Visite de Rocamadour le 1er JUIN 2014 en BMW R 1200RT
Visite de la cité et des remparts du château de Rocamadour.
Cité de Carcassonne - CHATEAU REMPARTS - Carcassone, France
Rocamadour - Une Cité Sanctuaire
LA CLEF DE VOÛTE. Agrippée à une puissante falaise qui domine de 150 mètres la vallée de l'Alzou, la cité médiévale de Rocamadour est édifiée dans l’un des plus majestueux sites naturels de France. L'architecture improbable du site puise ses racines au Moyen Âge, période où la cité a été bâtie sur trois niveaux. Une construction audacieuse qui défie toutes les lois d'urbanisme (la foi faisant loi à l'époque). Dès le XIIe siècle, les pèlerins venaient de l’Europe entière pour prier devant la statue de la Vierge noire. L'histoire attribue à la Vierge une succession de miracles mais l'architecture des lieux suscite à elle seule une démarche spirituelle.
Rocamadour est traversée d’une rue très animée, bordée de maisons médiévales et de portes fortifiées. Un escalier monumental de 216 marches mène à la cité religieuse dominée par le palais des Évêques de Tulle. Reconstruit presque entièrement entre 1868 et 1872, il présente un aspect militaire avec sa tour dont la poivrière culmine à 39 mètres de hauteur. Un nouvel escalier de 75 marches donne accès au parvis des sanctuaires où se côtoient la basilique Saint-Sauveur, la crypte Saint-Amadour, les chapelles Sainte-Anne, Saint-Blaise, Saint-Jean-Baptiste, Notre-Dame, Saint-Louis et Saint-Michel. L'Enceinte Sacrée est construite en plusieurs étapes à partir du XIe siècle, la plupart de ses édifices datent du XIIe et du XIIIe siècle.
Sous l'avancée de l'encorbellement de la falaise, au sommet de la chapelle Saint-Michel, on peut admirer deux belles fresques du XIIe siècle illustrant l'Annonciation et la Visitation. En dessous une fresque du XIVe siècle représente le géant saint Christophe, protecteur des voyageurs et des pèlerins. Proche du seuil de la chapelle se trouve, creusé dans le rocher, le tombeau présumé de saint Amadour. Plus haut, enfoncée dans le surplomb du rocher, on peut voir Durandal, la fameuse épée de Roland, lancée par celui-ci à Ronceaux. L'épée vint se planter dans la falaise, échappant ainsi aux Sarrasins.
Détruite par la chute d'un rocher, la chapelle Notre-Dame a été reconstruite au XVe siècle dans le style gothique flamboyant. Elle s'ouvre sous un tympan sculpté sur une façade agrémentée de fresques. La nef et le chœur, voûtés d'ogives, sont surmontés de tribunes de pierre. Frêle mais dégageant une force spirituelle étonnante, la statue de la Vierge noire trône sur l'autel. Cette statue reliquaire du XIIe siècle, sculptée dans un bois de noyer, présente la Vierge Marie assise sur un siège portant sur son genou gauche l'enfant Jésus. Sa couronne sculptée dans le bois a été mutilée pour supporter un diadème en or. Suspendue au plafond, une vieille cloche miraculeuse est renommée pour sonner d'elle-même à chaque fois qu'un marin est sauvé en mer après avoir imploré la Vierge Marie.
La basilique Saint-Sauveur, qui jouxte la chapelle Notre-Dame, fut construite, entre le XIe et le XIIIe siècle sur la crypte de saint Amadour. Elle est divisée en deux nefs par deux puissantes colonnes. La voûte repose sur des arcs diagonaux qui s'appuient contre la paroi de la falaise. Au Moyen Âge, l'une des deux nefs servait d'abri pour les pèlerins, l'autre était réservée aux moines. L'église abrite une jolie réplique de la Vierge noire placée dans une barque et un superbe Christ en bois polychrome du XVIe siècle.
