MEDAGLIA MIRACOLOSA.
Médaille miraculeuse
La médaille miraculeuse présente quatre spécificités. D’abord elle a été comme « dessinée » par la Vierge elle-même ! Celle-ci en effet en a montré la forme ovale, l’invocation à graver, son effigie à poser sur une face et au revers les motifs symboliques. De ce fait, la Vierge en a donné le contenu ; le message, explicite et implicite, de sa propre identité, sa Conception Immaculée, de sa coopération au salut donné par son divin Fils, et de sa maternité universelle.
médaille miraculeuseEnsuite la Sainte Vierge en a donné le mode d’emploi : « Ceux qui la porteront avec confiance », on trouve là comme un écho des paroles de Jésus à la femme guérie après avoir touché son manteau : « Va, ta foi t’a sauvée ».
Enfin, la Vierge en assigne le but : recevoir de grandes grâces, nous rappelant ainsi la miséricorde de Dieu et la primauté de la vie spirituelle.
La Sainte Vierge attribue à sa médaille une efficacité particulière. L’Eglise a d’ailleurs toujours admis que l’on attribue à des reliques, à des statues, à des médailles, à des scapulaires, des miracles. Sainte Jeanne de Chantal n’a-t-elle pas été guérie miraculeusement en 1618 par l’imposition des reliques de saint Charles Borromée par les mains de saint François de Sales ? Saint Maximilien Kolbe, en 1912, n’a-t-il pas sauvé son pouce droit de l’amputation par l’application d’eau de Lourdes ?
Certes c’est Dieu qui fait les miracles mais Il veut les faire, quelquefois, au moyen d’objets de piété bien matériels, par l’intercession de ses fidèles serviteurs, les saints, et sa Mère en premier ! Le message de la médaille est un appel à la confiance en l’intercession de la Sainte Vierge. Acceptons humblement de demander des grâces par ses mains !
Une fulgurante diffusion
Après les apparitions, Catherine connaît sa mission : faire frapper une médaille. Elle la confie au Père Aladel, lazariste. Pas d’écho. Nommée à Reuilly, un quartier pauvre de Paris, sœur Catherine se trouve au service des vieillards de l’hospice d’Enghien. Comme la voix intérieure continue d’insister, Catherine, un jour s’enhardit : « La Sainte Vierge est mécontente car vous ne l’écoutez pas » dit-elle à M. Aladel. Saisi par cette admonestation, ce dernier se décide à agir et, avec l’accord de son supérieur, se rend en haut lieu. Surprise ! L’Archevêque de Paris, Mgr de Quélen, ne voit nul inconvénient à faire frapper la médaille demandée par la Vierge Marie. Il exprime aussi le désir de recevoir l’une des premières.
Modles de Mdailles Miraculeuses.En février 1832 éclate à Paris une terrible épidémie de choléra, qui fera plus de 20 000 morts. En juin, les premières médailles réalisées par l’orfèvre Vachette sont distribuées par les Filles de la Charité. Aussitôt guérisons, conversions, protections se multiplient. C’est un raz-de-marée. Le peuple de Paris appelle la médaille de l’Immaculée la « médaille miraculeuse ».
Les miracles provoquent des questions sur l’origine de la médaille. Une première brochure est publiée début 1834 par l’abbé Le Guillou, conseiller de l’archevêque de Paris. Enfin, M. Aladel se décide à écrire : La Notice paraît en août 1834. Tirée à 10 000 exemplaires, elle s’épuise en moins de deux mois, la deuxième édition d’octobre disparaît plus vite encore, et la troisième…
En même temps se répandent des relations des miracles obtenus, des peintures, des gravures et des images qui illustrent l’événement. Mais sainte Catherine reste dans l’ombre et continue son service incognito. A sa mort en 1876, on compte plus d’un milliard de médailles.
Arabic Ave Maria
السلام الملائكي
السلام عليك يا مريم - يا ممتلئة نعمة - الرب معك - مباركة أنت في النساء - ومباركة ثمرة بطنك، يسوع - يا قديسة مريم - يا والدة الله - صلي لأجلنا نحن الخطأة - الآن وفي ساعة موتنا. آمين.
