KLINGENTHAL La manufacture royale d'armes blanches
la manufacture d'armes blanches de Klingenthal
1720-1962--aujourd'hui un musée
Klingenthal Fransk sabel m/1822 Manufacture de Coulaux
Antik fransk sabel m/1822 med balja, två koppelringar, se inskription Manufre de Coulaux Klingenthal L117 cm, sabelfäste med genombruten parerplåt av tjock mässing. --- Antique french sable, see inscription, bracket with pierced mating plate.
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Exposition sur la guerre de 14-18 au Klingenthal - mars à août 2016
Au musée de la manufacture d'armes blanches de Klingenthal, une exposition rappelle le sort réservé aux habitants du village durant la grande guerre.
Promenade en Alsace - Boersch, ses hameaux Saint-Léonard, et Klingenthal
Promenade en Alsace - Boersch, ses hameaux Saint-Léonard, et Klingenthal
Bœrsch est située dans le vignoble alsacien, dans une dépression d'un affluent de la rive gauche de l'Ehn, à environ 3 km au sud-ouest de Rosheim, comprenant Klingenthal et le hameau de Saint-Léonard. Le village fait partie du canton de Rosheim et de l'arrondissement de Molsheim. Boersch est également situé à 30 km au sud-ouest de Strasbourg. Le village se trouve entre les villes de Rosheim et d'Obernai, non loin de Molsheim. Les villageois sont appelés les Boerschois.
Le village est mentionné pour la première fois en 1109 lors de la fondation de l'abbaye de Saint-Léonard. Très tôt, les chanoines de la cathédrale de Strasbourg y possède une cour dimière. Vers 1340, l'évêque de Strasbourg, Berthold de Bucheck, accorde le statut de ville à la localité et érige les fortifications de la cité.En 1385, Boersch est prise de nuit par le comte Henri III de Saarwerden, pillée, détruite et l'église brûlée. Par la suite, Guillaume de Diest, évêque de Strasbourg(1394-1439, la gage plusieurs fois pour payer ses nombreuses dettes. En 1405 et 1406, il l'hypothèque à trois créanciers : au comte Philippe de Nassau - Saarwerden, à la Ville de Strasbourg et au Grand Chapitre. Finalement en 1423, l'évêque Guillaume, l'engage à la ville de Strasbourg, qui la garde jusqu'en 1464. En 1439 les époux Rumeler-Lawel et Anelin fondent à Boersch un hospice pour héberger les pèlerins et voyageurs « pauvres et honnêtes ». Au Moyen Âge la cité est ravagée et pillée à plusieurs reprises. La seigneurie passe définitivement en 1466 à l'évêché du Grand Chapitre de la cathédrale de Strasbourg pour {{Unité|1000|florins, et ce jusqu'à la Révolution. Boersch connaît ensuite une période de prospérité, jusqu'à la guerre de Trente Ans(1618-1648). Boersch est pillée puis occupée par les troupes Suédoises de Ernst von Mansfeld en 1622. Sa population augmente ensuite régulièrement jusque vers 1830, puis régresse ensuite avec la fermeture de la manufacture d'armes blanches de Klingenthal et l'exode rural. La situation s'inverse vers 1960.
Klingenthal (vallée des lames )
Klingenthal est un hameau faisant partie de Boersch. Il doit son nom à la grande manufacture royale d'armes blanches fondée en 1730. Louis XV fit venir à cette époque des ouvriers allemands de Solingen (Ruhr) près de Düsseldorf. Cette manufacture a été supprimée et remplacée ensuite par une fabrique d'armes blanches dites du commerce, ainsi que de faux et faucilles; ces dernières égalaient en qualité celles de Styrie et leur étaient même supérieures pour ce qui concerne la fabrication. La localité de Klingenthal se développe autour de cette industrie. Jusqu'en 1736, Henri d'Anthès dirige l'entreprise qui cesse de fonctionner en 1751 par manque de commande de l'État.Durant les guerres de la Révolution et de l'Empire, la manufacture renaît à nouveau, mais victime de la révolution industrielle, la manufacture ferme en 1836. Par la suite, les entrepreneurs Coulaux font des bâtiments une fabrique d'aiguiserie de baïonnettes pour le service de la manufacture de Mutzig, une raffinerie de cuivre avec martinet et une fabrique de garance. L'entreprise ferme définitivement en 1962. La maison de la manufacture est aujourd'hui un musée qui tente de perpétuer le souvenir de cette florissante industrie. Dans les montagnes, derrière le Klingenthal, on trouve cachées au milieu des sapins qui les entourent de toutes parts, les ruines du château de Kagenfels ou Kagenbourg.
