St Blaise , site archéologique gallo-gréco -romain .
une visite en toute quiétude du site archéologique de Saint Blaise à Saint Mitre les remparts . Bouches du Rhône . +
on peut voire aussi la nature différemment :
Oppidum St Blaise 30-12-18
Promenade de 7km en famille près du bois de l'Opidum de St Blaise. Ce dernier se trouve à St Mitre les Remparts tout proche de Martigues.
GPX:
Oppidum de Saint-Blaise, (France/Provence/Bouches-du-Rhône)
Miramas-le-Vieux, Istres-le-Port en Oppidum de Saint Blaise, (France/Provence/Bouches-du-Rhône)
Saint-Blaise, une balade dans l'antiquité
Entre Martigues et Fos, adossé à Saint-Mitre-Les-Remparts, un site antique résiste à l'industrialisation : Saint-Blaise. Venez découvrir ce lieu aux vestiges intemporels, situé entre 4 étangs, bien à l'abri des regards.
la chapelle St-Blaise @ site archéologique de St-Blaise
vues intérieures de la chapelle Saint-Blaise (XII - XVIIème), avec notamment la tombe de Henri Rolland, véritable découvreur moderne du site archéologique, à Saint-Mitre-les-Remparts
une habitation gauloise @ site archéologique de St-Blaise
les vestiges d'une habitation gauloise (VIème avant JC), dans la ville haute, site archéologique de Saint-Blaise, à Saint-Mitre-les-Remparts
le chemin nord-est @ site archéologique de St-Blaise
mise en valeur du chemin nord-est, qui descendait de la ville basse vers l'étang de Citis, site archéologique de Saint-Blaise, Saint-Mitre-les-Remparts
la carrière ouest @ site archéologique de St-Blaise
la carrière de pierre située à l'ouest de la ville basse, site archéologique de Saint-Blaise, à Saint-Mitre-les-Remparts
Saint Mitre les Remparts par Berny & Zina
Saint-Mitre-les-Remparts est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Saint-Mitréens.
La fondation de Saint-Mitre ou du moins celle du Castrum Sancti Mitrii (château fort de Saint-Mitre) remonte à l’époque où la ville voisine d’Ugium (aujourd’hui Saint-Blaise) fut saccagée par les troupes sarrazines, sans doute vers le ixe siècle. C’était alors sans doute une simple tour en bois : il n’en subsiste aucun vestige. Il faut attendre le xiie siècle pour que soit mentionné le Castrum de Saint-Mitre et le xiiie siècle pour que soit construit un château plus solide en pierres, qui est alors la propriété de l’archevêque d’Arles.
Vers 1395, la région est pillée par des brigands menés par le seigneur des Baux, Raymond de Turenne. Le bourg de Castelveyre, construit sur les ruines d’Ugium, est détruit : les habitants se réfugient au château de Saint-Mitre. La place forte se développe alors, l’archevêque autorise la population à agrandir le château et à étendre les fortifications. Au château du xiiie siècle sont ajoutés de nouveaux remparts de 12 m de haut et 1,5 m d’épaisseur, construits en 1407. Malgré les modifications subies au fil des ans, ils existent encore dans leur quasi-totalité aujourd’hui, seuls vestiges de ce xve siècle.
Les richesses de la ville provenaient de la culture du blé, de la vigne et principalement de l’olivier et de la commercialisation de l’huile d’olive, le sel et le vermillon (ou kermès) assurant la prospérité des familles saint mitrenques. Cette prospérité culmina au xviie siècle comme l’attestent les détails architecturaux qui subsistent sur les maisons à l’intérieur des remparts. Le bourg éclate et, bien que l’on conserve les fortifications, on assiste à l’apparition de nouveaux quartiers qui constitueront les faubourgs. Cette évolution extra muros sera due à la prospérité du village ainsi qu’à l’augmentation de sa population (1 080 personnes en 1621, 1 325 en 1787). Mais le xviiie siècle annonça le début de la phase de déclin de Saint-Mitre : destruction par le gel de la quasi-totalité des oliviers pendant le terrible hiver de 1709 et épidémies de peste (1620, 1720).
Le xixe siècle voit le déclin économique du village. La population quitte peu à peu Saint-Mitre et rejoint les villes voisines soumises à l’essor lié au début de l’industrialisation. Les habitants ne sont plus que 630 dans les années 1950. Il faudra attendre les années 1960-70 pour assister au redéploiement du village favorisé par les implantations industrielles de Fos-sur-Mer et le développement de la pétrochimie.
Un nouvel essor pour Saint-Mitre qui voit, depuis 1965, sa population s’accroître régulièrement et harmonieusement pour atteindre 5 467 habitants en 2008.