Après la Révolution, le sanctuaire était dans un état de ruine avancée. Des restaurations sont entreprises au XIXe siècle. Les voûtes de la basilique sont consolidées et la toiture refaite. Des rampes autour de la chapelle Notre-Dame et de la basilique sont construites et le grand escalier est recalé en 1890. La chapelle Sainte-Anne est entièrement reconstruite sur le chemin de ronde, et la lanterne des morts lui est restituée. En 1887, un chemin de croix est tracé dans l'ancienne carrière. Le chemin en lacet est parsemé avant chaque tournant d'une scène de la Passion du Christ. La dernière station est un sanctuaire creusé dans la roche. Il conduit au sommet de la falaise et à la croix de Jérusalem.
Bâti au XIVe siècle sur le promontoire supérieur de la falaise, le château de Rocamadour faisait partie intégrante du système défensif du bourg et des sanctuaires. Les fortifications empêchaient d'accéder à la cité par le haut de la falaise. Au XIXe siècle, le château est reconstruit et agrandit dans le plus pur style néo-gothique. Les nouveaux bâtiments sont adossés aux restants de l'ancien fort. Sur le plateau, le rempart est rehaussé avec ses deux tours et sa courtine, le tout couronné d'un svelte beffroi. Le chemin de ronde du château offre un splendide panorama sur toute la vallée et une vue extraordinaire sur la cité en contrebas du plateau.
« Il existe des lieux que Dieu choisit afin qu’en eux les hommes fassent l’expérience de Sa présence et de Sa grâce. »
ROCAMADOUR PADIRAC - Dordogne Périgord
Nous rejoindrons Rocamadour pour une visite de cette cité médiévale puis nous continuerons notre route vers le gouffre de Padirac...
Au cœur du Haut-Quercy, comme accrochée à une puissante falaise dominant de 150 mètres la vallée encaissée de l'Alzou, cette cité mariale est un lieu de pèlerinage réputé depuis le XIIe siècle, fréquenté depuis le Moyen Âge par de nombreux « roumieux », anonymes ou célèbres (Henri II d'Angleterre, Simon de Montfort, Blanche de Castille et Louis IX de France, saint Dominique et saint Bernard, entre autres figures illustres), qui viennent y vénérer la Vierge noire et le tombeau de saint Amadour.
Rocamadour, « citadelle de la Foi », est également un site touristique de premier plan, l'un des plus visités de France avec 1,5 million de visiteurs par an, après Le Mont-Saint-Michel, la cité de Carcassonne, la Tour Eiffel et le château de Versailles.
La cité médiévale, aux ruelles tortueuses, est gardée par une série de portes fortifiées (porte Salmon, Cabilière, de l'Hôpital, du Figuier). Un escalier monumental, que les pèlerins gravissaient (et gravissent parfois encore) à genoux conduit à l'esplanade des sanctuaires, où se côtoient la basilique Saint-Sauveur, la crypte Saint-Amadour (classées au patrimoine mondial de l'humanité5), les chapelles Sainte-Anne, Saint-Blaise, Saint-Jean-Baptiste, Notre-Dame – où se trouve la Vierge noire – Saint-Louis et saint-Michel. L'ensemble est dominé par le palais des Évêques de Tulle. Un chemin de croix conduit au château et à la croix de Jérusalem, où a été aménagé un belvédère.
Le Gouffre de Padirac est l'entrée monumentale d'une cavité naturelle, situé dans le Lot en France, d'une dimension de 35 mètres de diamètre environ. Au fond de ce gouffre, à 103 mètres de profondeur, coule une rivière souterraine qui parcourt une partie d'un grand réseau de plus de 40 kilomètres de développement.
Une légende raconte que Saint Pierre (ou Saint Martin) cheminait sur sa mule, en quête d'âmes à sauver, sur la voie romaine allant d'Autoire à Montvalent. Soudain Satan apparait et lui propose une épreuve avec comme enjeu les âmes des damnés qu'il emporte en enfer. Le diable frappe le sol de son talon et un gouffre apparaît. La mule et son cavalier franchissent l'obstacle d'un bond extraordinaire dont il subsiste toujours les marques laissées par les sabots dans le rocher. Le diable furieux retourne dans les entrailles de la terre par le trou béant qui devient dans l'imaginaire collectif une porte des enfers.