Copyright: Jean-Marc Coquelle
Le village de Boersch en Alsace (2019)
Boersch, 2 100 habitants, à 4 km d’Obernai, 11 km de Molsheim et 34 km de Strasbourg toute petite ville de la route des vins, loin du flot des touristes, mérite pourtant qu’on s’y arrête pour se promener à travers ses petites rues et y découvrir de belles maisons ainsi que les trois portes fortifiées de la ville. Vous pourrez poursuivre votre promenade dans le vignoble.
Histoire
Le village est mentionné pour la première fois en 1109 lors de la fondation de l'abbaye de Saint-Léonard. Très tôt, les chanoines de la cathédrale de Strasbourg y possède une cour dimière. Vers 1340, l'évêque de Strasbourg, Berthold de Bucheck, accorde le statut de ville à la localité et érige les fortifications de la cité.En 1385, Boersch est prise de nuit par le comte Henri III de Saarwerden, pillée, détruite et l'église brûlée. Par la suite, Guillaume de Diest, évêque de Strasbourg(1394-1439, la gage plusieurs fois pour payer ses nombreuses dettes. En 1405 et 1406, il l’hypothèque à trois créanciers : au comte Philippe de Nassau - Saarwerden, à la Ville de Strasbourg et au Grand Chapitre. Finalement en 1423, l'évêque Guillaume, l'engage à la ville de Strasbourg, qui la garde jusqu'en 1464. En 1439 les époux Rumeler-Lawel et Anelin fondent à Boersch un hospice pour héberger les pèlerins et voyageurs « pauvres et honnêtes ». Au Moyen Âge la cité est ravagée et pillée à plusieurs reprises. La seigneurie passe définitivement en 1466 à l'évêché du Grand Chapitre de la cathédrale de Strasbourg pour 1 000 florins, et ce jusqu'à la Révolution. Boersch connaît ensuite une période de prospérité, jusqu'à la guerre de Trente Ans (1618-1648). Boersch est pillée puis occupée par les troupes de Ernst von Mansfeld en 1622, puis par les Suédois en 1632. Sa population augmente ensuite régulièrement jusque vers 1830, puis régresse ensuite avec la fermeture de la manufacture d'armes blanches de Klingenthal et l'exode rural. La situation s'inverse vers 1960.
Klingenthal (vallée des lames)
Klingenthal est un hameau faisant partie de Boersch. Il doit son nom à la grande manufacture royale d'armes blanches fondée en 1730. Louis XV fit venir à cette époque des ouvriers allemands de Solingen (Ruhr) près de Düsseldorf. Cette manufacture a été supprimée et remplacée ensuite par une fabrique d'armes blanches dites du commerce, ainsi que de faux et faucilles ; ces dernières égalaient en qualité celles de Styrie et leur étaient même supérieures pour ce qui concerne la fabrication. La localité de Klingenthal se développe autour de cette industrie. Jusqu'en 1736, Henri d'Anthès dirige l'entreprise qui cesse de fonctionner en 1751 par manque de commande de l'État. Durant les guerres de la Révolution et de l'Empire, la manufacture renaît à nouveau, mais victime de la révolution industrielle, la manufacture ferme en 1836. Par la suite, les entrepreneurs Coulaux font des bâtiments une fabrique d'aiguiserie de baïonnettes pour le service de la manufacture de Mutzig, une raffinerie de cuivre avec martinet et une fabrique de garance. L'entreprise ferme définitivement en 1962. La maison de la manufacture est aujourd'hui un musée qui tente de perpétuer le souvenir de cette florissante industrie. Dans les montagnes, derrière le Klingenthal, on trouve cachées au milieu des sapins qui les entourent de toutes parts, les ruines du château de Kagenfels ou Kagenbourg.
photos de Joseph William - 29 août 2019
Réalisation Jean Marc Coquelle
Klingenthal Maison de la Manufacture
Marc Adolf, Président de l'Association pour la Sauvegarde du Klingenthal présente la Maison de la Manufacture - Film de France 3 Alsace, commentaire en alsacien, sous-titré.