La Ville de Saint-Venant reçoit les championnes de l'Ecole de Pêche
La Ville de Saint-Venant reçoit les championnes de l'Ecole de Pêche dans la Chapelle de l'ancien hospice départementale, le Mercredi 1er Juillet 2015.
© Saint-Venant, Deux Point Zero - 2015
hôtel des invalides (paris france)
L'hôtel national des Invalides est un monument parisien dont la construction fut ordonnée par Louis XIV par l'ordonnance du 24 février 1670, pour abriter les invalides de ses armées. Aujourd'hui, il accueille toujours des invalides, mais également plusieurs musées et une nécropole militaire.
Le roi Louis XIV souhaitait comme ses prédécesseurs Henri III et Henri IV, assurer aide et assistance aux soldats invalides de ses armées ; pour que « ceux qui ont exposé leur vie et prodigué leur sang pour la défense de la monarchie (...) passent le reste de leur jours dans la tranquillité », dit l'édit royal de 1670.
Situés dans la plaine de Grenelle, alors faubourg de Paris, les travaux des bâtiments principaux sont confiés à Libéral Bruant par Louvois.
Libéral Bruant conçoit une organisation en cinq cours, centrée sur la plus grande : la cour royale. Les travaux sont menés entre mars 1671 et février 1677, ce qui peut être qualifiés de rapides (les premiers pensionnaires sont hébergés dès octobre 1674). La face arrière de la grande cour est cependant détruite moins d'un an après son achèvement, pour laisser place aux fondations du grand dôme.
L'église, initialement prévue par Libéral Bruant, semble déplaire et sa construction est confiée à partir de mars 1676 à Jules Hardouin-Mansart qui travaille également aux pavillons d'entrée et aux infirmeries. La construction de l'édifice religieux dure près de trente ans et n'est achevée que le 28 août 1706, date de la remise des clés par l'architecte au Roi Soleil. Le bâtiment est, en fait, double, même s'il existe une continuité architecturale : la nef constitue léglise des soldats, le chœur, sous la coupole, étant qualifié déglise du dôme. Cette distinction est concrétisée par la mise en place, en 1873, d'une grande verrière, séparant les deux parties.
L'hôtel des Invalides comprend alors, outre l'église, une manufacture (confection d'uniformes et imprimerie), un hospice (maison de retraite) et un hôpital militaire. Les ateliers initiaux sont rapidement abandonnés pour faire des chambrées supplémentaires.
Le 15 juillet 1804 eut lieu en la chapelle des Invalides une fastueuse cérémonie officielle : la toute première remise de médailles de la Légion d'honneur par Napoléon aux officiers méritants.
L'hôtel se dote très tôt d'une fonction muséographique : musée d'artillerie en 1872 et musée historique des armées en 1896, réunis en musée de l'armée en 1905.
L'hôtel des Invalides accueille encore aujourd'hui une centaine de retraités et invalides des armées françaises. L'administration chargée de cette mission est l'Institut national des invalides.
Le samedi 13 septembre 2008, le pape Benoît XVI célébra une messe sur l'esplanade des Invalides devant 260 000 personnes dans le cadre de son voyage apostolique en France.
Épernay, France: Top Stop for Champagne Purists
Épernay, in the region called Champagne, is the birthplace of bubbly. Vintners here insist their area is the only place entitled to use the name champagne. Moet and Chandon, one of the grand champagne houses of the region, welcomes visitors here with interesting tours. Subscribe at for weekly updates on more European destinations.
