Etoiles terrestres, génie du verre et magie cristal
Il y a cinq siècles, quelques verriers nomades construisaient un four de fortune dans une vallée sauvage des Vosges du Nord. Ces pionniers allaient écrire les premières pages d’une aventure industrielle et artistique hors du commun qui perdure encore aujourd’hui.
Nichés dans des vallées mitoyennes, trois lieux exceptionnels ont pris le parti de valoriser leurs épopées respectives sur les terres mêmes qui les ont vues naître… Entre Alsace et Moselle, les Étoiles Terrestres, trois sites verriers d’exception, invitent à la découverte de la magie d’un savoir-faire multi-séculaire au coeur du Parc naturel régional des Vosges du Nord.
reportage France 3 pour l'émission pourquoi chercher plus loin
Vues sur Loire : Les Puces de Montsoreau 49
Sylvie se lève de bonne heure pour suivre les brocanteurs et antiquaires qui s’installent le 2ème dimanche de chaque mois sur les quais de Loire de Montsoreau. Bienvenue aux Puces qui animent la commune depuis 25 ans. Devenant ainsi l’autre pôle d’attraction presque à égalité avec le non moins célèbre château.
Les invités
Claude Marmin, placier
Employé de la mairie, homme clef du matin puisqu’il assure le tirage au sort des emplacements…
Yannick Lafourcade, antiquaire organisateur des Puces
Il a traversé l’Atlantique à la voile, mais son truc c’est l’antiquité, et c’est de famille car son père était dans le domaine aussi. Organisateur acharné des Puces, il y croit fort pour le développement économique et touristique de sa commune dont il est conseillé municipal.
Alain Windsor, antiquaire, chineur professionnel
Antiquaire à Tours, il a l’œil pour trouver des trésors cachés.
Bernard Boussemart, antiquaire
Sa galerie d’art et d’antiquités d’Asie et d’Afrique est une vraie caverne d’Ali Baba. A force de recherches et d’études il cumule un savoir encyclopédique qu’il adore partager.
Philippe Brissy, maître-verrier, organisateur des Plus des Puces
Il a notamment travaillé sur les vitraux de l’église de Montsoreau, mais c’est la défense de l’artisanat d’art qui l’a conduit à assurer l’organisation des Plus des Puces depuis plus d’un an.
Les échappées
« Alan Reullier »
Montsoreau accueille également quelques artistes de renommée. Alan Reullier y a ouvert son atelier il y a un an. La mairie de Montsoreau lui a d’ailleurs acheté l’une de ses oeuvres représentant Marie-Anne. Un artiste aux multiples facettes, qui puise lui aussi son inspiration dans la Loire.
« Dans l’atelier du maître verrier Philippe Brissy »
Philippe Brissy est maitre verrier. Il restaure les vitraux des églises et châteaux dans son atelier saumurois et réinvente sa profession à travers la création de vitraux contemporains.
Antiquaire
A travers le commerce d’objets anciens de valeur, l’antiquaire conjugue amour de l’art et plaisir de la vente.
BTS Audiovisuel 2ème année : EPS - Métro Culture Métiers d'art
Emission réalisée par les étudiants de 2ème année du BTS Audiovisuel - options Image, son, Montage et Production - dans le cadre des Épreuves professionnelles de Synthèse.
Le sujet a été présenté à l'oral de l'examen. - promo 2013
Patrick Chetboun Le Cellier des arts à Autun
En juillet 2013 s'est ouvert à Autun un lieu d'exposition dans l'ancien cellier des chanoines. Situé en face de la cathédrale, cet espace de 200 m2 permet à des artisans d'art de présenter et vendre leurs productions. Céramiste, bijoutier-céramistes, bijoutier-verrier, artiste peintre, sculpteur, tapissier d'ameublement, maroquinier styliste, azulejos, peintre décorateur sur céramique, chaudronnier d'art, forgeron coutelier et styliste figurent dans les tablettes de l'association qui gère ce lieu très professionnellement.
Cet espace était attendu par les élus de la ville et des environs ainsi d'ailleurs que par le public. Le Cellier des arts à Autun a reçu en huit mois plus de 4 000 personnes, habitants de la région ou de l'Hexagone et étrangers de passage.
Une nouvelle exposition devrait débuter mi(mars 2014 et réunira deux artisans-artistes régionaux : un artisan bijoutier-verrier et une maroquinière seront les invités de ce lieu à l'architecture remarquable. 600 m2 devraient s'ajouter dans les mois qui viennent dans le cadre de l'aménagement d'un sous-sol voûté exceptionnel. Des conférences et des ateliers pourront s'y tenir.
Pour l'heure, c'est Patrick Chetboun, un sculpteur et architecte d'intérieur venu de Paris il y a plusieurs années, qui mène cette initiative. Au micro de Jean-François Cullafroz, il présente cet espace culturel tout à fait original en Saône-et-Loire, et même en Bourgogne.
Hagège Patrick - Antiquités et brocante à Paris 12e
- Hagège Patrick vous accueille dans son magasin d'antiquités et brocante à Paris 12e et achète comptant meubles, argenterie ou objets de déco dans toute la France.
