Lancement d’une fouille archéologique sur le tombeau présumé de Michel Montaigne
Si l'existence du tombeau de Michel de Montaigne au musée d'Aquitaine est attestée, de nombreux doutes subsistent quant à sa dépouille.
En effet, les restes du philosophe ont connu au fil des siècles d'importants déplacements, en raison des multiples évolutions architecturales qu'a connu le couvent des Feuillants, où Montaigne fut inhumé initialement, remplacé successivement par le Lycée de Bordeaux puis la Faculté des sciences et lettres (aujourd'hui, le musée d'Aquitaine).
Est-ce que le cercueil qui se trouve dans les sous-sols du musée d'Aquitaine abrite bien les restes de Michel de Montaigne ? À qui appartient le crâne placé dans la partie inférieure du tombeau ? Quelle est l'histoire de ce monument et des restes qu'il contient ?
Pour tenter de répondre à ces questions, il est apparu nécessaire d'entreprendre une fouille archéologique.
Plus d'information :
Clermont-Ferrand : une statue monumentale de Jupiter au musée Bargoin
Le retour d'une sculpture gallo-romaine en Auvergne... Le musée Bargoin de Clermont-Ferrand a fait l'acquisition d'une pièce exceptionnelle « Jupiter et l'anguipède. » qui va enrichir ses collections archéologiques. Avant sa restauration, le public pourra la découvrir gratuitement pendant quatre mois.
Intervenants : Bertrand Dousteyssier , Maison des Sciences de l’Homme Université Clermont Auvergne / Marie Bèche-Wittmann
Responsable Département Archéologie, Musée Bargoin Clermont-Ferrand
Reportage : B. Cante / V. Mathieu / S. Bonnetot / France 3 Auvergne
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Fouilles archéologiques sous-marines à Saintes
Des fouilles archéologiques sous-marines se déroulent actuellement sur la Charente à Saintes. Une équipe de scientifiques travaille sur deux embarcations datant du début de notre ère, des pièces uniques.
Regardez ce reportage de Pascal Foucaud, Laurence Couvrand et Marion Reiler.
Intervenants : Morgane Cayre, Archéologue plongeuse; Jonathan Letuppe, chercheur et responsable du pôle de plongée
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Le déménagement du musée lapidaire de Saintes
Reportage de Nathalie Combès, Marc Millet et Xavier Demester
Intervenants : Bertrand Maratier, Directeur des musées de Saintes et Jean-Philippe Machon, Maire de Saintes
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Saintes (Charente Maritime)
Tourisme à Saintes (Charente Maritime) - Commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime et la région Poitou-Charentes .Arrosée par la Charente - Saintes est devenue, grâce à un important ensemble patrimonial gallo-romain, médiéval et classique, une ville touristique fréquentée, affiliée au réseau national des villes et pays d'art et d'histoire depuis 1990. La présence d'un important patrimoine monumental et archéologique explique son intégration à un secteur sauvegardé totalisant presque 65 hectares. La cathédrale Saint-Pierre est l'un des principaux édifices religieux de Saintes .La cathédrale Saint-Pierre est classée monument historique depuis 1862. Le cloître canonial qui lui est attenant est classé monument historique à son tour le 9 juin 1937. La cathédrale actuelle succède à un sanctuaire paléochrétien érigé sous l'épiscopat de l'évêque Palladius au VIe S..
Au XIe S. ce dernier est ravagé par un incendie. À l'aube du XVe S., la cathédrale romane est cependant dans un profond état de délabrement.Au sanctuaire roman succède un édifice de style gothique flamboyant, toujours en chantier lors de la visite du roi Louis XI en 1472. La nouvelle cathédrale s'élève alors sur 3 niveaux, un triforium marquant la limite entre les arcades et les fenêtres hautes. La trace d'un toiture à comble haut est toujours visible de nos jours à l'arrière de la tour. Atteignant presque l'horloge, son faîte atteignait les 39 m de hauteur .Le clocher de la cathédrale, d'aspect massif, domine le paysage urbain de ses 58m.