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Château de Hautefort : Vue sur la façade arrière (nord)
Le panoramearth est pris à l'angle nord-est du château. La vidéo commence par un zoom sur la cité sanitaire de « Clairvivre » (voir le panoramearth pour des informations concernant cette cité), située à plus de 9 km à vol d'oiseau. Puis, on descend vers une bâtisse qui ressemble à un petit château et qui vient d'être restaurée (les travaux ne semblent pas terminés), alors que sur les images satellites que l'on voit encore en 2008, il s'agit d'une ruine sans toiture et envahie par la végétation. Quelle sera la destination de cette immeuble ? Je ne sais pas. Sans doute commerciale ou culturelle. Devant cette bâtisse passe la D62 (la Rue Sylvain Floirat) et l'on voit ensuite un beau jardin aménagé en 8 massifs. Ensuite, le paysage lointain à l'est du château. Ensuite, on voit la façade est, l'angle nord-est (contre-plongée) et la façade nord (arrière) du château. Puis, l'arrière du château, avec des pelouses pentues plantées de jeunes arbres. Le château de Hautefort se distingue par ses caractéristiques atypiques. C'est un château classique perché sur un éperon rocheux. Les châteaux classiques généralement situés sur des plaines, s'ouvrent largement sur les jardins. Hautefort n'est pas une création ex-nihilo, c'est à l'origine une forteresse médiévale très probablement construite à l'emplacement d'un camp romain. Au 9e siècle, le castrum de Autafort, appartient aux puissants vicomtes de Limoges. L'importance stratégique de cette forteresse s'affirme pendant les guerres de Guyenne qui opposent les Plantagenêts aux Capétiens. Les propriétaires, Constantin et Bertran de Born, frères ennemis, supportent des camps différents. Le château subit alors plusieurs sièges dont celui de Richard Cœur de Lion en 1183, avant d'être relevé de ses ruines par Bertran de Born, le célèbre guerrier-troubadour. La forteresse médiévale se composait d'un donjon relié par des courtines à d'autres tours (Tour de la Palme, Tour Longue, Tour des Prisons...). Le château de Hautefort et l'ancien Hospice du village sont de rares exemples de l'architecture classique en Périgord. Si Hautefort tranche si radicalement avec l'architecture des châteaux de la région, forteresses du Moyen Age ou châteaux de la Renaissance aux puissants effets de masse, c'est qu'il n'a pas suivi la même histoire et qu'il appartient à un monde différent. L'ascension sociale des marquis de Hautefort les a conduit à vivre à la cour de France dans un milieu intellectuel et artistique différent de leur sphère originelle et c'est elle qui est la cause du caractère atypique de leur château dont la construction dura un siècle entier, de la fin du 16e à la fin du 17e siècle et fut menée par deux architectes étrangers au terroir, un Lorrain (Nicolas Rambourg) et un Parisien (Jacques Maigret) qui firent presque totalement table rase des bâtiments médiévaux. Le corps de bâtiment central, ponctué de part et d'autre d'un pavillon d'angle, est flanqué d'ailes en retour d'équerre. Ces ailes se terminent par des tours rondes coiffées de dômes à lanternon (d'après le site officiel du château -
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Altitude (m): 205
Date (y/m/d): 2008/06/28
Time (hh24 : mm): 12 : 06
Country: France
State/Region: Aquitaine
County/District: Dordogne (24)
City: Hautefort (24390)
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[Hopital Saint Vincent de Paul]
2 août 2005
Reportage avec alternance d'images factuelles et d'interviews. Après la découverte de foetus et de corps d'enfants morts-nés à l'hopital Saint Vincent de Paul, à Paris, le ministre de la santé, Xavier BERTRAND et le secrétaire général de l' Assistance Publique des Hôpitaux de Paris Jean-Marc BOULANGER se sont indignés et ont affirmé qu'une recherche serait faite sur l'origine de cette affaire. Images d'archive INA
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France - Paris - Île de Saint Louis
France - Paris - Île de Saint Louis.
Images et Musique : Vinh-Thien Quach.
Paris, Juillet 2006. Musique et Harmonie : Vinh-Thien QUACH.
Voyages en Image et en Musique :
L'île Saint-Louis est une île de la Seine située en plein cœur de Paris, dans le 4e arrondissement, juste en amont de l'île de la Cité. L'île Saint-Louis avait une population de 2 465 habitants au 1er janvier 2007. Les habitants de l'île Saint-Louis sont les Ludovisiens.
L'île Saint-Louis est, avec l'île de la Cité, l'une des deux îles naturelles de la Seine subsistant encore de nos jours à Paris (l'actuelle île aux Cygnes est entièrement artificielle).
Située immédiatement en amont de l'île de la Cité, elle est la plus petite des deux avec une superficie de 11 ha. Elle prend la forme d'un parallélogramme de 525 m sur son grand côté et de 250 m sur son petit côté, orienté dans une direction générale vers le nord-ouest. Sa plus grande diagonale, entre la pointe nord-ouest (place Louis-Aragon) et la pointe sud-est (square Barye), atteint un peu plus de 700 m.
Découpage du 4e arrondissement en quatre quartiers administratifs.