Une autre légende voudrait qu'à la fin de la guerre de Cent Ans, les Anglais aient enfoui dans le gouffre un riche butin cousu au préalable dans une peau de veau. Lorsqu'Édouard-Alfred Martel acheta les terrains situés au-dessus de la rivière souterraine, les propriétaires exigèrent l'insertion d'une clause leur réservant une part de l'éventuel trésor.
Domme et sa bastide (les plus beaux villages de france, notrebellefrance, HD)
Ceinte de remparts, la bastide du XIIIe siècle raconte un passé tumultueux illustré par ses portes fortifiées et ses tours qui servirent de prison. Le visiteur découvrira également la maison du batteur de monnaie et celle des consuls, la vieille halle et l'hôtel du gouverneur. Fière aussi de ses pierres dorées et de ses grottes à concrétion, Domme offre la verte douceur de ses jardins suspendus au dessus de la vallée de la Dordogne.
Les Remparts A Slice of Tranquillity in South West France
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L'abbaye Saint-Martin Canigou - Région Languedoc Roussillon - Le Monument Préféré des Français
L'abbaye Saint-Martin du Canigou - Région Languedoc Roussillon - Le Monument Préféré des Français
Elle a fêté son millénaire en 2009 et elle se porte comme un charme. Un bijou de l’architecture romane édifié à flanc de falaise, à 1090 mètres d’altitude, dans un écrin de verdure. C’est la Communauté des Béatitudes qui accueille les visiteurs. Mais pour s’y rendre, mieux vaut être en bonne condition physique car l’accès se fait…à pied.
Fondée par Guifred II, comte du Conflent et de Cerdagne, au XIe siècle, l’abbaye Saint-Martin a connu bien des tourments. En 1428, un terrible tremblement de terre l’ébranla sérieusement. A la fin du XVIIIe siècle, sous la Terreur, l’abbaye fut confisquée et les moines expulsés. Les bâtiments servirent alors de carrière de pierres pour les habitants de la région. Saint-Martin n’était plus que ruines. Heureusement en 1902, l’évêque de Perpignan, monseigneur de Carsalade du Pont, entreprit la reconstruction du monastère. Il ne restait alors plus grand chose. Aujourd’hui, les deux églises, la tour-porche et le cloître ont repris des couleurs et les frères et les sœurs qui y vivent, peuvent reprendre à leur compte la devise du Père de Chabannes Toujours debout au cœur du Canigou !
Montmedy - ville basse - Meuse - Lorraine ..wmv
Montmédy est situé sur la N43 à 43 km au sud-est de Sedan et à 25 km au nord-ouest de Longuyon ; Stenay est à 16 km à l'ouest via la D947 et la frontière belge est à 8 km à l'est via la D981. La Chiers traverse le bourg de Montmédy. Avec l'Othain et la Thonne, ses affluents, elle sert parfois de limite au territoire de la commune.
Ancienne capitale du comté de Chiny. Le comte de Chiny y élève en 1220 un château fort, le château de Mady, qui donnera son nom à la ville.
En 1285, en contrebas des remparts, dans la plaine de Chauvency-le-Château, Louis de Looz, comte de Chiny, offre des fêtes extraordinaires avec joutes et tournois où participent plus de 500 chevaliers des environs et même de lointaines régions (Grilly au bord du lac Léman, Bergues au bord de la mer du Nord, Trie-Château près de Paris, Sancerre, etc.). Jacques Bretel, dans un reportage, raconte ces journées : Le Tournoi de Chauvency.
Après être passée aux ducs de Luxembourg et avoir été ainsi incorporée quelque temps à la monarchie espagnole, elle fut rattachée à la France par le Traité des Pyrénées.
La ville, défendue par Jean V d'Allamont, investie en juin 1657, est prise, en présence du jeune Louis XIV et de Mazarin, en août 1657 par Vauban 2, qui dirige là son premier siège3. En 1791, lors de sa fuite, le roi Louis XVI est attendu à Montmédy. Reconnu, il sera arrêté à Varennes-en-Argonne.