La basilique Saint-Eutrope est l'un des principaux sanctuaires catholiques de la ville de Saintes. La basilique fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840 .Elle est également inscrite au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France
Arc de Germanicus est un arc de l'Antiquité romaine érigé à Saintes en l'an 18 ou 19 pour l'empereur Tibère, son fils Drusus et son neveu et fils adoptif Germanicus. L'arc de Germanicus fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du 5 juillet 1905. Un musée archéologique voit le jour en 1815 - Collection lapidaire gallo-romaine
lien site :
Présentation du Musée d'archéologie de Saint Bertrand-de-Comminges
Le Musée archéologique départemental se déplace à Toulouse, pour une exposition exceptionnelle dans les locaux du Conseil départemental, du 27 juin au 1er juillet.
Quelques pièces remarquables de l'Antiquité sont présentées à l’occasion de visites commentées gratuites, ouvertes à tous.
L’apport des fouilles françaises d’Amathonte à l’archéologie chypriote.
Antoine Hermary (Université d’Aix-Marseille), 1975-2015 : l’apport des fouilles françaises d’Amathonte à l’archéologie chypriote.
A. Hermary dresse un bilan de quarante ans de fouilles françaises à Amathonte en présentant les chantiers de fouille, les découvertes principales et les études menées par la mission.
Cap Sud-Ouest - Les thermes de Chassenon
En Charente limousine, le village de Chassenon a conservé de remarquables témoignages de l’époque gallo-romaine et de l’antique Cassinomagus qui se composait d’une agglomération, d’un vaste sanctuaire, de trois temples, d’un théâtre, d’un aqueduc et de thermes.
Site gallo-romain : Cassinomagus, la vitrine de l’archéologie
Cassinomagus est un incontournable. Situé à Chassenon, en Charente, à la frontière de la Haute-Vienne, ce site archéologique gallo-romain détient notamment les thermes les plus monumentaux et les mieux conservés de France.
Cassinomagus est le nom antique d’une agglomération gallo-romaine établie entre le Ier et le IVe siècle de notre ère.
C’est grâce à Jean-Henri Moreau, un libraire, passionné d’archéologie, que le site est nettoyé, fouillé, puis protégé de 1958 à 1988. Il découvre ici un complexe monumental doté d’un temple, d’un aqueduc, d’un amphithéâtre et des thermes.
Au début de notre ère, la renommée du site était telle que les gens venait de tout l’empire Romain (qui s’étend de l’Angleterre, à la Turquie et de l’Afrique du Nord à l’Allemagne), notamment parce que Cassinomagus se situait au croisement de deux grandes voies romaines très fréquentées (via agrippa: Lyon-Saintes et voie nord sud Poitiers-périgueux).Ils venaient honorer les dieux, se purifier et parfois se guérir.
• Les thermes
Ce sont surtout ses thermes qui font aujourd’hui parler du site. Car, ils sont dans un état de conservation spectaculaire.
Les thermes sont à cette époque un lieu important de sociabilité, de détente, d’hygiène mais aussi de guérison.
Ceux de Cassinomagus ont été construits à la fin du Ier siècle avec des pierres issues de l’écrasement d’une météorite dans la région. Ils s’étendent sur un hectare et demi et sept mètres de hauteur. Pendant plus de trois siècles, ils sont utilisés comme établissement de cure à l’intérieur du sanctuaire. Leur état de conservation est incroyable. Ils ont été construits sur trois niveaux et cela est encore visible.
• Les trois niveaux :
Le niveau inférieur des thermes est celui des égouts et des salles voûtées destinées à soutenir le bâtiment.
Le rez-de-chaussée est réservé au personnel d’entretien qui assurait notamment le fonctionnement des fours (utilisés pour chauffer les bains).
L’étage est destiné aux curistes et aux baigneurs.
Le circuit emprunté par le public dans les thermes est précis et on le distingue nettement aujourd’hui : le parcours commençait dans une salle destinée à l’exercice physique ou dans des salles de plus en plus chaudes (le tepidarium, le sudatio et le caldarium). Ensuite, les baigneurs se plongeaient dans un bain froid (le frigidarium).
• Un site attractif
Aujourd’hui, le site attire des milliers de visiteurs chaque année.
