Le palais Ahmed Bey, Constantine
Le palais Ahmed Bey (appelé aussi palais de la Division) occupe tout un côté de la place Foch (ancienne place du Palais, aujourd'hui place Si Haous). Ce vaste édifice (5609 m2) fut construit sur l'ordre du dernier Bey à l'emplacement de vieilles maisons accolées les une aux autres. Il fut terminé peu de temps avant la prise de Constantine par les Français.
Le palais d'Ahmed Bey - Constantine 2014
Algérie - Constantine 2015 | Le Bey Hadj Ahmed de l'antique Cirta
Ahmed Bey (arabe : الحاج أحمد باي) ou Hadj Ahmed Bey Ben Mohammed Chérif, né en 1786 (1201 de l'hégire) et mort en 1851, est le dernier bey de Constantine et, à la suite de l'expédition française de 1830 et à la reddition d'Hussein Dey, le dernier représentant du Califat ottoman dans la Régence d'Alger.
Petit-fils d'Ahmed Bey El Colly, gouverneur du Beylik de l'est algérien entre 1768 et 17711, il est doté par le Califat ottoman du titre de pacha d'août 1826 au 15 décembre 18372,3 ; il poursuit la lutte contre l'occupation française jusqu'en juin 1848 dans l'Est du pays, en même temps que l'émir Abd el-Kader dans l'Ouest et le Centre.
Constantine : le Palais d’Ahmed Bey abrite le mois du Patrimoine
تابعوا قناة الشروق الإخبارية على الترددات التالية :
NileSat: SD 11033 H SR:5000 | HD 10992 SR:5000
أو عبر الوسائط التالية :
الموقع الإلكتروني :
الفيسبوك :
تويتر :
اليوتيوب :
Le palais du Bey (Constantine)
ALGER (APS)- Symbole de la présence ottomane en Algérie, le palais du Bey avait été construit sous l'ère d'El Hadj Ahmed Bey (1784-1848), dernier de la lignée des beys ottomans qui ont gouverné Constantine (est). Réalisé entre 1825 et 1835, cet édifice transformé en musée reçoit des visiteurs notamment des spécialistes en civilisations, universitaires, étudiants et touristes.
Palais de Ahmed Bey, Constantine
Video by Amine Kasmi for the Aga Khan Documentation Center, MIT Libraries (AKDC@MIT)
For more information about this site see:
Palais de Ahmed Bey, Constantine
Video by Amine Kasmi for the Aga Khan Documentation Center, MIT Libraries (AKDC@MIT)
For more information about this site see:
PALAIS AHMED BEY CONSTANTINE قصر أحمد باي قسنطينة
تصوير داخلي لحديقة قصر الباي بولاية قسنطينة ، الزيارة كانت مبرمجة رفقة السيدة سكينة كتشك علي مشكورة على ذلك .. اتمنى لكم جولة ممتعة
Palais de Ahmed Bey, Constantine
Video by Amine Kasmi for the Aga Khan Documentation Center, MIT Libraries (AKDC@MIT)
For more information about this site see:
Palais de Ahmed Bey, Constantine
Video by Amine Kasmi for the Aga Khan Documentation Center, MIT Libraries (AKDC@MIT)
For more information about this site see:
Le palais Ahmed Bey CONSTANTINE 2018
Palais Ahmed Bey Constantine// by mirouviç cnt - قصر الحاج أحمد باي قسنطينة
فيديو ذات صلة :
MIROUVIç CNT : Retrouvez moi aussi sur :
Page facebook :
abonnez-vous ici :
#Palais_Ahmed_Bey
#CONSTANTINE
Algérie | Le Palais Ksar El Agha, édifié sous le règne de Ahmed Bey (Ferdjioua)
Mila - Ksar El Agha est un palais de l’époque ottomane à Ferdjioua, à quarante kilomètres à l’ouest de Mila. Avec le mur byzantin du Vieux-Milev, Aïn Labled et la Prison rouge, le bâtiment constitue l’un des monuments phares dans la mémoire collective de la région compte tenu de l’importance des événements historiques qui s’y sont déroulés, depuis son édification en 1834, sous le règne de Ahmed Bey.
Les riverains, conscients de sa valeur et de sa portée historique, lui vouent un véritable culte, ce qui a grandement contribué à sa préservation.
En effet, 181 ans après sa construction, le bâtiment se trouve encore dans un état de conservation extraordinaire, grâce, justement, au civisme des habitants de la ville et le respect presque religieux qu’ils vouent à leur patrimoine.
Construit à l’époque du gouverneur Ahmed Bouaâkaz, que El Hadj Ahmed Bey de Constantine désigna à la tête de Ferdjioua en 1834, Ksar El Agha fut édifié selon les techniques et les styles architecturaux islamiques développés en Andalousie.
Vu de l’extérieur, le bâtiment, qui s’élève au fond d’une allée de palmiers, ressemble à s’y méprendre aux somptueux palais de Grenade et de Séville de l’époque Omeyyade.
Composé de deux niveaux (Rez-de-chaussée et premier étage), le bâtiment compte une multitude de salles embellies d’arcades à l’intérieur et à l’extérieur, des balcons à toitures et des fenêtres donnant sur tous les côtés de la ville.
Le palais comprend également un immense patio de 800 mètres carrés et un vaste et somptueux jardin d’une étendue de 2.000 mètres carrés, sans parler des innombrables motifs décoratifs, inspirés des arts islamiques, qui agrémentent avantageusement chacun de ses murs.
Transformé au début des années 1840, avec l’arrivée des Français dans la région, en hôtel de ville, Ksar El Agha fit les frais du comportement impertinent de l’occupant.
