ALPHONSE- ETIENNE DINET, PINTOR ORIENTALISTA
Alphonse-Etienne Dinet , también conocido como Nasr'Eddine Dinet tras su conversión al Islam (28 de marzo 1861 - 1929, París) fue un pintor orientalista francés.
Dinet es hijo de un prominente juez francés.1 A partir de 1871, estudió en el Liceo Enrique IV. Después de su graduación en 1881 se matriculó en la École Nationale Supérieure des Beaux-Arts y ingresó en el estudio de Victor Galland. Al año siguiente, estudió con William Bouguereau y Tony Robert-Fleury en la Académie Julian. También exhibió sus obras por primera vez en el Salón de París.
hizo su primer viaje a Bou Saada, en el sur de Argelia en 1884, con un equipo de entomólogos. Al siguiente año hizo un segundo viaje tras recibir una beca del gobierno, esta vez a la ciudad de Laghouat en el Valle de M'Zab.1 En esa época pintó sus dos primeros cuadros sobre Argelia: Les Terrasses de Laghouat y l'Oued M'sila après L'orage.
Logró la medalla de plata de pintura en la Exposición Universal en 1889, y en el mismo año fundó la Société Nationale des Beaux-Arts, junto con Meissonier , Puvis de Chavannes , Rodin, Carolus Duran y Charles Cottet.
En 1903 compró una casa en Bou Saada y pasó los tres trimestres de cada año allí.1 Anunció su conversión al Islam en una carta privada escrita en 1908, y completó su conversión formal en 1913, en la que cambió su nombre por el de Nasr Eddine Dinet.2 En 1929 él y su esposa realizaron el Hajj en la Meca. El respeto que se ganó a los nativos de Argelia se vio reflejado en los más de 5.000 personas que asistieron a su funeral el 12 de enero de 1930 en Bou Saada.2 Allí fue elogiado por el ex gobernador general de Argelia Maurice Viollette.2
Étienne Dinet
Dinet, hijo de un importante juez francés, nació en París en 1861. Estudió en la Escuela Nacional de Bellas Artes y entró en el estudio de Victor Galland. Al año siguiente se matriculó en la Academia Julian donde se preparó con William Bouguerau y Tony Robert-Fleury- Expuso en el Salón de Artistas Franceses en 1882. Hizo su primer viaje a Bou Saada, en el sur de Argelia, con un grupo de entomólogos, en 1884. Al año siguiente hizo un segundo viaje con una beca, esta vez a Laghouat. En este viaje pintó sus primeros cuadros de Argelia. Durante 45 años viajó por el desierto, recorriendolo en todas direcciones con una caravana de nómadas.
Ganó una medalla de oro en la Exposición Universal de 1889 y ese mismo año fundó la Societé Nationale des Beaux-Arts con Meissonier, Puvis de Chavannes, Rodin, Carolus-Duran y Charles Cottet. En 1887 fundó con Léonce Benedite, director del Museo de Luxemburgo, la Sociedad de Pintores Orientalistas Franceses. En 1905 decidió instalarse en Argelia, donde pinta y escribe. Recorre los lugares sagrados y peregrina a la Meca en 1929 despues de haberse convertido al Islam en 1913. Su estilo realista, pero no cayó en la exageración ni en el romanticismo exótico. Quería reflejar la vida real. Aunque fue criticado por sus contemporaneos por su estilo, se puede considerar que dio al orientalismo una nueva perspectiva.
Expuso en el Musee d´orsay y el Louvre de París. Murió en su país, Francia, en 1929
L'Algérie aux yeux de Frederick Arthur Bridgman..
Frederick Arthur Bridgman, un orientaliste qui a peint les scènes de vie d'une époque non lointaine de notre pays.. La femme Algérienne est représentée dans toute sa splendeur.
Orphelin de son père à l'âge de 3 ans, il suit sa mère à Boston, puis à New-York.
