Vernon en 1951 : la collégiale et le Vieux-Moulin
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Le Vieux-Moulin (Vernon)
Párizstól nem messze Vermontban található ez a festői ház a Szajna partján, mely egykoron mint malom szolgált a katedrális tövében.
Szépsége a nagy festő Monet- is megihlette.......
Vernon côté Vernonnet
Vernon côté Vernonnet. Le vieux moulin, les piles et arches du pont médiéval, le donjon de l'ancien château fort, l'église, le val du diable, l'oppidum des Véliocasses, à Vernonnet la rive droite de Vernon.
Vernon d'antan - Les carrières et la pierre de Vernon
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Vernon d'antan à travers les cartes postales anciennes - Les coteaux de Vernonnet.
Comme l'histoire locale en générale celle des carrières de Vernonnet est contée uniquement du point de vue de Vernon rive gauche qui pourtant ne possède aucune carrière sur son territoire.
Elle se base sur un document de 1678, rapport commandé par Colbert en vue de répertorier les carrières pour la construction du château de Versaille. Intéressant en ce qu'il donne des informations sur l'utilisation de la pierre de Vernonnet durant le premier millénaire, le document l'est beaucoup moins dans ses conclusions concernant la qualité et l'usage de la pierre. Superficiel et condescendant à l'encontre d'un matériau et d'un savoir-faire local deux fois millénaire, le document se contredit d'ailleurs lui-même en citant les nombreux ouvrages ayant utilisé la pierre de Vernon au cours du deuxième millénaire, cent kilomètres autour des deux villes de la porte normande.
En vérité, l'exploitation des carrières de Vernonnet n'a pas commencé avec Guillaume le Conquérant et la construction de la collégiale Notre Dame, mais plus de mille ans auparavant, avec les Véliocasses. Elle ne s'est pas faite dans des carrières souterraines mais à ciel ouvert, à flanc de coteau.
Des traces subsistent partout dans Vernonnet, routes des Andelys et Giverny, rue de la ravine, val d'Heurgival et surtout, sur la crête du Mont Roberge, du coteau St Michel et St Catherine. Tout observateur un peu curieux, peut comprendre que l'espace, de parfois cent mètres de large, entre le front des carrières souterraines et le rebord du coteau, côté vallée, a nécessité des siècles d'exploitation pour être créé.
Il est possible que l'exploitation souterraine ait commencée avec la collégiale Notre Dame, mais avant cela, les habitants de Vernonnet, avaient acquis depuis longtemps une très grande tradition de l'exploitation et traitement de la pierre, transmis par leurs ancêtres, les Véliocasses.
Un autre indice témoigne de l'ancienneté des carrières. Vernonnet est bâtit en grande partie sur un sol rapporté, mélange de craie, argile, cailloux et silex, un matériau extrait des couches supérieures du terrain et des déchets de l'exploitation. Il a fallu deux mille ans d'exploitation pour descendre tous ses matériaux et combler les marécages qui venaient jusqu'au pied des coteaux. Jacques Frélicot (Suticos le Véliocasse)
Le Dreknor sur la Seine à Vernonnet
Le Dreknor est un bateau construit à Tourlaville, près de Cherbourg en France. Son nom est l'abréviation de drekki (« dragon ») et de Nordmannia (« Scandinavie ») mot devenu Normandie à partir du Xe siècle. Il s'agit de la réplique historique du bateau de Gokstad, le plus grand navire de guerre retrouvé en Norvège : 23,50 m × 5,30 m, 120 m2 de voilure et 32 rames.
Web-Tv n°24 : Vernon Scintille - ville de vernon
Découvrez Vernon Scintille.
Programme des festivités du 4 au 24 décembre 2015, Vernon Scintille.