Classé actuellement patrimoine national, le magnifique palais ottoman a bénéficié, les années passées, d’une enveloppe financière de 14 milliards de centimes pour la réalisation de l’étude de sa restauration.
Placé désormais sous l’autorité du ministère de la culture, le bâtiment sera ouvert aux visiteurs et aux chercheurs dès l’achèvement des travaux de restauration.
Kamel Bouabdellah
Palais de Ahmed Bey, Constantine
Video by Amine Kasmi for the Aga Khan Documentation Center, MIT Libraries (AKDC@MIT)
For more information about this site see:
Palais de Ahmed Bey, Constantine
Video by Amine Kasmi for the Aga Khan Documentation Center, MIT Libraries (AKDC@MIT)
For more information about this site see:
Palais de Ahmed Bey, Constantine
Video by Amine Kasmi for the Aga Khan Documentation Center, MIT Libraries (AKDC@MIT)
For more information about this site see:
Algérie - Le Palais du Dey sous la Régence d'Alger
En 1817, le dey Ali Khodja (1817-1818) décida d'abandonner le palais de la Jénina pour des raisons de sécurité. Ce bref rappel suffit à rappeler l'existence de trois lieux inscrits dans le tissu urbain de la capitale : le palais de la Jénina, la Casbah, le palais du gouvernement où le pouvoir politique tantôt turc, tantôt français, tantôt algérien s'est exercé successivement. Ce rapprochement entre trois présences politiques ( dont seule la dernière a le mérite de vouloir incarner l'état national) peut prêter à confusion et laisser croire au profane l' absence de liens entre elles.Si les petits écoliers algériens apprennent dans le livre d'histoire de la quatrième année, l'histoire du coup d'éventail donné le 29 avril 1827 à Alger, par le Dey Hussein au consul Deval, ils ignorent le lieu où la scène s' est produite. Pourtant, le croquis de Coppin3 montre bien la salle d'audience du palais de la Casbah où s'est déroulée la rencontre entre le Dey Hussein et le consul Duval. Ce rappel peut relever du détail conventionnel ou formel si l'absence de référence au lieu et à sa configuration n'était liée à une question de re présentation politique .
Palais Ahmed Bey, Constantine
Video by Amine Kasmi for the Aga Khan Documentation Center, MIT Libraries (AKDC@MIT)
For more information about this site see:
Visite du Palais Ahmed Bey de Constantine
Histoire
Notre Bey Git dans l'oubli Hadj Ahmed Bey de Constantine, l'ennemi irréductible de la France.
6- Mon livre : « La Bataille de Constantine 1836-1837 ». Résumé de la première bataille en 1936 : « ... L'armée française, composée de 8.800 hommes, commandée par le Maréchal Clauzel en personne, Gouverneur Général de l'Algérie, secondé par l'un des fils du Roi de France, le Duc de Nemours, quitta Bône le 8 novembre 1836, pour se présenter devant Constantine le 21 dans l'après-midi. Elle espérait que la population se rendrait sans aucune résistance. L'armée constantinoise, composée de deux corps distincts, l'un assurant la défense en ville (2.400 hommes dirigés par Ali Benaïssa et Mohamed Belebdjaoui), l'autre battant la campagne sous la barrière de Hadj Ahmed Bey (5.000 cavaliers et 1.500 fantassins), laissa venir à elle l'ennemi, pour l'enfermer entre l'attaque et la défense. La stratégie constantinoise s'avéra payante, et l'armée française, contrairement à ses espérances, dût livrer bataille et essuyer une lourde défaite qui eut un profond retentissement tant en France, qu'au niveau international... ».
7- Mon livre : « La Bataille de Constantine 1836-1837 ». Résumé de la deuxième bataille en 1937 : « ...Changeant de stratégie et de politique, le gouvernement français ne pouvant combattre à la fois l'Emir Abdelkader à l'Ouest, et Ahmed Bey à l'Est, signa avec le premier le Traité de la Tafna (30 mai 1837). L'une des clauses du Traité de Tafna stipulait : « Art.7. L'émir achètera en France la poudre, le soufre et les armes dont il aura besoin ». En vertu de cette clause, l'Emir Abdelkader achètera plus tard des armes au gouvernement français. A la question posée au sujet de l'utilisation de ces armes alors que la paix régnait entre lui et la France, l'Emir Abdelkader répondit : « C'est pour s'en servir contre le Bey Hadj Ahmed qui menace mes frontières Est! »...Bien entendu, le gouvernement français fera tout pour entretenir l'animosité entre les deux hommes qui le combattaient en rangs dispersés. Il fera même plus en donnant instruction au gouverneur général de l'Algérie de tout entreprendre pour affaiblir les deux chefs de guerre, en suscitant dans chaque camp des rivalités à leur autorité. (Archives de l'Armée de terre, Château de Vincennes, Paris)......Fort de son premier succès, Hadj Ahmed Bey adopta la même stratégie pour affronter l'ennemi dans sa nouvelle tentative. Par contre, le général Damrémont, nouveau gouverneur général de l'Algérie, tirant les leçons de la précédente bataille, mit au point un nouveau plan pour assiéger Constantine. Cette nouvelle stratégie, et les erreurs et contradictions du commandement constantinois permirent aux troupes françaises d'entrer en ville le 13 octobre 1837. La bataille classique qui avait opposé jusque-là deux armées prit fin, et une nouvelle page de l'histoire de l'Algérie s'ouvrait avec la résistance populaire : hommes, femmes et enfants prirent le relais pour défendre leur indépendance, combattant à mains nues, et choisissant de mourir dans les précipices plutôt que de se rendre... ».Abdelkrim Badjadja
Le palais du Bey-Constantine ***قصر الباي قسنطينة
Le palais du Bey-Constantine ***قصر الباي قسنطينة