Administrativement, l'île Saint-Louis fait partie du l'arrondissement de l'Hôtel-de-Ville mieux connu sous l'appellation de 4e arrondissement, dont elle marque la limite sud-est. L'île Saint-Louis et la partie orientale de l'île de la Cité forment le quartier Notre-Dame ou 16e quartier de Paris, l'un des quatre quartiers administratifs du 4e arrondissement.
Avant 1860, l'île Saint-Louis faisait partie de l'ancien 9e arrondissement de Pariset formait à elle seule l'ancien « quartier de l'Île-Saint-Louis ».
Sous la Révolution, elle constituait l'une des 48 sections révolutionnaires parisiennes baptisée section de la Fraternité.
L'île Saint-Louis est reliée au reste de l'arrondissement sur la rive droite du fleuve par trois ponts, plus un quatrième qui la relie à l'île de la Cité, et au 5e arrondissement, sur la rive gauche, par deux autres ponts.
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Nice - La place Saint François
Place Saint-François :
Elle ne fut aménagée qu'au début du XIXe siècle, par la destruction de la chapelle du Saint-Esprit et la suppression du cimetière et du jardin des Franciscains. Elle doit bien sûr son nom au couvent des Franciscains conventuels qui la bordait au nord. Ce couvent, édifié au XIIIe siècle et abandonné à la Révolution, est aujourd'hui pratiquement détruit, l'église servant comme dépôt de nettoiement de la Ville. Au centre se trouvait la croix au Christ séraphique (Christ avec des ailes d'anges formant les bras de la croix), dont le motif est inspiré d'une vision de saint François d'Assise. Déplacée au moment de l'ouverture de la place, elle est aujourd'hui visible sur l'esplanade du monastère de Cimiez. S'y dressait aussi la chapelle des Pénitents blancs du Saint-Esprit (XVIIe-1803). On peut noter, sur les immeubles de l'est de la place, ces frises d'arcatures, ainsi que l'encorbellement de l'immeuble dans la rue Saint-Hospice, qui sont un des rares témoignages de l'aspect médiéval du Vieux-Nice.
Palais Communal
Date :XVIe-XVIIIe,
Porte et escalier Marc-Antoine Grigo;
façade Jean-Pierre Agliaudo de Tavigliano.
La première mention d'un palais communal, situé à la charnière des villes haute et basse est datée de 1409. Il est alors situé au puy des Carmes, ou portail de Majesté, c'est à dire au sommet de la rue du Malonat ou de la rue du Château. Ce sont les travaux d'extension des fortifications du Château qui vont conduire le conseil communal à s'établir ailleurs et à abandonner ces locaux. Errant de 1532 à 1576 de couvent en couvent, des Dominicains aux Franciscains, il finit par choisir un site voisin de ces derniers et s'y établit en 1576. Ce palais communal sera utilisé jusqu'en 1792, puis de 1814 à 1868. Sous la Révolution, l'administration communale siégea de 1794 à 1814 au palais Héraud. Le palais fut achevé en 1580 et plusieurs fois remanié : le portail fut décoré en 1680, et les façades en 1758-1760. L'administration municipale le quitta en 1868 pour le site de l'ancien hôpital Saint-Roch. Les détails architecturaux de l'ensemble sont intéressants, en particulier les figures grotesques des frontons des fenêtres de la façade latérale, l'une riant, l'autre grimaçant, qui pourraient symboliser le bon et le mauvais gouvernement, ainsi que les renommées qui encadrent la porte principale. La cage d'escalier, à voûtes d'arête, conduit à la salle du conseil communal, décorée de fresques allégoriques et d'armes de la Ville de Nice.