Réalisation : F&D FILMS
Vernon-Vernonnet en 1845
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En 1845, sur le coteau des Fourneaux à Vernonnet, un artiste est à l'œuvre. Au pied du coteau, dans la plaine des Haguelets, le moulin Saint-Jean possède encore sa moitié de bâtiment au-dessus du bras. Il est désactivé suite à l'expropriation et l'arrêt de la minoterie de Vernonnet en 1894. Comme cet artiste, le peintre impressionniste Claude Monet sera séduit, 40 ans plus tard, par le paysage de Vernonnet, son bord de Seine, ses îles, ses coteaux. Il s'installera à Giverny, derrière la Grande Île, pointe Est du faubourg de Vernon. Séquence extraite de la vidéo L'Île Portuaire de Vernonnet. Jacques Frélicot (Suticos).
Le 12 Décembre 1840 à Vernon-Vernonnet
ADIV -
En 1840, à la demande d'Adolphe Thiers président du conseil, le roi des Français Louis-Philippe 1er autorise le retour des cendres de Napoléon 1er. Une halte pour la nuit du 12 décembre était programmée à Vernon, elle fut annulée.
Malgré cette déception, le passage de la flottille, composée de 10 ou 11 bateaux à aubes escortant la dorade 3 transportant le cercueil de Napoléon, fut mémorable. De nombreux anciens grognards, venu de toute la région, étaient présent sur les bords de la Seine et l'Île du Talus à Vernon-Vernonnet, pour saluer une dernière fois l'Empereur. Jacques Frélicot (Suticos le Véliocasse)
les 2 tours et le vieux moulin a vernon (27)
petite balade en solo en bord de seine a Vernon
les photos a voir sur A voir sur
Mutations - Le vieux moulin de Vernonnet
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Le moulin de Vernonnet situé sur la rive droite de Vernon est l'un des vestiges du pont fortifié construit en 1200, par Philippe-Auguste. Jusque vers 1885, un deuxième moulin existait encore, accolé au vieux-moulin. Celui-ci et le dernier survivant des six et peut-être sept moulins qui ont été construits tout le long du pont au cours des 660 ans de son existence. Malgré son style XVIe siècle le Vieux-Moulin a probablement été construit au moyen-âge, puis remanié à la suite des nombreuses crues. Philippe-Auguste lui-même en 1200, avait autorisé la construction et l'exploitation d'au moins deux de ses moulins. Jacques Frélicot (Suticos le Véliocasse)
Diaporama du Vieux Moulin à Vernon
Le Vieux Moulin à Vernon
Vernon- ancien moulin sur le vieux pont
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VERNON - FRANCE
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Le Vieux-Moulin de Vernonnet
Contrairement à l'idée répandue, le pont médiéval de Vernonnet, comme il a dû être nommé à ses débuts, puis de nouveau à partir de 1861, n'a pas été durant l'essentiel de son existence, cette quasi ruine que l'on nous décrit.
Une gravure de 1610 représentant le pont médiéval avec ses 25 arches et son tablier en pierre de Vernonnet abritant six moulins, nous le montre tel qu'il devait être et témoigne d'un bon état, au moins jusqu'à cette date.
Il n'existe pas de chronologie précise des destructions occasionnées par les crues, tout comme il n'y a pas de certitude qu'il fut construit par Philippe Auguste vers 1296. Certains auteurs situent sa construction au XIIe siècle par Henri 1er roi d'Angleterre, à l'emplacement d'un pont encore plus ancien.
Hypothèse plausible si l'on considère que Vernonnet faisait partie de la «ligne Maginot médiéval » du Duché de Normandie. Une ligne de défense anglo-normande, de Gisors à Vernonnet sur la rive droite de la Seine avec une tête de pont sur la rive gauche défendue par le château de Vernon.
Une certaine confusion semble d'ailleurs avoir été entretenue entre les deux châteaux, jusqu'à aujourd'hui, avec pour résultat l'absence de citation du château de Vernonnet dans les textes et plans traitant de cette ligne de défense.
L'histoire oublie aussi de dire que l'embouchure de l'Epte jusqu'au XVIIe siècle formait un mini-delta dont certains bras venaient se jeter dans la Seine à hauteur du Val du diable, devenue la Ravine. L'actuel bras de Seine qui entoure la grande île de Vernonnet et Port-Villez n'est qu'un vestige du tracé des anciens bras de l'Epte. Claude Monet en creusant sa dérivation pour réaliser les Nymphéas n'a fait que restituer un petit tronçon des bras de l'Epte.
