Les derniers instants des fusillés de Châteaubriant le 22 octobre 1941
Le 20 octobre 1941, le Feldkcommandant de la place de Nantes est abattu par un groupe de jeunes résistants communistes. Hitler exige aussitôt l'exécution de 50 otages en guise de représailles. Guy Krivopisko, conservateur au Musée National de la Résistance à Champigny-sur-Marne, raconte les derniers instants plein de courage et de dignité de Guy Môquet et des autres « fusillés de Châteaubriant ».
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4 jours avec les jeunes de la MFR de Châteaubriant du 29 mai au 1er juin 2012
Au programme: foot, rugby, blague du Capitaine Surcouf, bateau, marche, flûte, guitare, musée de la resistance bretonne
Témoignages et images sur la Libération de Paris | Archive INA
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23 août 1974
A l'occasion des trente ans de la Libération, cette rétrospective propose de revenir sur la Résistance qui s'organisa sous l'Occupation, en France. Des images d'archives de la Libération et de la Seconde guerre mondiale (dont des photos de Paris sous l'Occupation et de pages de journaux clandestins) alternent avec les témoignages d'acteurs de la Résistance : Germaine TILLION, membre du réseau Musée de l'homme ; André TOLLET, Président du comité parisien de la Résistance ; André BRETON, chef de Région OUEST FTP (montrant les armes qu'utilisaient les résistants) ; Robert HERNIOT, responsable national de la Résistance des cheminots. Images d'archive INA
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#INA #Histoire
Les chefs de guerre de la seconde guerre mondiale - Bibliothèque Médicis (06/05/2011)
L'Histoire pour mieux comprendre le présent, même si elle ne se répète pas !...
L'ouverture des archives révèle le caractère et le comportement des grands acteurs de la 2ème Guerre Mondiale...
Hitler, Churchill, Roosevelt, Staline...furent les chefs de leurs armées. Pourtant en matière de stratégie militaire, ils étaient nuls, ou presque nuls... de vrais amateurs : la guerre n'était pas leur métier !...
Avec :
François KERSAUDY,
Jean-Louis CREMIEUX-BRILHAC,
Michèle COINTET,
Maurice VAISSE.
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France Bleu Loire Océan du 16/10/2018.
Passage le midi de Gilles Bontemps, Président, et Jean-Paul le Maguet, Administrateur, sur les ondes pour l'Association des Amis du Musée de la Résistance de Châteaubriant.
Annonce des inaugurations de la Carrière des Fusillés et de la nouvelle exposition temporaire 2018/2019.
Exposition avec mon association ( le 6 juin 44 et la libération de la France )
Mon association Les héros de la seconde guerre mondiale a organisée une exposition au Chesnay (78) à l’invitation de la mairie.
Ces 5 choses que vous ne savez peut-être pas sur la libération de Paris
Que sait-on vraiment de la libération de Paris ? Retour sur cinq faits majeurs et pourtant méconnus qui ont marqué la libération de la capitale française en août 1944.
Ils étaient Musulmans et chassaient Résistants et Juifs !
La Légion nord-africaine (LNA), ou Brigade nord-africaine (BNA), ou Phalange nord-africaine (en Dordogne), était une unité de collaboration paramilitaire opérant pour le compte de l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle ne doit pas être confondue avec la Phalange africaine.
La Légion nord-africaine est créée au début de l’année 1944 par Henri Lafont, responsable français de la Gestapo, et le nationaliste algérien Mohamed el-Maadi (ancien officier français membre du mouvement d'extrême-droite la Cagoule) sous les ordres du colonel SS Helmut Knochen, no 2 de la police allemande en France (Sipo et SD, incluant la Gestapo).
La légion nord-africaine, aussi appelée « Phalange », constitue une force supplétive au service de l’armée allemande composée de musulmans recrutés parmi la communauté nord-africaine présente en France, en particulier en région parisienne. Elle ne doit pas être confondue avec la Phalange africaine créée par le gouvernement de Vichy pour lutter contre les troupes alliées en Tunisie après leur débarquement en Afrique du Nord en novembre 1942.
En janvier-février 1944, la Brigade nord-africaine comprend 300 membres d'origines nord africaine et organisés en cinq sections dirigés par Henri Lafont qui porte le grade d'Hauptsturmführer (capitaine) dans la SS. Son adjoint est Pierre Bonny, l'ex « premier flic de France », lui aussi membre éminent de la « Gestapo française », avec le grade d'Obersturmführer (lieutenant). Les chefs des 5 sections sont Paul Maillebuau, Charles Cazauba, Alexandre Villaplane, Paul Clavié et Lucien Prévost, tous promus sous-lieutenants SS (Untersturmführer) tout comme Louis Pagnon le chauffeur de Lafont, nommé officier de réserve (ces hommes n'ont rien à voir avec les Waffen SS français, ils sont aux ordres d'une autre branche de la SS, le Sipo-SD, police allemande de la SS, souvent appelée par erreur « Gestapo»).