Employé comme graveur dans une banque, il montre des talents artistiques et décide de se consacrer totalement à la peinture et suit des cours de dessin à la Brooklyn Art Association et à la National Academy of Design et expose ses premières œuvres en 1865 à la Brooklyn Art Association. Robert Wylie l'incite à venir passer deux étés à Pont-Aven, où il peint des paysages. Il s'installa ensuite à Paris en 1866 et devint l'élève de Jean-Léon Gérôme.
Il séjourne maintes fois en Algérie, ramenant de ses voyages des costumes, des antiquités et un bric-à-brac d'objets divers qu'il utilise ensuite comme modèle pour ses tableaux.
بوسعادة - استرجاع لوحات فنية لنصر الدين دينيه
Bou Saâda - Récupération des Peintures de Nasreddin Dinet
Bou Saâda Musée National Nasreddin Dinet
Journal Télévisé le 25-12-2013
بوسعادة - استرجاع لوحات فنية لنصر الدين دينيه
المتحف العمومي - نصر الدين دينيه
نشرة الأخبار ليوم 25-12-2013
Le bagneuses di Alphonse Étienne Dinet
Few Orientalist artists are remembered as national icons in the countries they depicted. Yet Alphonse-Étienne Dinet (1861-1929), a French-born and Paris-trained painter secured the posthumous reputation of 'master' in Algeria where he lived and worked for almost fifty years.
La maison d' Étienne Dinet à Bou Saada
التـظاهرة الثـقـافـيـة أسبـوع الثـقـافـة و التـراث .. مـديـنـتـي تـقـرأ
الصفحة الرسمية لجمعية مدينتي الثقافية و مجموعة مدينتي
Sublimes oeuvres de Hocine Ziani ..L'Algérie et sa splendeur
Hocine Ziani (né en 1953 à Dellys, en Algérie) est un artiste plasticien algérien.
Palmarès et reconnaissances officielles:
Prix Karl Beulé de l'Académie des Beaux-Arts, Paris 1997.
Médaille d'or, Salon International, Vittel.
Premier Grand Prix, Salon des Seigneurs de l'Art, Arles.
Premier Grand Prix, Grand Gala National, Nantes.
Premier Grand Prix, médaille d'or, Salon International, La Grande Motte.
Plusieurs fois médaillé au Salon de La Société des Artistes Français, Paris.
Auguste MAURE -l'école de Biskra ( ART.)
Auguste MAURE 1855 /1907.
Au sud de l'Algérie, Biskra est la reine des oasis (Reine des Ziban) à la porte du grand désert du Sahara. Elle est une station thermale et d'hivernage qui accueillera nombre d'artistes et d'écrivains célèbres comme André Gide ou Robert Hichens qui contribueront à assurer sa renommée internationale. Entre 1855 et 1860, des photographes tels Félix-Jacques Moulin, Paul Jeuffrain ou Gustave de Beaucorps, séjournèrent à Biskra. Auguste Maure fait partie de ces pionniers de la photographie ayant saisi les tout premiers clichés du sud de l'Algérie rendant ainsi compte de l'exceptionnelle beauté de cette région.
En cette fin de XIXe siècle, Biskra devient un véritable Pont-Aven du désert. Auguste Maure appartient aux artistes formant cette Ecole de Biskra constituée de peintres tels Eugène Fromentin, Paul Jean Baptiste Lazerges, Eugène Girardet, Gustave Guillaumet, Maurice Bompard ou Étienne Dinet ainsi que des photographes Émile Frechon, Alexandre Bougault, Rudolf Lehnert ou Marius Maure. Ces artistes ayant su restituer l'atmosphère intemporelle de ce sud algérien dont les modes de vies semblaient s'être figés depuis l'époque romaine.
Auguste Maure fonde en 1860 le tout premier studio de photographie du sud de l'Algérie (Photographie Saharienne) et devient « le premier artiste-peintre prenant ateliers sur Biskra » : c'est ainsi que l'on qualifiait alors les artistes photographes. En 1870, Auguste acquiert une mais
Le tailleur (d'Eugène Fromentin)
Ce western a été réalisé à partir des toiles d'Eugène Fromentin, peintre orientaliste du XIXième siècle. Ces peintures sont celles exposée au Musée des Beaux-Arts de La Rochelle. Vous pouvez découvrir tous les films de sculpture de Bruce Krebs sur son site
40 Orientalist Paintings by Eugène Delacroix (1798-1863). Robert Schumann
By Hugues Pénot, Art advisor and Art dealer.