Cette particularité topographique oubliée, et le fait que Vernonnet a son territoire constitué pour moitié des berges de la Seine et pour l'autre moitié du plateau, nous rappelle que Vernonnet, rive droite de Vernon, appartient au Vexin. L'oppidum de Vernonnet fut peut-être même, avant la guerre des Gaules, la capitale ou le fief des Véliocasses, le peuple gaulois qui donnât son nom au Vexin.
Le château fort de Vernonnet ne devait pas dépendre de la même châtellenie que celui de Vernon à l'époque normande et anglo-normande. Car sa construction doit être antérieure à Philippe-Auguste et son rôle n'a sûrement pas été secondaire comme l'écrit l'histoire locale, compte tenu de sa position stratégique à la frontière.
Il devait donc exister un château fort avec un donjon de forme carré à la place de l'actuel donjon des Tourelles, et un autre sur la rive gauche.
Si la construction du pont par Henri 1er d'Angleterre se vérifiait, cela signifierait qu'il aurait conservé ses arches en pierre durant beaucoup plus de 300 ans.
Le tablier en bois n'est apparu qu'au milieu du XVIIe siècle, après des destructions occasionnées par les crues et faute de crédit pour la restauration.
Il fallut même organiser durant une trentaine d'années, un service de bac sur place et au Val de Panilleuse. La partie entre la rive gauche et l'île du Talus fut probablement restaurée rapidement avec un tablier en bois. Un bac assura le passage de l'île fortifié du Talus jusqu'à la berge proche, de Vernonnet.
L'étude de l'iconographie plaide pour cette thèse plutôt qu'un pont entièrement inutilisable durant cette période. Cette hypothèse tient compte de l'importance économique du fonctionnement des moulins coté Vernon et du lien avec l'île du Talus pour l'exploitation des gords et le passage de la navigation sous l'arche marinière.
Hormis cette période difficile, rien dans les archives ne permet de dire que ce pont magnifique, les photos anciennes des arches survivantes l'attestent, n'ait joué son rôle durant la majorité de ses presque six siècles d'existence.
La description minutieuse des difficultés de navigation, de l'état vétuste dans lequel il se trouvait vers la fin du XIXe siècle, relaté par les chroniqueurs et historiens, était la marque de l'époque, éprise de modernité technologique, dénigrant pour cela les réalisations des siècles passés.
Et c'est vrai que l'entretient et l'usage d'un pont sur la Seine, n'avait pas pour priorité, jusqu'au XVIIIe siècle, de faciliter la navigation.
Les textes du XIXe, repris mots à mots par les historiens contemporains, dressent un portrait de l'état du pont qui n'est crédible, en partie, que pour les deux derniers siècles de sa longue vie. Les moulins et les gords des pêcheries font partie intégrante de l'histoire de ce pont et des deux anciennes cités des bords de Seine, Vernon et Vernonnet. Le Vieux-Moulin à probablement été construit au XVIIe siècle, après 1610. Dans le texte en sous-titre il faut lire
a voisiné avec le vieux-moulin construit à la moitié ou la fin du17°siècle. Jacques Frélicot (Suticos le Véliocasse).
Vernon en 1950 - Vidéos - Photo d'un biplane au dessus de l'Avenue de l'Ardèche 1910.
Une vidéo proposée par Jean Roncerel, prises de vues de Vernon en Normandie vers 1950. Photos 1899, un ballon dirigeable. Maréchal Montgomery à Vernon. Un biplane au dessus de l'Avenue de l'Ardèche 1910. Hiver 1895-1896 : pont de pierre. Des charrois de bois la traversèrent conduits par Monsieur Valet-Ridou.
VERNON et châteaux
visite du château
En balade à Vernon sur les bords de Seine
Louisa Ould part à la découverte des bords de Seine avec une visite du château des Tourelles et du Vieux Moulin.
A la découverte des anciennes friches de Vernon
Dans son édition du 19/20 du 15 septembre, France 3 Normandie vous parlait de la découverte des anciennes friches. Visites et expositions gratuites se dérouleront le samedi 26 et le dimanche 27 septembre. Explications en vidéo.