La troupe comprend également une vingtaine de sous-officiers français dont Abel Danos, Raymond Monange, Louis Haré, Jean Baptiste Chaves, Jean Sartore, Paul Victor, Jean Vinas, Jean Delchiappo, Mathieu Fioraventi, Jean Thilmont, Charles Fels, Eugène Slovenski etc.
Les officiers et sous-officiers portent l'uniforme SS, type SD. Les hommes de troupe portent un équipement ressemblant assez à celui de la Milice, ceinturon et poignard de la Waffen SS en prime. Tous ont reçu une carte verte de l'avenue Foch (SD) de Paris, certifiant leur appartenance à la SS.
La brigade prend part à des combats contre la résistance intérieure française, en Corrèze (trois sections participent aux combats contre le maquis), en Dordogne (une section) et en Franche-Comté (une section).
Dans les faits, la légion nord-africaine, dès son arrivée en Dordogne, et durant les cinq mois de sa présence, s’illustre surtout par ses innombrables exactions et massacres parmi lesquels ceux de Brantôme (26 mars 1944), Sainte-Marie-de-Chignac (27 mars 1944), Saint-Martin-de-Fressengeas, Mussidan (52 fusillés), Saint-Germain-du-Salembre et des Piles à Cornille.
La légion est dissoute en août 1944 quand la troupe se disperse.
Certains des anciens membres suivent Mohamed el-Maadi en Allemagne qui en août 1944, se réfugie avec son épouse en Allemagne où il est accueilli par le Grand Mufti de Jérusalem Amin al-Husseini.
LEON LANDINI : LES COMMUNISTES DANS LA RESISTANCE CONTRE LE NAZISME
Léon Landini, ancien résistant et président de l'amicale des anciens résistants FTP MOI de Carmagnole et Liberté Région Rhône Alpes, répond à quelques questions concernant l'engagement des communistes dans la résistance contre le nazisme
Vidéoguide Fusillés et Mutins du Musée Territoire 14/18
Plus d'informations :
Militaire 44 libération de la france
Les Bas-normands sous l'Occupation. Episode 2 : le ravitaillement
A l'occasion du 70ème anniversaire du Débarquement, France 3 Basse-Normandie vous propose une série de vidéos (avec images d'époque) qui racontent le quotidien des Bas-normands sous l'Occupation allemande lors de la deuxième guerre mondiale. Episode 2 : Le ravitaillement
Commentaire Laurent Marvyle, documentation et archives Marc Michel, montage Vincent Potel. France 3 Basse-Normandie.
Timeline of the name Palestine | Wikipedia audio article
This is an audio version of the Wikipedia Article:
Timeline of the name Palestine
00:03:20 1 Historical references
00:03:30 1.1 Ancient period
00:03:39 1.1.1 Egyptian period
00:04:39 1.1.2 Assyrian period
00:06:26 1.2 Classical antiquity
00:06:35 1.2.1 Persian (Achaemenid) Empire period
00:08:36 1.2.2 Hellenic kingdoms (Ptolemaic/Seleucid/Hasmonean) period
00:09:27 1.2.3 Roman Jerusalem period
00:16:06 1.2.4 Roman Aelia Capitolina period
00:24:55 1.3 Late Antiquity period
00:25:04 1.3.1 Late Roman Empire (Byzantine) period
00:35:59 1.4 Middle Ages
00:36:07 1.4.1 Rashidun, Umayyad and Abbasid Caliphates period
00:42:25 1.4.2 Fatimid Caliphate period
00:44:47 1.4.3 Crusaders period
00:46:15 1.4.4 Ayyubid and Mamluk periods
00:52:21 1.5 Early modern period
00:52:30 1.5.1 Early Ottoman period
01:16:22 1.6 Modern period
01:16:31 1.6.1 Late Ottoman period
01:58:46 1.6.2 Formation of the British Mandate
02:03:59 2 Biblical references
02:08:56 3 Etymological considerations
02:09:36 4 See also
02:09:57 5 Bibliography
02:18:07 6 Notes
Listening is a more natural way of learning, when compared to reading. Written language only began at around 3200 BC, but spoken language has existed long ago.
Learning by listening is a great way to:
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The only true wisdom is in knowing you know nothing.
- Socrates
SUMMARY
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This article presents a list of notable historical references to the name Palestine as a place name in the Middle East throughout the history of the region, including its cognates such as Filastin and Palaestina.
The term Peleset (transliterated from hieroglyphs as P-r-s-t) is found in five inscriptions referring to a neighboring people or land starting from circa 1150 BC during the Twentieth Dynasty of Egypt. The first known mention is at the temple at Medinet Habu which refers to the Peleset among those who fought with Egypt in Ramesses III's reign, and the last known is 300 years later on Padiiset's Statue. The Assyrians called the same region Palashtu/Palastu or Pilistu, beginning with Adad-nirari III in the Nimrud Slab in c. 800 BC through to an Esarhaddon treaty more than a century later. Neither the Egyptian nor the Assyrian sources provided clear regional boundaries for the term.The first appearance of the term Palestine was in 5th century BC Ancient Greece when Herodotus wrote of a district of Syria, called Palaistinê between Phoenicia and Egypt in The Histories. Herodotus was describing the coastal region, but is also considered to have applied the term to the inland region such as the Judean mountains and the Jordan Rift Valley. Later Greek writers such as Aristotle, Polemon and Pausanias also used the word, which was followed by Roman writers such as Ovid, Tibullus, Pomponius Mela, Pliny the Elder, Dio Chrysostom, Statius, Plutarch as well as Roman Judean writers Philo of Alexandria and Josephus. The word was never used in an official context during the Hellenistic period, and is not found on any Hellenistic coin or inscription, first coming into official use in the early second century AD. It has been contended that in the first century authors still associated the term with the southern coastal region.In 135 AD, the Greek Syria Palaestina was used in naming a new Roman province from the merger of Roman Syria and Roman Judaea after the Roman authorities crushed the Bar Kokhba Revolt. Circumstantial evidence links Hadrian to the renaming of the province, which took place around the same time as Jerusalem was refounded as Aelia Capitolina, but the precise date of the change in province name is uncertain. The common view that the name change was intended sever the connection of the Jews to their historical homeland is disputed.During the Byzantine period c. 390, the imperial province of Syria Palaestina was reorganized into: Palaestina Prima, Palaestina Secunda, and Palaestina Salutaris. Following the Muslim conquest, place names that were in use by the Byzantine administration generally continued to be used in Arabic. The use of the name Palestine became common in Early Modern English, was used in English and Arabic during the Mutasarrifate of Jerusalem. In the 20th century the name was used by the British to refer to Mandatory Palestine, a mandate from the former O ...
Deuxième ligne du tram : les Jacobins en chantier
La deuxième ligne du tram est attendue pour 2014. Dans la rue des brasseries, opération dérivation de canalisation d'eau potable et d'assainissement jusqu'à mi-mai. Ensuite place à la construction de la trémie pour accéder au parking souterrain.
Jusqu'à la rentrée de septembre au moins la place des Jacobins va vivre au rythme des pelleteuses.
Le drame des 99 pendus de Tulle le 9 juin 1944
9 juin 2004
[Source : documentation France 3] Tulle s'apprête à commémorer aujourd'hui le 60ème anniversaire de la pendaison aux lampadaires et aux balcons de la ville de 99 hommes par les troupes SS de la division blindée Das Reich qui remontait vers la Normandie. Basée dans le Sud-Ouest depuis février 1944 et son retour du front russe, la division (18.000 hommes appuyés de blindés légers et chars) a pour ordre de lancer une répression violente contre les maquis de la région et la population civile. Le 8 juin au soir, un détachement entre dans Tulle pour secourir une garnison allemande attaquée depuis la veille par plusieurs centaines de Francs-Tireurs Partisans (FTP, proche du parti communiste). L'arrivée inattendue des renforts SS impose le repli aux maquisards. Prétextant de la mort d'une quarantaine de soldats allemands et invoquant un simple contrôle de papiers, les SS raflent tôt dans la matinée du 9 juin entre 3.000 et 4.000 habitants, hommes et adolescents. A partir de 09h00, un long tri commence. Un premier groupe - fonctionnaires, commerçants, médecins, employés des postes - est libéré. Le tri s'achève vers 16h00 et un haut-parleur annonce à la population les pendaisons. 99 civils innocents seront pendus aux balcons et aux lampadaires de la ville. Et le 10 juin, la division Das Reich commettra le massacre d'Oradour-sur-Glane où 642 hommes, femmes et enfants seront tués. Images d'archive INA
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D-Day. 1944. Libération d'Angers et Nantes
Moins d'un mois après leur percée à Avranches (Manche), les Américains de la IIIe Armée Patton sont sur la Loire. Avant de fuir Nantes, vers la forteresse voisine de Saint-Nazaire, les Allemands font sauter leurs dépôts de munitions. 5 000 d'entre eux sont capturés lors de la libération de la ville, le 12 août. L'avant-veille, le 11, Angers a été totalement libérée.
Michel Tagrine, tué par un SS le jour de la Libération de Paris
Michel Tagrine, 22 ans, a été tué par un SS le 25 août 1944, rue du faubourg du Temple, à Paris, alors qu'il venait en aide à un blessé et que les combats étaient terminés. La ville de Paris a installé une plaque commémorative en hommage au jeune homme, résistant depuis ses 18 ans, considéré comme l'un des derniers morts de la Libération de la capitale. Philippe Castetbon, auteur de Ici est tombé: paroles sur la Libération de Paris, retrace les derniers instants de Michel Tagrine, devant sa plaque.
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Les actions de la résistance
Suite et fin de la vidéo sur l'organisation politque et militaire de la Résistance française, et sur les actions de celle-ci contre l'occupant nazi.
Cérémonie en hommage des fusillés de la prison le 6 Juin 1944
72e D-Day
Les écrivains sur internet intéressent les maisons d'édition
Les maisons d'édition font de plus en plus leur marché sur internet où elles découvrent des écrivains talentueux. C'est le cas de la tarnaise Florence Clerfeuille qui a écrit une trilogie à succès sur internet et qui, aujourd'hui, est éditée.
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