En plus, des vestiges en plein air, un musée présente les divers objets retrouvés qui témoignent de l’importance du site. Les mystères de Cassinomagus ne sont pas encore tous découverts.
Tous les ans, des chantiers de fouille ont lieu et à chaque fois, des vestiges sont déterrés. L’ampleur de cette ancienne ville est considérable et assure aux archéologues du travail pour de longues années encore.
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Villa Brachaud, Villa Antone : des bâtisses gallo-romaines de rêve
■ La Villa Brachaud
Au nord de Limoges, dans le bois du lac d’Uzurat se cachent les vestiges d’une villa gallo-romaine. Jean-Pierre Lousteau est l’archéologue qui a fouillé le site. De 1974 à 1986, il découvre la richesse de ces vestiges. Cette villa construite au Ier siècle ap J.C se trouvait à proximité de la cité d’Augustoritum, actuellement Limoges.
Il s’agissait d’un domaine agricole, propriété d’un riche magistrat de la ville.
La villa était une grande bâtisse de 150 mètres de long constituée de deux parties distinctes : la maison d’habitation et les thermes.
De cette grande demeure, seuls les thermes ont pu être mis à jour car le reste de la villa se trouve sous un bois classé et n’a donc pas pu être fouillé.
• Les thermes
Les thermes s’étendent sur 250 m². Ils sont typiques des thermes romains composés de salles froides, tièdes, chaudes et d’une piscine circulaire.
Les traces d’un aqueduc souterrain, taillé dans la roche, ont été découvertes à proximité du site. Ce dernier alimentait les thermes en eau, avec un réservoir puis un système de tuyauterie en plomb. La source se trouvait à 30 mètres de la villa.
Au cours du IVé siècle, la villa est abandonnée puis dépouillée de ses riches décors et de ses matériaux précieux avant de tomber en ruine.
■ La Villa Antone
À Pierre-Buffière, tout le monde la connait. Pourtant, ces vestiges sont dissimulés sous les arbres. Sur le plateau des Boissières, entre deux cours d’eau, le Blanzou et la Briance, la villa Antone s’étend.
Un site né il y a 2 000 ans, au cours du premier siècle de l’ère chrétienne. Le pays vit dans la paix sous la dynastie des Antonins, c’est la Pax Romana et elle va durer trois siècles.
Dans cette villa, qui évoluera au fil des siècles, on découvre des pièces de vie, des thermes, des canalisations, un mur long de 24 mètres et épais de plus de 2 mètres qui soutenait la terrasse sur laquelle a été édifiée la villa Antone. Ainsi qu'une construction circulaire avec un bassin au centre et un autre tout autour (lieu qu’on appelle « Le Nymphée » qui assurait le lien avec les dieux). On retrouve aussi beaucoup d’objets, qui témoignent de la richesse de cette période. Ils sont aujourd’hui, visibles à la mairie de Pierre-Buffière.
• La découverte du site et son devenir
C’est l’archéologue Franck Delage qui dans les années 30 entreprend les premières fouilles. Mais, le site est laissé à l’abandon, et est envahi par la végétation.
En 2011, l’association Dupuytren Mémoire Vivante, décide de s’en occuper.
Elle débroussaille, nettoie, terrasse, et convainc peu à peu, les institutions ainsi que les élus de son intérêt archéologique.
Grâce à elle, des campagnes de fouilles ont lieu et des projets de protection, de sécurisation du site devraient voir le jour.
Reportage : Margaux Blanloeil, André Abalo
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Bonus Cap Sud Ouest : Le medoc terre d'archeologie
A St Germain d’Esteuil, au milieu des marais médocains, existe un site étonnant : les vestiges bien visibles d’un site archéologique de Brion sont ceux d’une ville gallo-romaine et de son théâtre construits vers le milieu du 1er siècle. Un trésor archéologique entre deux eaux parfaitement visible au regard du drone.
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Fouilles archéologiques sur un site castral : Boves - P. Racine et R. Jonvel
Dans le cadre des journées nationales de l'Histoire et de la Géographie, organisées par l'APHG, retrouvez la conférence réalisée par Philippe Racinet et Richard Jonvel à propos des fouilles programmées sur le site cadastral de Boves, depuis 1996.