Elle fut chef-lieu d'arrondissement de 1800 à 1926.
Pendant la Première Guerre mondiale Montmédy fut une plaque tournante pour l'approvisionnement du front de Verdun pour l'armée Allemande qui se servait dans ce but de la ligne du Meusien reliant Montmédy à Verdun qui venait de s'ouvrir juste avant le début des hostilités.
Montmédy a été le lieu d'implantation de plusieurs ouvrages de la ligne Maginot (177 blockhaus et 36 tourelles, sept casemates, quinze maisons fortes, batteries de 155 L 77 au sud-est de Montmédy, sept PC et quatre observatoires).
Beynac - Une Forteresse Orgueilleuse
LA CLEF DE VOÛTE. Le château fort de Beynac est sans conteste un des plus beaux châteaux moyenâgeux de France tant par son architecture que par la beauté de son site. Comme une lourde caravelle de pierre, il est à l'ancre sur une haute falaise calcaire, corrodée par les siècles et dominant un charmant village allongé sur la rive droite de la Dordogne.
Le château fort est bâti dès le XIIe siècle par les barons de Beynac pour verrouiller la vallée. L'à-pic étant suffisant (150 m au-dessus de la Dordogne) pour décourager toute escalade côté vallée, les défenses s'accumulèrent côté plateau : double enceinte crénelée, double douve dont l'une approfondissait un ravelin naturel, double barbacane. La partie la plus ancienne du château est un gros donjon roman carré, vertigineux, aux rares percements, agrafé d'une bretèche et d'une échauguette, terminé par une terrasse crénelée. Il est accosté d'une cage d'escalier en vis dans une tour d'angle carrée, lisse, démesurément haute, mince comme un contrefort.
D'un côté, un logis de la même époque lui est juxtaposé. Il est prolongé vers son angle nord-ouest par une sorte de bastion défensif en forme de proue, fort archaïque, avec des baies géminées, des bretèches, une terrasse crénelée, deux tours d'angle en encorbellement. Un autre donjon carré est bâti au centre. Crénelé et menaçant, il est muni de mâchicoulis et d'une tourelle d'angle à poivrière. Sa hauteur semble encore exagérée.
De l'autre côté, c'est un vaste logis qui est bâti en partie au XIVe siècle, auquel sont accolés une cour et un escalier de plan carré desservant les appartements. Percé de baies à meneaux au XVIe siècle, le logis est agrémenté au sud-ouest d'une tourelle d'angle en encorbellement, tourelle circulaire du XVIIe siècle, à trois étages, sommée d'une coupole de pierre. A ces défenses, déjà sérieuses, on ajoute au XIVe siècle vers le sud-est, un autre logis crénelé avec des échauguettes circulaires à poivrières, destinées à battre la barbacane, pratiquée dans un rempart solide, très haut, crénelé et scandé de tours carrées. Le rempart se poursuit vers le nord jusqu'à enclore une chapelle, aussi audacieusement juchée sur l'à-pic que le château ; elle est devenue l'église paroissiale.
De chaque côté du châtelet sont élevées, durant les guerres de Religion, des fortifications surplombant le fossé, ce qui constitue après le franchissement d'un pont dormant, l'entrée actuelle du château. Caractéristique des défenses de la fin du XVIe siècle, le rempart, taluté sur toute sa hauteur, ne dispose d'aucune canonnière, afin de ne pas affaiblir le mur (les ouvertures ressemblant à des archères sont en fait des chantepleures). L'ensemble est surmonté d'un boulevard terminé au sud-est par un petit bastion, et nord-ouest par un bastion à orillon. La nécessité de circuler rapidement au sommet implique que l'entrée du XVIe siècle différait nettement du châtelet actuel.
Quant à l'intérieur du château, il faudrait y signaler une multitude d'éléments intéressants, datant du XIIe au XVIIe siècle : une grand-salle immense, dite salle des gardes ou salle des États, avec une belle cheminée Renaissance sculptée de bucranes ; un petit oratoire roman dont les murs conservent de remarquables fresques du XVe siècle, parmi lesquelles une Pieta, un saint-Christophe, une Cène dans laquelle saint-Martial est le maître d'hôtel. Un bel escalier sur plan carré donne accès aux logis du Grand Siècle, ornés de boiseries et de plafonds peints.