Dijon la preuve par cinq (2018) de Gérard Courant
DIJON LA PREUVE PAR CINQ
Réalisation, concept, image, son : Gérard Courant.
Production : La Fondation Gérard Courant, Les Amis de Cinématon, Les Archives de l’Art Cinématonique.
Interprétation : les habitants de Dijon (France).
Tournage : 25 décembre 2018 à Dijon (France).
Diffusion : Les Amis de Cinématon.
Format de tournage : Caméra : Sony Mini DV.
Cadre : 1,33 ou 4/3.
Procédé : Couleur.
Collection publique : BNF (Bibliothèque nationale de France).
Dédicace : Le film est dédié à Raymond Samuel.
Année : 2018.
Durée : 1 heure 2 minutes.
Dijon la preuve par cinq est une errance nocturne dans le Dijon illuminé par les lumières de Noël 2018. Cette errance démarre à la gare de chemins de fer pour traverser le centre de Dijon par la rue de la Liberté jusqu’à l’église Saint-Michel, en passant par le palais des ducs de Bourgogne, le théâtre, la rue de la Verrerie, Notre-Dame, la rue Musette, la rue du Chapeau Rouge, la cathédrale Saint-Bénigne, le musée archéologique, la place Grangier et la place Darcy pour se terminer et revenir à la gare de chemins de fer.
Dijon la preuve par cinq est une prouesse technique : il n’est fait que d’un seul plan-séquence, filmé caméra à la main, de 62 minutes.
Après Promenade dans les lieux de mon enfance dijonnaise (2008), Illuminations (2009), Tempête de neige sur Dijon (2009) et Petit matin de Noël neigeux dans Dijon désert (2010), Dijon la preuve par cinq est le cinquième film de Gérard Courant à être conçu selon ce système de plan-séquence unique d’une heure.
Foire Brocante Vannes
L'opération Antiquité Brocante du magasin La Trocante de Vannes a toujours autant de succès...
Bergues
Balade dans une superbe petite ville où je ne serais jamais allé sans...
Grand merci à Dany Boon.
Musique: Avallon de Blackmore's night.
Jacques MAJORELLE
Fête CPB
AHBC -14 ans - Match du 15/11/14 contre Sens
AHBC Match -14 ans du 15/11/14 - Sens contre Avallon
Flashmob MEJ RN TA/ES Quimper 2010 - 1ère version
Flashmob des 1300 jeunes du Rassemblement National MEJ TA/ES, place François Mitterrand à Quimper le 29 décembre 2010
Visitez le site du RN :
La version retravaillée avec la bande son originale est ici :
Le museé de dijon et le centre ville.wmv
Dijon est la préfecture de la région de Bourgogne et du département de Côte-d'Or. La commune se situe sur la Côte des Vins de Bourgogne aussi nommée Route des Grands Crus (qui s'étend de Dijon à Beaune pour sa partie côte-d'orienne). La capitale bourguignonne se situe au cœur d'une campagne composée de deux rivières convergentes : le Suzon qui la traverse du nord au sud et l'Ouche au sud de la ville ; à l'ouest s'étend la
« côte » de vignobles qui donne son nom au département. Elle se situe à 310 kilomètres au sud-est de Paris, 190 au nord-ouest de Genève et 190 au nord de Lyon. Devenue depuis la fin du XIXe siècle l'un des plus grands centres ferroviaires du pays (ligne Paris-Lyon-Marseille, bifurcations vers Besançon, Belfort, Nancy, la Suisse, l'Italie (par le Mont-Cenis et le Simplon), elle est aujourd'hui desservie par un des principaux nœuds autoroutiers français aux croisements des autoroutes A6, A31, A36 et A39.
« Dijon prend naissance dans la plaine alluviale du Suzon, creusée dans les argiles tertiaires de la « Plaine » qui s'étend largement à l'est », suivant le cours de la Saône. La plaine est en effet un fossé tectonique situé à une vingtaine de kilomètres de Dijon, remblayé par les marnes et les argiles oligocènes atteignant une hauteur géologique de 100 mètres à Dijon.
Le Musée des beaux-arts de Dijon est installé dans l'ancien hôtel des ducs de Bourgogne et dans la partie orientale du palais des états. Cet ensemble architectural, témoignage essentiel sur l'art et l'histoire de la Bourgogne, fut d'abord, à partir de 1364, la demeure des ducs de Bourgogne, de Philippe le Hardi à Charles le Téméraire ; c'est Philippe le Bon qui fit construire le corps de logis principal, dominé par la haute tour qui porte son nom, et les cuisines ducales, chef-d'œuvre de l'architecture civile gothique, situées dans la cour de Bar. En 1477, lorsque Louis XI rattache la Bourgogne au royaume de France, la demeure ducale devient logis du roi. Le palais des états de Bourgogne est élevé à la fin du XVIIe siècle sur un projet de Jules Hardouin-Mansart, avec des adjonctions et des modifications au siècle suivant. L'école de dessin et le museum y seront logés.