Marc Adolf, President of Association pour la Sauvegarde du Klingenthal present the museum of Manufaktur - video from France3 Alsace, commentary in alsacian dialect subtitled in french.
RAPPORT SUR LES ARMES BLANCHES DE PRODUCTION
Société responsable de la fabrication des épées. Jouer épées films hollywoodiens. Société responsable de la commercialisation et de la distribution DYDTOLEDO
Sabre BRIQUET d'Infanterie juillet 1816 VERSAILLES
Sabre BRIQUET d'Infanterie, 1816 VERSAILLES
Poinçonnée VERSAILLES.
Lame marquée au dos de la manufacture Royale du Klingenthal juillet 1816.
Poinçons : B et L. Fourreau cuir(une des deux garniture laiton, manque).
Mention obligatoire : Arme de 6ème catégorie, vente interdite aux mineurs.
Avant/Après de la Manufacture de Saint-Étienne
La Manufacture a tellement changé... #Réservedéboussolée
©SarahHenini
leon mignon
la fin de l'année scolaire de la 4P arm B , edition 2007-2008
Histoire du casque de Mousquetaire du Roi 1814
Découvrez 500 ans de souvenirs militaires à travers des vidéos accessibles à tous.
casques,shakos,sabres,épées,pistolets,décorations,militaria,
dont des objets très rares digne des grands musées
Merci à nos amis collectionneurs pour leurs contributions avec des objets exceptionnels pour réaliser ses vidéos
armurerie leydier 3 jours exceptionnels 2018 épisode 6 le révolver 22 lr
Dans cet épisode
Un révolver en calibre 22 lr dont je n’ai pu récupérer la marque auprès du revendeur qui me l’a si gentiment prêté
Néanmoins je tenais absolument à vous le présenter.
Pour plusieurs raison
1 son dessine qui est tout de même agréable, on va commencer par les points positifs.
2 sa nullité au tir
En effet cette arme ce révèle décevante au tir et ce pour plusieurs raison
1 détente extrêmement dure en simple et en double actions
En cas d’achat de cet arme il faudra faire réaliser un travail auprès de l’armurier ce qui est dommage cela rajoute des frais.
2 son chien externe qui est extrêmement dur à l’armement et difficile à prendre avec le doigt
En gros on se griffe les doigts à chaque réarmement.
C’est insupportable.
3 un déverrouillage du barillet qui n’est pas aisé il faut forcer comme un sourd pour basculer le barillet
Quant à la précision de cette arme je n’ai pas d’avis à donner honnêtement je n’ai pas testé la précision de cette arme.
Cela était strictement impossible lors de cette journée sachant que j’avais déjà tirer sur la cible avec d’autre arme en 22 lr et qu’il n’y avait pas la possibilité d’aller au résultat au bout de 5 cartouches tirées comme c’est le cas habituellement en stand lors de séance classiques.
En résumé je dirais que cette arme sans doute d’un prix abordable peut être utile pour du plinking ou tout simplement pour bloquer une auto le temps d’un autre achat.
Si vous souhaitez avoir plus de précision sur la marque ou le prix de cette arme je vous invite à vous rapprocher du revendeur dont vous trouverez les coordonnées en tout début de vidéo.
En espérant que cette vidéo vous ais plus je vous en souhaite un bon visionnage.
Backyard Cutting in Bronzeville
Casual cutting in May 2017 with Valiant Armoury Arundel (Bastard Sword), Castille Armory Custom 1845/55 French Infantry Officer Sabre, and Ronin Katana Dojo Pro #17.
None of the participants have ever done HEMA or Tameshigiri.
Music composed by David Gueringer