Tous droits réservés APHG/Lycée J. de La Fontaine, Château Thierry/Société des Agrégés.
Saintes (17) - Amphithéâtre gallo romain
Résidence 3/4 : Saintes, un lieu de création
Le Festival de Saintes favorise les nouvelles lectures et visions des œuvres et encourage la liberté d’interprétation. Bref, Saintes est un lieu de création !
Poitiers. Nouvelles fouilles archéologiques
Rue des vieilles boucheries à Poitiers, les archéologues de l’INRAP ont fait de nouvelles découvertes.
la decouverte recente des civilisations anciennes documentaire archeologie 2016
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Exposition de l'été à Troyes : les Sénons au musée des Beaux-Arts et d'archéologie
La seconde exposition phare de l'été 2018 à Troyes vous propose de découvrir les Sénons au Musée des beaux-arts et d'archéologie. 250 objets et reconstitutions retracent l'histoire de ce peuple gaulois durant le second âge du fer, du IVe au Ier siècle avant JC.
Reportage France 3 Champagne-Ardenne de Tiphaine Le Roux, Olivier Mayer et Emmanuelle Lagrange.
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Cap Sud Ouest, au temps des romains...
Du site des Cars dans la montagne corrézienne aux Thermes de Cassinomagus en Charente en passant par Limoges et Périgueux, Cap Sud Ouest vous invite à voyager dans le temps au temps de nos ancêtres gallo romains, une période qui a profondément marqué nos territoires et nos cultures. Car il faut bien l’admettre, nous avons une image quelque peu déformée de la conquête de la Gaulle. Certes, il y eut des combats, des résistances, mais après la défaite de Vercingétorix face aux armées de Jules César, les tribus celtes vont rapidement trouver beaucoup d’intérêt à vivre à la façon des romains… Pour commencer, nous prenons une direction qui peut paraitre, à première vue, surprenante : le plateau de Millevaches, à 850 mètres d’altitude. Un territoire réputé pour ses grands espaces, sa nature exubérante, mais pas vraiment pour ses vestiges gallo-romains. Et pourtant, le site des Cars sur la commune de Saint Merd les Oussines est un témoignage aussi rare qu’essentiel de l’implantation de cette civilisation dans la montagne limousine. Claire Termanini, directrice du musée Vazeilles –Meymac nous aide à lire les vestiges de ce site exceptionnel. Après la campagne la ville…Direction Périgueux, l’une des plus importante cité gallo-romaine de l’Aquitaine, où des archéologues ont mis au jour une importante domus richement décorée. Elisabeth Penisson directrice du musée Vesuna, conçu par Jean Nouvel, nous explique pourquoi étudier cette période présente un intérêt non seulement historique mais aussi sociétal. … Mais comment se rendre compte de l’importance de cette période quand les traces ont totalement disparues. Démonstration à Limoges. Christophe Maniquet, archéologue à l’INRAP, est en charge de réaliser un diagnostic dans le jardin Saint Eloi situé au nord de la ville. On doit construire ici skate park. Christophe doit vérifier que ce projet n’endommage pas de précieux vestiges qui se trouvent sous nos pieds, les arènes gallo romaines de Limoges. Combien d’habitants d’aujourd’hui savent que Limoges n’existerait pas sans les romains. La ville, baptisée Augustoritum, a en effet été créé ex nihilo vers l’an 10 av JC par l’Empereur Auguste. En construisant une capitale pour le peuple celte des Lémovices, il posait les fondations d’une civilisation gallo-romaine… Si Rome a durant plus de 300 ans régné sur un empire qui allait de la Grande Bretagne à l’Afrique, de l’Espagne à la Turquie, elle ne le doit pas qu’à la puissance de son armée. On peut presque parler d’une colonisation « en douceur », économique, politique et culturelle. Pour comprendre pourquoi les élites gauloise ont très vite adopté les modes de vies des « envahisseurs, nous prenons la direction de Cassinomagus, à côté du village de Chassenon, en Charente. Sandra Sicard, archéologue départementale nous fait découvrir les thermes les mieux conservés de France, les plus monumentaux…
#capsudouest
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Les Grands Dauphins de Vienne - Les apports muséographiques
(PARTIE 4) En 1839, un relief monumental en bronze doré représentant deux grands dauphins et daté de l'époque romaine est découvert dans le Rhône. Retour sur un projet de recherche et de restauration dont les résultats ont largement impacté la compréhension de cette œuvre, jusqu'à modifier la manière dont elle est désormais exposée au Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Vienne, dans l'Isère.
