STRUTHOF LE CAMP OUBLIÉ
Documentaire de 2017, qui revient, à l'aide d'archives commentées par des historiens et d'anciens déportés, sur l'histoire du camp de concentration de Natzweiler-Struthof, installé en Alsace durant la Seconde Guerre mondiale. Là, les déportés participent à l’économie et à l’industrie de guerre allemandes dans des conditions climatiques et disciplinaires qui font de ce camp l’un des plus meurtriers du système concentrationnaire nazi. Des résistants venus de toute l'Europe, surnommés les «Nacht und Nebel» (les «Nuit et Brouillard») par les officiers allemands, y disparaissent massivement.
Le camp de Natzweiler-Struthof, 75 ans après
Il y a 75 ans, en 1944, les troupes américaines découvraient le camp de Natzweiler-Struthof (Bas-Rhin) à 60 km de Strasbourg. Il s'agissait de l'unique camp de concentration français.
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75ème anniversaire de l'évacuation du camp du Struthof, en Alsace
75ème anniversaire de l'évacuation du camp du Struthof...le seul camp de concentration nazi sur le sol français. Cérémonie internationale ce matin en hommage à ces dizaines de milliers de détenus de 32 nationalités qui transitèrent par ce camp. Beaucoup succombèrent...c'est en tout cas le seul czamp évacué quand tous les autres ont été libéré par les alliés....David Meneu, Olivier Stéphan
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Extrait doc Les Résistances : le camp du Struthof
Le KL-Natzweiler, plus connu sous le nom de « Struthof », est ouvert en Alsace annexée le 1er mai 1941. Ce gigantesque regroupement de camps est le seul complexe concentrationnaire situé sur l’actuel territoire français. En trois ans et demi d’existence, le Struthof voit défiler 52 000 déportés, majoritairement des résistants, mais aussi des juifs, des tziganes et des homosexuels. Robert Salomon et Pierre Rolinet, deux Résistants de Glay dans le Doubs, sont arrêtés en novembre 1943. Déportés au Struthof, ils survivent à l’un des camps les plus meurtriers du système concentrationnaire nazi. Robert Salomon et Pierre Rolinet racontent aujourd’hui la déshumanisation, les brimades, la mort et son odeur omniprésente.
VISITE D'UN CAMP DE CONCENTRATION [EXEPTIONNEL]
Site du camp :
Bienvenue dans cette visite exeptionnel du camp de concentration de Natzweiler Struthof
J'éspère que cette vidéo vous plaira
Si tu as pris le temps de lire la description met #vuladescription
A bientôt les amis
Le passé ressurgit au Struthof
Cette trouvaille au camp du Struthof ! Cet été une jeune stagiaire qui effectuait des travaux d'entretien est tombée tout à fait par hasard sur un bout de chaîne qui dépassait du sol.
Elle l'a pris et rapporté aux responsables du site: il s'avère que c'est un bijou ayant appartenu à un aviateur anglais exécuté au camp à l'âge de 21 ans.
Reportage Caroline Kellner et Philippe Dezempte
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L'EVADÉ_DU CAMP._1_BON_.FILM__PENDANT_LA.2EM_GUERRE__MONDIALE
Sujet: Durant la Seconde Guerre Mondiale, Franz von Werra, un jeune pilote de la Luftwaffe, est fait prisonnier par les Anglais, après un atterrissage forcée. Durant toute sa captivité, il n'aura de cesse de trouver un moyen de s'évader. Après deux échecs, le premier, lors d'une sortie du groupe de prisonniers allemands; le second, via un tunnel creusé depuis son baraquement, il parviendra à s'échapper, après un transfert au Canada, du train qui les convoyait, lui et ses camarades, et à rejoindre les États-Unis, encore neutres à ce moment-ci du conflit...
Simone Veil au Struthof
Une image forte de Simone Veil en Alsace, c'est aussi celle de sa visite à l'ancien camp du Struthof en novembre 2005. Avec Jacques Chirac, elle était venue clore les événements liés au 60ème anniversaire de la libération dans ce haut-lieu de la déportation. 22.000 personnes y ont perdu la vie lors de la seconde guerre mondiale. Simone Veil, en larmes, y a revécu son passé de déportée à Auschwitz.
Reportage Joel Barcy
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Auschwitz FR
Reportage diffusé le mardi 27 janvier 2015 dans lémission spéciale de France 2 consacré aux commémorations de la libération du camp.
Hello les potes ! Aujourdhui vidéo un peu particulière, #DISCOVER sur le camp de concentration et dextermination dAUSCHWITZ-BIRKENAU. Jai passé pas mal de temps à chercher.