Ruelle Saint-François
En niçois carreiròu san Francès surnommé lou roumpe-cùou (le casse-cul). Cette ruelle, au coeur d'un îlot entièrement reconstruit entre 1958 et 1962, a perdu son surnom populaire, qui lui venait sans doute de ses marches glissantes.
pietonPrendre la rue Saint-François jusqu'au carrefour avec les rues Droite, Ste-Claire et du Collet. Là, au second étage du 1 rue Droite, remarquer la fenêtre géminée, à colonettes, autre témoignage de l'architecture médiévale. Prendre à gauche la rue Ste-Claire. Au carrefour de la rue avec la rue de la Croix, à droite, remarquer l'entrée en marbre du
Palais Caissotti de Roubion
Date :XVIIIe
Si elle fut une grande famille du XVIIIe siècle niçois, les Caissotti de Roubion n'ont laissé aucune trace particulière de la construction de leur palais, dont les armoiries ont été visiblement détruites. Les deux membres les plus illustres de la famille furent Antoine-François, ministre de Charles-Emmanuel III et Agapit, maire de Nice sous l'Empire et premier consul de Nice sous la Restauration. L'immeuble est surtout intéressant pour sa porte d'entrée et la décoration sculptée sur bois des portes palières de l'étage noble.
Hautefort : Village de Gites « Les Sources »
Le panoramearth est pris du bord de la D62E4, à l'entrée d'un village de gites (village de vacances) appelé « Les Sources ». D'après le sitte officiel - situé face au château de Hautefort en Périgord Noir, le village de gîtes « Les Sources » propose des hébergements tout confort au milieu d'un cadre de verdure avec piscine, jacuzzi, plan d'eau, aires de jeux, quad, paintball, randonnée, bar et restaurant. Au début de la vidéo on voit le parking du village et le village lui-même (apparemment une ancienne ferme et les gîtes construits devant). En contrebas, le plan d'eau (un petit étang artificiel récemment aménagé) et, au loin, une vue magnifique sur le majestueux château de Hautefort (zoom à la seconde 40 de la vidéo) et sa ville. Puis, le panorama se poursuit. A 1 minute 40 secondes, le panneau d'accueil du village de vacances et en arrière plan la route, la D62E4. De l'autre côté, à flanc de colline une belle maison récemment bâtie. Le château de Hautefort se distingue par ses caractéristiques atypiques. C'est un château classique perché sur un éperon rocheux. Les châteaux classiques généralement situés sur des plaines, s'ouvrent largement sur les jardins. Hautefort n'est pas une création ex-nihilo, c'est à l'origine une forteresse médiévale très probablement construite à l'emplacement d'un camp romain. Au 9e siècle, le castrum de Autafort, appartient aux puissants vicomtes de Limoges. L'importance stratégique de cette forteresse s'affirme pendant les guerres de Guyenne qui opposent les Plantagenêts aux Capétiens. Les propriétaires, Constantin et Bertran de Born, frères ennemis, supportent des camps différents. Le château subit alors plusieurs sièges dont celui de Richard Cœur de Lion en 1183, avant d'être relevé de ses ruines par Bertran de Born, le célèbre guerrier-troubadour. La forteresse médiévale se composait d'un donjon relié par des courtines à d'autres tours (Tour de la Palme, Tour Longue, Tour des Prisons...). Le château de Hautefort et l'ancien Hospice du village sont de rares exemples de l'architecture classique en Périgord. Si Hautefort tranche si radicalement avec l'architecture des châteaux de la région, forteresses du Moyen Age ou châteaux de la Renaissance aux puissants effets de masse, c'est qu'il n'a pas suivi la même histoire et qu'il appartient à un monde différent. L'ascension sociale des marquis de Hautefort les a conduit à vivre à la cour de France dans un milieu intellectuel et artistique différent de leur sphère originelle et c'est elle qui est la cause du caractère atypique de leur château dont la construction dura un siècle entier, de la fin du 16e à la fin du 17e siècle et fut menée par deux architectes étrangers au terroir, un Lorrain (Nicolas Rambourg) et un Parisien (Jacques Maigret) qui firent presque totalement table rase des bâtiments médiévaux. Le corps de bâtiment central, ponctué de part et d'autre d'un pavillon d'angle, est flanqué d'ailes en retour d'équerre. Ces ailes se terminent par des tours rondes coiffées de dômes à lanternon (d'après le site officiel du château -
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Latitude (dd): 45.250381
Longitude (dd): 1.126687
Google Earth/Maps search: 45.250381,1.126687
Altitude (m): 221
Date (y/m/d): 2008/06/25
Time (hh24 : mm): 16 : 10
Country: France
State/Region: Aquitaine
County/District: Dordogne (24)
City: Hautefort (24390)
Author: Panoramaddict
Nuit St Georges Burgundy France
A walking tour of Nuit Saint Georges in the wine producing region of Burgundy France.
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