Vernon (Eure)
Invitation pour un petite visite de la ville de Vernon, dans le département de l'Eure en région Normandie. Elle se trouve au carrefour des routes d'Évreux à Beauvais et de Paris à Rouen par la vallée de la Seine. La ville a su préserver l'architecture du centre, autour de la collégiale et de la tour des Archives, qui a survécu aux bombes. Ce centre a gardé son aspect médiéval :
Le Vieux-Moulin, installé sur les piles du pont médiéval à Vernonnet, rare monument de ce type, symbole particulier.
La tour des archives, vestige de l'ancien château.
Les remparts et enceintes (par parties).
La maison du Temps Jadis datant de 1450-1460, abritant l'office de tourisme communautaire.
Rues bordées d'anciennes maisons à pans de bois datant du xiie, xvie et xviie siècle.
Vernon possède de nombreux châteaux éparpillés sur tout son territoire, de styles très différents :
Le château de Bizy, appelé souvent le petit Versailles, date de 1741 avec la fontaine de Neptune.
Le château médiéval Philippe-Auguste, datant du xiie siècle, fut détruit en partie en 1752 lors de la création des écuries puis pendant les deux guerres, il n'en reste que quelques ruines.
Le château Saint-Lazare 28, datant de la fin du xviiie siècle, fut détruit par la ville en 1970 pour y construire une école, dont une aile, partie la plus ancienne contenant la chapelle, a été préservée.
Le château du Point du Jour29 datant de 1706 servit de bâtiment hospitalier à la clinique Sainte-Marie entre 1978 et 2005. Il est devenu en 2009 la résidence Sainte-Marie.
Le château des Tourelles, situé rive droite de la Seine, l'un des seuls châtelets du xiie siècle encore pratiquement intacts en France.
A la découverte des anciennes friches de Vernon : 26 et 27 septembre 2015
Chronique d'une Renaissance
Pendant de nombreuses années, le territoire de Vernon a été gangréné par des dizaines d’hectares de friches militaires : le quartier Fieschi, et industrielles : la papeterie, la fonderie et plus récemment le plateau de l’Espace.
Depuis un an et demi, la Cape et la ville de Vernon œuvrent main dans la main pour donner un nouvel avenir à ces lieux. Aujourd’hui, c’est tout un nouveau quartier qui émerge sur le site de l’ancienne caserne, plusieurs entreprises se sont déjà installées sur le plateau de l’Espace et le terrain de la fonderie est enfin déblayé.
Les visites que nous vous proposons sont destinées à vous présenter ces récentes évolutions et à vous permettre d’appréhender l’avenir de trois sites
majeurs pour le développement de notre territoire. Avant de tourner la page du passé, elles s’attarderont aussi sur l’histoire qui a marqué ces lieux et dont il est important que nous conservions la mémoire.
Nous espérons que ces trois sites vous intéresseront tout autant que nous et vous attendons nombreux les 26 et 27 septembre en Cœur de Seine, à Vernon.
Sébastien Lecornu Gérard Volpatti
Président du Département de l'Eure Président de la Cape
Maire de Vernon Maire de Saint-Marcel
BIENVENUE EN CŒUR DE SEINE !
La Cape et la ville de Vernon s’associent pour vous faire découvrir exceptionnellement les anciennes friches militaro-industrielles de Vernon : (re)découverte pour tous, du campus technologique du Plateau de l’Espace et sa partie sécurisée (ex-LRBA) en petit train, la Fonderie/Papeterie entre la Seine et la route de Rouen, et l’ex-caserne Fieschi (visite libre ou en calèche). Des croisières sur la Seine, des visites en calèches ou en petit train ainsi que des expositions présenteront le passé, le présent et l’avenir de ces sites.
INFOS PRATIQUES
Toutes les animations du week-end sont gratuites.
Balades en péniche : réservation conseillée auprès de l’Office de tourisme ou le jour même près du quai.
Accès aux croisières par le parking du stade de Vernonnet.
Portes ouvertes à la Clinique des Portes de l’Eure, durant le week-end (Quartier Fieschi).
Réalisation : F&D FILMS