Il comparait pour complicité dans la mort dau moins 170.000 personnes. Reinhold Hanning, un ancien gardien dAuschwitz, âgé aujourdhui de 94 ans, a profité de son procès pour présenter.
JE VAIS DANS LE CAMP DE LA MORT !! (Auschwitz)
Je vais dans le camp de la mort d'Auschwitz en hommage à toutes les victimes.
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Ils etaient juifs et resistants
Chaine TV : France 5
Date de diffusion : 29/01/2017
Réalisé par : Alain Jomy
Nationalité : Français
Durée : 52min 31s
Langue : Français
Les juifs représentent alors une infime fraction de la population française mais dans la Résistance, ou plutôt dans les résistances, ils ont été très nombreux. Venus de tous les horizons, appartenant à des mouvements de jeunesse ou à des partis politiques, ils ont été très nombreux à s'engager dans tous les mouvements de résistance. Celle-ci a commencé avec l'entraide. Puis, face à la répression et aux persécutions raciales, elle sest poursuivie avec la propagande et l'action armée. Ce film documentaire reconstitue cette histoire peu connue, celle de tous ces citoyens juifs qui sont entrés en résistance contre le nazisme sur le territoire français. Ce film documentaire donne une vision première et synthétique de ce monde complexe des résistants juifs.
Une cérémonie internationale pour le 75ème anniversaire de l'évacuation du camp du Struthof
Le 75ème anniversaire de l'évacuation du camp du Struthof, seul camp de concentration nazi sur le sol français, a été organisé le 14 septembre. Une cérémonie internationale en hommage à ces dizaines de milliers de détenus de 32 nationalités qui transitèrent par ce camp.
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Auschwitz-les camps de concentration
HITLER un virage dangereux de l'histoire de la civilisation
que ,qui ,quoi ,qu'es ce, pourquoi ,comment ?
INFO wikipédia
Adolf Hitler (prononcé en allemand [ˈa.dɔlf ˈhɪt.lɐ] Écouter) est un idéologue et homme d'État allemand, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche-Hongrie (aujourd'hui en Autriche et toujours ville-frontière avec l’Allemagne) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin. Fondateur et figure centrale du nazisme, il prend le pouvoir en Allemagne en 1933 et instaure une dictature totalitaire, impérialiste, antisémite et raciste désignée sous le nom de Troisième Reich.
Membre du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP, le parti nazi), il s'impose à la tête du mouvement en 1921 et tente en 1923 un coup d'État qui échoue. Il met à profit sa courte peine de prison pour rédiger le livre Mein Kampf dans lequel il expose ses conceptions racistes et ultranationalistes.
Dans les années 1920, dans un climat de violence politique, il occupe une place croissante dans la vie publique allemande jusqu'à devenir chancelier le 30 janvier 1933, en pleine Grande Dépression. Son régime met très rapidement en place les premiers camps de concentration destinés à la répression des opposants politiques (notamment socialistes, communistes et syndicalistes). En août 1934, après une violente opération d’élimination physique d’opposants et rivaux — connue sous le nom de nuit des Longs Couteaux — et la mort du vieux maréchal Hindenburg, président du Reich, il se fait plébisciter chef de l'État. Il porte dès lors le double titre de « Führer » (en français : « guide ») et « chancelier du Reich », sabordant ainsi la république de Weimar et mettant fin à la première démocratie parlementaire en Allemagne. La politique qu'il conduit est pangermaniste, antisémite, revanchiste et belliqueuse. Son régime adopte en 1935 une législation anti-juive et les nazis prennent le contrôle de la société allemande (travailleurs, jeunesse, médias et cinéma, industrie, sciences, etc.).
L'expansionnisme du régime est l'élément déclencheur du volet européen de la Seconde Guerre mondiale. L'Allemagne connaît d'abord une période de victoires militaires et occupe la majeure partie de l'Europe, mais elle est ensuite repoussée sur tous les fronts, puis envahie par les Alliés : à l'Est par les Soviétiques et à l'Ouest par les Anglo-Américains et leurs alliés, dont des forces issues des pays occupés par l'Allemagne. Au terme d'une guerre totale ayant atteint des sommets de destruction et de barbarie, Hitler, terré dans son bunker, se suicide alors que Berlin en ruines est investie par les troupes soviétiques.