Paintings by Masters, contact me: huguespenot@gmail.com
Pour acheter ou vendre des tableaux exceptionnels, contactez-moi : Hugues Pénot, conseiller en collection d’œuvres d'art. huguespenot@gmail.com ou 06 16 93 73 04
40 Orientalist paintings by Eugène Delacroix (1798-1863)
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A propos d'Eugène Delacroix, Charles Baudelaire :
Le romantisme et la couleur me conduisent droit à Eugène Delacroix. J'ignore s'il est fier de sa qualité de romantique ; mais sa place est ici, parce que la majorité du public l'a depuis longtemps, et même dès sa première œuvre, constitué le chef de l'école moderne.
En entrant dans cette partie, mon cœur est plein d'une joie sereine, et je choisis à dessein mes plumes les plus neuves, tant je veux être clair et limpide, et tant je me sens aise d'aborder mon sujet le plus cher et le plus sympathique. Il faut, pour faire bien comprendre les conclusions de ce chapitre, que je remonte un peu haut dans l'histoire de ce temps-ci, et que je remette sous les yeux du public quelques pièces du procès déjà citées par les critiques et les historiens précédents, mais nécessaires pour l'ensemble de la démonstration. Du reste, ce n'est pas sans un vif plaisir que les purs enthousiastes d'Eugène Delacroix reliront un article du Constitutionnel de 1822, tiré du Salon de M Thiers, journaliste.
Aucun tableau ne révèle mieux à mon avis l'avenir d'un grand peintre, que celui de M Delacroix, représentant le Dante et Virgile aux enfers. C'est là surtout qu'on peut remarquer ce jet de talent, cet élan de la supériorité naissante qui ranime les espérances un peu découragées par le mérite trop modéré de tout le reste.
Le Dante et Virgile, conduits par Caron, traversent le fleuve infernal et fendent avec peine la foule qui se presse autour de leur barque pour y pénétrer. Le Dante, supposé vivant, a l'horrible teint des lieux ; Virgile, couronné d'un sombre laurier, a les couleurs de la mort. Les malheureux, condamnés à désirer éternellement la rive opposée, s'attachent à la barque : l'un l'a saisit en vain, et, renversé par un mouvement trop rapide, est replongé dans les eaux ; un autre l'embrasse et repousse avec les pieds ceux qui veulent aborder comme lui ; deux autres serrent avec les dents le bois qui leur échappe. Il y a là l'égoïsme de la détresse, le désespoir de l'enfer. Dans ce sujet, si voisin de l'exagération, on trouve cependant une sévérité de goût, une convenance locale, en quelque sorte, qui relève le dessin, auquel des juges sévères, mais peu avisés ici, pourraient reprocher de manquer de noblesse. Le pinceau est large et ferme, la couleur simple et vigoureuse, quoique un peu crue.
L'auteur a, outre cette imagination poétique qui est commune au peintre comme à l'écrivain, cette imagination de l'art, qu'on pourrait appeler en quelque sorte l'imagination du dessin, et qui est tout autre que la précédente. Il jette ses figures, les groupe et les plie à volonté avec la hardiesse de Michel-Ange et la fécondité de Rubens. Je ne sais quel souvenir des grands artistes me saisit à l'aspect de ce tableau ; je retrouve cette puissance sauvage, ardente, mais naturelle, qui cède sans effort à son propre entraînement.
Je ne crois pas m'y tromper, M. Delacroix a reçu le génie ; qu'il avance avec assurance, qu'il se livre aux immenses travaux, condition indispensable du talent ; et ce qui doit lui donner plus de confiance encore, c'est que l'opinion que j'exprime ici sur son compte est celle de l'un des grands maîtres de l'école.
Charles Baudelaire