Toutes les informations sur
Visite de Saint Cyr sur Mer (Var - France) SONY RX10M4 2019 - 4K
Visite de Saint Cyr sur Mer (Var - France) SONY RX10M4 2019 - 4K
Date de Prise de vue : 30/07/2019
Prises de vues : SONY RX10 Mark IV avec Filtres ND Variable sur Trépied vidéo VCT-VPR1 Alu avec Télécommande.
Musique libre de droits : DayFox - Childhood
IMPORTANT :
DANS CETTE VIDEO, PAS DE VIDEOS DE DRONE, CAR TOUT Y EST INTERDIT HELAS, DONC REMPLACE PAR UNE VUE AERIENNE GOOGLE EARTH STUDIO EN INTRO DE LA VIDEO.
Informations sur le site :
Les collines au sud de la vallée de Saint-Cyr-sur-Mer ont été peuplées dès la préhistoire, comme en témoignent les silex en pierre découverts sur le site du musée de Tauroentum et les espaces occupés au néolithique sur la colline de la Gache. Les fouilles révèlent une intense activité à l'époque romaine. Ces fouilles furent menées dès le XVIIe siècle. Témoin du passé et gardien du patrimoine, le musée de Tauroentum est un des fleurons de Saint-Cyr-sur-Mer. Construit sur les vestiges d'une villa Maritima, il abrite trois mosaïques en noir et blanc du Ier siècle, ainsi qu'un Tombeau à étage maison qui attestent de la richesse de cette antique demeure romaine. Les fouilles ont permis d'exhumer des verreries, lampes funéraires, monnaies et quelques objets rares comme les colonnes torsadées en marbre blanc du Ier et IIe siècle. C'est grâce à l'association des Amis de Tauroentum créée en 1927 que le site sera sauvé. Musée classé, contrôlé depuis 1969, ce site témoigne de la longue histoire de Saint-Cyr-sur-Mer.
Le musée porte le nom de Tauroentum dans la mesure où la villa maritima a longtemps été prise pour le comptoir massaliote de Tauroentum. L'archéologie a permis de montrer que Tauroentum se situe en réalité au Brusc.
La commune de Saint-Cyr-sur-Mer s'est détachée de la commune de La Cadière-d'Azur en 1825.
La commune de Saint-Cyr-sur-Mer possède sur sa place Portalis une des quatre répliques exactes de la statue de la Liberté en France, en modèle réduit, dont la signature de Bartholdi sur le socle atteste de l'authenticité. Inaugurée à Saint-Cyr-sur-Mer en 1913, elle est offerte par Anatole Ducros, un grand propriétaire de Saint-Cyr-sur-Mer. Elle mesure 2,50 m soit la longueur de l'index de celle de New York, entièrement en fonte et recouverte d'une fine couche dorée.
Le 21 juin 2015 a eu lieu l'élévation des reliques de saint Cyr et de sainte Julitte, saints Patrons de la paroisse. Les reliques de ces deux saints martyrs ont repris place dans leurs reliquaires respectifs.
Le climat est typiquement méditerranéen. Saint-Cyr bénéficie d'une durée exceptionnelle d'ensoleillement, avec plus de 2 800 heures de soleil par année, notamment grâce au mistral, qui souffle en moyenne 93 jours par an. Il y a en moyenne 525 mm de précipitations par an. La température moyenne annuelle est de 15 °C. En hiver, elle ne descend pratiquement jamais en dessous de 5 °C et en été elle peut dépasser les 30 °C. Le vent principal est le mistral, dont la vitesse peut aller au-delà des 110 km/h. Il souffle entre 120 et 160 jours par an, avec une vitesse de 90 km/h par rafale en moyenne.
Sources :