Le Troisième Reich, qui selon Hitler devait durer « mille ans », n'en dura que douze mais a provoqué dans ce laps de temps la mort de millions de personnes et la destruction d'une grande partie des villes et des infrastructures en Europe. L'ampleur sans précédent des massacres comme le génocide des Juifs européens — mené au travers des actions des Einsatzgruppen ou de la mise en œuvre des camps d'extermination — et des Tziganes ; la mort par la faim de millions de civils soviétiques ; l'assassinat des personnes handicapées ; les innombrables exactions contre les populations civiles ; le traitement inhumain des prisonniers de guerre soviétiques ; les destructions et les pillages dont il est responsable tout comme le racisme radical singularisant sa doctrine et la barbarie des sévices infligés à ses victimes valent à Hitler d'être considéré de manière particulièrement négative par l'historiographie et la mémoire collective. Sa personne et son nom sont considérés comme des symboles du mal absolu.
La mémoire meurtrie
ATTENTION - CE FILM EST INSOUTENABLE
Version française (VoiceOver ininterrompue) du film Memory of The Camps de Sidney Bernstein dont Alfred Hitchcock supervisa le montage. Il s'agit en fait d'un remontage de 1985 sans l'ouverture ni la voix de Trevor Howard. La version originale de mauvaise qualité existe à l'adresse :
J'ai décidé de mettre en ligne ce documentaire exceptionnel parce qu'il n'est nulle part accessible.
S'il m'était demandé de le retirer par des personnes se réclamant de ses ayant-droits je le ferais sans délai.
Je l'avais enregistré sur Canal Plus en 1987, et il fut rediffusé en 1996 lors de Une semaine contre l'oubli.
Ce documentaire reprend le film tourné en 1945, par S. Bernstein, en grande partie à Belsen à la libération du camp. Son souhait était que ce film fasse office de preuves de l'impensable, qu'il soit largement montré en Allemagne. Il n'a en réalité jamais été diffusé. Le présent documentaire, aux images particulièrement éprouvantes, garde le commentaire d'origine qui l'accompagnait et lui adjoint un certain nombre de témoignages, celui du cinéaste-cameraman bien entendu, celui de survivants : Anita Lasker, Leon Greenmann et Hugo Gryn, ainsi que quelques commentaires de l'historien Martin Gilbert.
Le film tourné et monté en 1945 fut interdit jusqu'en 1985, de peur qu'à sa vision l'Allemagne n'arrive pas à se relever. De nombreuses images en ont été extraites par d'autres cinéastes tels Alain Resnais pour Nuit et brouillard.
P.S.: j'ai désactivé les commentaires qui digressaient dangereusement vers des évènements récents pour que le film conserve sa fonction de témoignage historique.
Gaza 2013 : Gaza camp de concentration à ciel ouvert ?
Dans ce nouveau numéro de Décryptage nous vous présentons Gaza 2013...
Selon Eva Joly et Nathalie Arthaud Gaza est un camp de concentration à ciel ouvert .
Camp de concentration vraiment ?
Voici un aperçu..
La propagande palestinienne nous sert depuis des années des photos de Gaza où l'on voit des ruines, des enfants en pleure, des corps d'enfants (faux dans plus de 90% des cas car venant d'autres conflits)... Ainsi Palywood a construit une image mythique d'un Gaza opprimé par le méchant occupant israélien.
Les champions de la propagande palestinienne ont même procédé à une translation imagée l'opprimé Juif, exterminé lors de la Shoah, deviendrai l'oppresseur des pauvres gazaouis...
Cette propagande, mur mensonge médiatique, est reprise par la gauche bobo bien pensante en France dans certains pays d'Europe comme la Belgique. Les journalistes français ne faisant plus leur travail d'information par conformisme, relaient ces fausses images de Gaza.
Plus aucun esprit critique ne vient contredire ou s'interroger sur ce qu'il en est réellement et cela permet à un Stéphane Hessel de prendre fait et cause pour Gaza en ce basant sur le seul rapport du Juge Goldstone, rapport désavoué par Goldstone lui-même qui avoue avoir été abusé par le Hamas...
Qui va à Gaza ? Personne. Les médias se contentent de diffuser de fausses images de Gzaz qui leur sont fournies par le Hamas qui y règne en maître.... Aucun journaliste n'a le droit de filmer la réalité et ne peut exercer à Gaza que sous haute surveillance du Hamas.
Mais personne ne voit jamais les beaux 4x4 de luxe, les grands hôtels, les centres commerciaux, les parcs d'attraction, le Marathon de Gaza, etc...
Savez vous que pour chaque gazaoui, il est versé 2 200 € par mois d'aide humanitaire par la communauté internationale dont l'Europe est le plus grand donateur ? Ne riez pas c'est avec vos impôts, nos impôts...
Alors aidez nous à rétablir la vérité en diffusant largement autour de vous cette vidéo:
Europe Israël:
☛ Les Camps de Concentration de la France en Algérie
pour la vérité ... pour ceux qui pensent que le seul peuple persécuté ''....est le peuple juif....regardez ce documentaire .....et dites vous que NON :) sans parler des esclaves noirs d'Afrique , des amérindiens , des aborigènes......tous massacrés par millions ...par des Blancs Civilisés ...