La forteresse de Beynac constitue une synthèse de l'art de bâtir et de l'art de se défendre à travers les siècles. Un ambitieux programme de réhabilitation et de reconstruction tend à redonner au château son aspect des XIIIe et XIVe siècles. Le pont dormant, le châtelet et sa herse, la cuisine, la salle des gardes, le petit pont-levis et le donjon comptent déjà parmi les présentations renouvelées.
Rocamadour - Le Rocher des Aigles
Reportage sur le Rocher des Aigles.
Reportage Rocamadour villages de France - Arte
Guerre de 100 ans, périple de La Maisnie de l’Hermine pour défendre le Château de Tiffauges
Située dans les marches de Bretagne à Machecoul, la troupe de La Maisnie de l’Hermine entreprend le périple de venir défendre le Château de Tiffauges afin que la cérémonie de l’adoubement de Guillaume du Chastel puisse se passer sous la protection de la Goulue.
plus d'informations :
La Maisnie de l'Hermine, campement médiéval et artillerie :
Rocamadour le Rocher des Aigles
Vols en liberté des aigles et perroquets.
pilou34 présente DOMME Dordogne Périgord noir
une visite des remparts de Domme un beau village de Dordogne
Le pont de Valentre - Région Midi-Pyrénées - Le Monument Préféré des Français
Le pont de Valentre - Région Midi-Pyrénées - Le Monument Préféré des Français
C’est LE symbole de Cahors. Un pont fortifié du XIVe siècle qui enjambe le Lot. Le pont Valentré fait partie des ponts remarquables du Sud de la France, au même titre que le pont du Gard ou le viaduc de Millau. Incontournable.
En 1306, les consuls de la ville de Cahors, décident de construire un pont au lieu-dit Valandre. Le chantier va durer 70 ans, de 1308 à 1378. Une éternité ! D’ailleurs, une légende rapporte que le maître d’œuvre a signé un pacte avec le Diable. Satan devait lui apporter son concours en échange de son âme. Finalement, le pont s’acheva rapidement, mais le maître d’œuvre trouva une ruse pour ne pas honorer sa part du contrat, signé avec le diable. Furieux, Satan revint chaque nuit pour desceller la dernière pierre de la tour centrale, dite Tour du Diable. En 1879, lors de la restauration du pont, l’architecte Paul Gout fit installer dans l’emplacement vide, une pierre sculptée à l’image du démon. Aujourd’hui, avec ses 172 mètres de long, ses six arches ogivales gothiques de 16,50 m, ses trois tours carrées à créneaux et mâchicoulis dominant l’eau de 40 mètres, le pont Valentré est un remarquable témoignage de l’architecture médiévale.
Carcassonne - Les remparts Porte Narbonnaise
PhotosPhotos & Montage Guy Bastin 2011
Une ballade dans le Petit Train du Château d'Oléron
Vous voulez voir le Château d'Oléron différemment ? La solution : le Petit Train. 5 km de parcours et 35 minutes de commentaire en direct pour approcher cette cité qui a été tant convoitée au fil des siècles. Il vous mènera au coeur de la ville, sur le port, dans la Citadelle fortifiée par Vauban, afin de vous dévoiler le patrimoine qui fait la fierté des Oléronais. Cette promenade sera un ravissement original pour découvrir sans fatigue, les nombreux attraits touristiques et historiques du Château d'Oléron.
Top 15 Things To Do In Compiègne, France
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Here are top 15 things to do in Compiègne, France
All photos belong to their rightful owners. Credit next to name.