le rempart grec de la ville basse @ site archéologique de St-Blaise
le rempart grec (IIème avant JC) de la ville basse, site archéologique de Saint-Blaise, à Saint-Mitre-les-Remparts
la porte principale de la ville basse @ site archéologique de St-Blaise
la porte principale de l'oppidum gaulois (VIème au IIème avant JC), site archéologique de Saint-Blaise, à Saint-Mitre-les-Remparts
le puits @ site archéologique de St-Blaise
le puits citerne de la ville haute (IIème avant JC), site archéologique de Saint-Blaise, à Saint-Mitre-les-Remparts
Saint mitre les remparts 1
le rempart grec de la ville haute @ site archéologique de St-Blaise
le rempart grec de la ville haute (IIème avant JC), ses fondations, et le renfort en grand appareil, site archéologique de Saint-Blaise, à Saint-Mitre-les-Remparts
le rempart grec de la ville haute @ site archéologique de St-Blaise
le rempart grec de la ville haute (IIème avant JC), surmonté par le rempart paléochrétien, site archéologique de Saint-Blaise, à Saint-Mitre-les-Remparts
la voie antique @ site archéologique de St-Blaise
la voie antique vers Martigues, au départ de la ville basse, site archéologique de Saint-Blaise, à Saint-Mitre-les-Remparts
©HDMartigues VeniseProvençale PhotoPhotoPeintureANCIAUXMartine CREATRICE PHOTO-PEINTURESMondeTvWeb©
14/9/2019 A VOIR OU A REVOIR
14-6-2019 un film réunissant 2 très grands acteurs Bourvil et Fernandel la cuisine au beurre tourné à MARTIGUES
1-12-2018 Voir ou revoir
CETTE VIDEO REVIENS CAR J'AI EUS L'ACCORD D'UTILISER LA MUSIQUE ORIGINALE DE ALIBERT
PRESENTATION©HD MARTIGUES VENISE PROVENCALE
Photo&Photo-Peinture ANCIAUX Martine Monde TV Web©
ALORS QUE LA FRANCE EST EN COLERE, POUR DE JUSTES RAISONS,
CONTRE UN PRESIDENT, CONTRE UN GOUVERNEMENT,
QUI NE COMPRENDS RIEN,
OU QUI NE VEUT PAS COMPRENDRE,
CAR CELA NE LES INTERRESSENT PAS,
ALORS QUE L’ON VOIT BIEN QU’EN FRANCE,
DANS CES TEMPS DIFFICILES
NOUS SOMMES TOUS DEVENUS DES GILETS JAUNES PACIFISTES.
100% MENTALEMENT ET AUSSI TOUT AUTANT,
SUIVANT NOS POSSIBLITES PHYSIQUEMENT.
THOMAS André le 21-11-2018
PRESENTATION©HDMARTIGUES VENISE PROVENCALE Photo-photo-peinture
ANCIAUX Martine Créatrice de la photo-peinture
Pensées Thomas André Monde TV Web©
Martigues Département des Bouches du Rhône - Population : 49.455 h.
Entre Marseille et Istres.
Martigues, ville au bord de la mer
Martigues est une ville fleurie, posée sur l'eau au bord de l'étang de Berre,
Et reliée à la mer par le chenal de Caronte.
La ville a connu un essor industriel important, et elle a su conjuguer,
Son développement économique tout en conservant ses atouts touristiques.
Martigues, le chenal de Caronte
Le charme de ses canaux, de ses îles et de ses ponts,
Ont donné à Martigues le surnom de Venise provençale...
Alors prenez le temps de flâner le long de ses quais,
Spécialement dans le quartier des pêcheurs autour du canal Saint-Sébastien.
Martigues, marina
On appelle ce quartier le miroir aux oiseaux, les maisons colorées blotties,
Au bord de l'eau sont les anciennes maisons des pêcheurs du 17° siècle.
Elles ont inspiré de nombreux peintres comme Duffy ou Ziem,
Le quartier a été rendu célèbre également par le tournage du film,
La cuisine au beurre avec Bourvil et Fernandel.
Martigues, statues et maisons au bord du canal
Vous apprécierez la belle plage de La Couronne et serez séduit,
Par le petit port de Carro, port de pêche et de plaisance charmant, à l'abri du Mistral.
A voir, à visiter :L'église de la Madeleine (17°siècle).Eglise Saint-Genest (17°siècle).
Chapelle de l'Annonciade des pénitents blancs
La maison du chapeau de gendarme (à cause de la forme de sa toiture).
Le village gaulois (vitrine archéologique du Siècle avant JC)
Le musée Ziem (archéologie, art contemporain, peinture impressionniste).
Histoire de Martigues
Préhistoire
Martigues abrite des communautés humaines depuis l'époque néolithique comme l'attestent
des fouilles menées sur les sites de La Gacharelle, au village de Saint-Pierre (de - 3400 à
-2600), vers le village de Ponteau ou encore vers La Couronne (-2800 à -2500). De plus, de
nombreux autres sites ont fait simplement l'objet d'un repérage et n'ont pas encore été
explorés. Ces sites ont révélé quelques outillages en silex comme des meules ou des haches.
Vers 1800 av. J.-C., ces sites prennent davantage d'ampleur avec l'édification de murailles en
particulier au Collet Redon. Des ensembles funéraires sont aussi relevés sur la période. Par
exemple, les fouilles ont permis de retrouver un tertre vers le village de Ponteau.
Trois cents ans plus tard, vers 1500 av. J.-C., les sites d'Albion et des Salins commencent à
être occupés par des habitats lacustres où les fouilles ont révélé un important mobilier et des
traces de pilotis. Ces villages semblent avoir été occupés du XIVe jusqu’au VIIIe
siècle av. J.-C. de manière continue.
Périodes celtique, grecque et romaine
Le VIIe
siècle av. J.-C. voit une transformation radicale des habitats martégaux avec
l'apparition de véritables centres urbains. La région martégale est désormais habitée par un
peuple d'origine celto-ligure nommé Avatiques. L’oppidum grec de Saint-Blaise, fondé vers
-650 sur le territoire actuel de Saint-Mitre-les-Remparts, tend ainsi à devenir la principale
agglomération de l’ouest de l’étang de Berre. Elle concurrencera même Marseille pendant un temps.