Cérémonie hommage au Struthof - France 3 Alsace
La cérémonie d'hommages aux résistants et déportés du Struthof s'est tenue comme chaque année sur les hauteurs de Rothau et Natzwiller, en présence d'anciens déportés. Reportage pour France 3 Alsace, réalisé le 24 juin 2017, avec Emmanuel Thiery.
DOCUMENTARAIRE 2017 LES CAMPS NAZL LHORREUR 2017
À son arrivée au pouvoir en 1933, Adolf Hitler met en place des camps de concentration pour enfermer les opposants à son régime. En moins de dix ans, ces prisons donneront naissance à des centres de mise à mort, théâtres d´une des périodes les plus sombres et meurtrières de l´Histoire de l´humanité. Le 20 janvier 1942 à Berlin, le régime nazi a mis en place une réunion lors de laquelle les dirigeants recenseront 11 millions de Juifs intégrés au réseau de camps de concentration parmi lesquels : Belzec, Sobibor, Treblinka, Auschwitz Birkenau. Quelles opérations ont conduit l´Allemagne à utiliser des mises à mort atroces dans certains camps pour vider le grand Reich de toute présence juive ? Alors que la recherche sur les camps, 70 ans après les faits, est toujours en cours, ce documentaire pointe les derniers éléments historiographiques connus pour démontrer comment, en dix ans, un système concentrationnaire est devenu l'appareil rationalisé d´un génocide.
Auschwitz - Souvenirs du prisonnier No 1327 /documentaire/ camp de concentration
La bouleversante relation d'un homme lié depuis plus de 60 années au camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau. KAZIMIERZ SMOLEŃ — pendant quatre ans et demi le prisonnier nr 1327. Après la guerre employé et directeur des années durant, du musée KL Auschwitz-Birkenau. La plus haute autorité mondiale en matière de camps de concentracion hitlériens — principal témoin à charge dans les procès intentés contre les bourreaux nazis.
Sciences nazies : La race le sol et le sang
Comment la science allemande s'est massivement ralliée au nazisme, légitimant ses crimes et y participant. Une page en partie méconnue de l'histoire du IIIe Reich.
Si la médecine nazie et ses expérimentations monstrueuses ont été partiellement jugées à Nuremberg (la plupart des coupables étaient en fuite), le rôle assigné dès 1933 par Heinrich Himmler, le maître de la SS, à l'ensemble de la communauté scientifique allemande est moins connu. Obsédé par le désir de prouver la supériorité de la race germanique, le futur maître d'œuvre de la solution finale crée en 1935 l'Ahnenerbe (littéralement héritage ancestral), institut scientifique doté de moyens colossaux pour effectuer chantiers de fouilles et expéditions à travers le monde. Si l'archéologie – dont 80 % des représentants adhèrent au parti national-socialiste – et l'anthropologie sont en première ligne, toutes les disciplines vont travailler avec ardeur à la tâche qui leur est assignée : légitimer l’entreprise d’épuration raciale, de germanisation des territoires et de domination idéologique du régime. Beaucoup de chercheurs, membres de la SS, vont aussi participer directement aux crimes de masse du nazisme, soit au sein des commandos d'extermination sur le front de l'Est, soit en se livrant à des expériences barbares sur des humains, ou encore en organisant le pillage à grande échelle des territoires conquis.
L'histoire de cette science de combat, et la manière dont elle s'organise pour se plier aux objectifs délirants fixés par Himmler puis, après la guerre, pour échapper largement à la dénazification superficielle menée par les Alliés, est retracée par David Korn-Brzoza à partir d'archives en partie inédites et de témoignages de nombre d'historiens ayant contribué à mettre ces faits dans la lumière. Son film revient ainsi sur les élucubrations de Himmler, persuadé qu'en cherchant bien la science pourrait montrer que les Germains ont inventé tous les acquis de la civilisation. Il rappelle aussi comment, au camp de concentration Natzweiler-Struthof, choisi pour sa proximité avec la Reichuniversität de Strasbourg, l'anatomiste August Hirt a fait exécuter 86 déportés sélectionnés à Auschwitz pour constituer une collection de squelettes juifs. Un épisode atroce et méconnu dans la longue liste des horreurs commises jusqu'aux dernières heures de la guerre au nom de la science nazie.
Réalisation : David Korn-Brzoza
Auteurs : Johann Chapoutot et David Korn-Brzoza
Commentaire dit par Vincent Lindon
Coproduction : ARTE France, Upside TV