1. Église Saint-Jacques -
2. Jardin des Remparts -
3. Clairière de l’Armistice -
4. Musée Antoine-Vivenel -
5. Château de Compiègne -
6. Museum of the History of the Figurine -
7. Beaux Monts -
8. Forest of Compiegne -
9. Théâtre Impérial -
10. Parc du Palais Imperial -
11. Camp de Royallieu -
12. Grosse Tour du Roi -
13. Hôtel de Ville -
14. Regional Delicacies - Ficelle Picardie -
15. Château de Pierrefonds -
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la Dordogne - FRANCE
Le département de la Dordogne est un département français de la région Aquitaine qui doit son nom au fleuve du même nom
Elle est limitrophe des départements de la Haute-Vienne, de la Corrèze, du Lot, de Lot-et-Garonne, de la Gironde, de la Charente-Maritime et de la Charente.
Principalement établis au sud-est du département, 200 producteurs de tabac fournissent 15 % de la production nationale2.
Les habitants de la Dordogne sont appelés Périgourdins ou Périgordins (par analogie entre le département actuel et l'ancienne province du Périgord qui lui correspondait)[réf. souhaitée]. Les appellations Dordognais, voire Dordognots, sont également usitées3.
Les ressortissants du Royaume-Uni sont plus de 20 000 (en 2006) à y habiter mais la plupart font attention à ne pas séjourner plus de six mois et un jour pour éviter d'être considérés résidents en France.
La langue traditionnelle du Périgord est l'occitan, de dialecte limousin au nord d'une ligne allant approximativement de Montazeau à Nadaillac, et de dialecte languedocien au sud de cette ligne. Seules les communes de Parcoul et de La Roche-Chalais (en partie) sont dans l'aire des langues d'oïl (saintongeais).
Le foie gras, les noix, le canard (magret, cous farcis, ...), les pommes de terre sarladaises, les champignons dont la truffe, les vins de Domme près de Sarlat, mais surtout de Bergerac, de Monbazillac ainsi que le Pécharmant.
Il y aurait plus de 1 000 châteaux en Dordogne ; parmi les plus connus : Château de Hautefort, Château de Castelnaud-la-Chapelle, Château de Commarque, Château de Monbazillac, Château de Beynac, Château de l'Herm, Château de Bourdeilles, Château de Biron, Château des Milandes, Château de Montfort, Château de Puymartin, Château de Losse. (Voir Liste des châteaux et demeures de la Dordogne).
On trouve également des bastides, notamment à Monpazier, Villefranche-du-Périgord, Domme et ses remparts, Eymet et son château, et Saint-Aulaye, unique bastide du Pays du Périgord Vert.
Sur les 155 sites de l'association Les Plus Beaux Villages de France, 10 se trouvent en Dordogne sur 155, situant le département en première place ex-æquo avec l'Aveyron
La vallée de la Vézère et son bassin versant abritent la plus grosse densité de sites préhistoriques tels que l'abri Pataud, La Micoque, les sites de Laugerie-Haute et Laugerie-Basse, les abris du Moustier, de Cap Blanc et le célèbre abri de Cro-Magnon, et de grottes ornées paléolithiques telles que la célèbre grotte de Lascaux à Montignac, les grottes de Combarelles et de Font-de-Gaume aux Eyzies-de-Tayac et celle de Rouffignac.
PPS de RICK & JESSIE64 mis en vidéo par Jean-Marc Coquelle
Vouvant- Région Pays de la Loire - Stéphane Bern - Le Village Préféré des Français
En pays de bocage et à l’orée de la forêt domaniale de Vouvant-Mervent, cette cité médiévale est le berceau de nombreux mystères et légendes comme celle de la Fée Mélusine, femme-serpent, qui aurait en une nuit doté le village d’un château. Se dressant sur un promontoire qui domine un méandre de la rivière Mère, ce paisible bourg vendéen a conservé une partie de ses anciens remparts. Les douves ont été aménagées en promenade pour en faire le tour à pied ou en calèche. Une remarquable église romane, la porte de la Poterne et le donjon appelé tour Mélusine - vestige de la puissante forteresse des Lusignan - complètent ce magnifique tableau. Si Vouvant est un village de contes et de fables, il est aussi un village d’artistes. De nombreux peintres se sont installés et exposent dans la cité, au détour de ses ruelles tortueuses bordées de maisons aux façades fleuries.
copyright Morgane Production
Château de Hautefort
Vidéo créée avec l'appli Socialcam sur iPhone: