IL ÉTAIT UNE FOIS EMBRUN Hautes Alpes
Embrun, est une commune française, située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Embrunais. La ville d'Embrun est construite sur une terrasse, fluvio-glaciaire, de la vallée de la Durance, à une altitude moyenne de 860 mètres. Plusieurs montagnes et cols, à l'ouest de la ville, culminent à plus de 2 000 mètres, tel que le Mont Guillaume, 2 542 mètres, le col de Chante-Perdrix, 2 628 mètres, la Tête de Chante-Perdrix, 2 719 mètres, et la Tête de l'Hivernet, 2 824 mètres. À mi-chemin entre Gap et Briançon, Embrun est un point de passage obligé, pour aller du sud, au nord du département. Traversée par la RN 94, la ville s'est vue désengorgée en décembre 2007, avec la mise en service de la déviation, qui longe la Durance en contrebas du Roc, avant de rejoindre la nationale, juste après Châteauroux-les-Alpes, qui ainsi bénéficiât également de cette déviation. Embrun dispose d'une gare ferroviaire. Desservie principalement par des TER, Marseille-Briançon, et Grenoble-Briançon, la gare accueille aussi le train de nuit Paris - Briançon, ainsi que des trains couchettes saisonniers, lors des vacances d'hiver. Dominant la Durance, et accrochée sur son roc, la ville se trouve sur un site d’oppidum, qui lui permettait de contrôler les flux sur l'axe durancien. Embrun est la capitale des Caturiges ; ce peuple, dont le nom signifie « rois du combat », étaient clients des Voconces. Après la conquête romaine, la ville gallo-romaine placée sur la via « Cottia » aux abords de l'oppidum d'Eburodunum, qui occupait approximativement la place de l'archevêché, et de la cathédrale actuels, devient la capitale de Civitas, sous le nom d’Ebrodunensium, rattachée à la province romaine des Alpes-Maritimes. Dès le IVe siècle, la cité est le siège d'un évêché. Il est fondé par saint Marcellin d'Embrun, d'origine berbère, d'Afrique du Nord. Dans la pratique cet évêché est à l'origine de la création de tous ceux de la région, par exemple les deux premiers évêques de Digne, sont des compatriotes de Marcellin. Cinq cents ans plus tard, sous Charlemagne, la notion d'archevêque est créée, celui d'Embrun est reconnu dès 829. Embrun aura très longtemps sous sa «tutelle» les évêchés environnant, même ceux des Alpes-Maritimes. Embrun et sa région, ont fait partie du comté de Provence, constitué à la fin du Xe siècle, puis du comté de Forcalquier qui s'en est détaché au XIIe siècle. À la mort du dernier comte de Forcalquier, en 1209, la région d'Embrun et de Gap, était transmise au Dauphiné, tandis que celle de Forcalquier et de Sisteron retournait au comté de Provence. L’archevêque, prince d'Embrun, était primitivement seul maître de la ville. Le comte de Provence en 1160, le Dauphin en 1210, et 1247, héritiers du comté d'Embrun, lui imposèrent un condominium, et opposèrent au beau donjon carré du prélat, la Tour Brune, un château hors des murs, sur le roc, dont il ne reste que la base d'une tour du XIIIe siècle, la construction des fortifications bastionnées ayant occasionné la destruction du reste.Une commune bourgeoise, régie par des coutumes assez égalitaires en matière fiscale, le tiers état, et la noblesse étaient égaux devant l'impôt, s'organisa fort anciennement avec le soutien du clergé, chassa le baile du comte, affirma ses libertés qui, réduites en 1258, étaient encore notables en 1789. Les Templiers possédaient une maison à Embrun, établissement secondaire qui dépendait d’une commanderie. La ville est réunie au royaume de France en 1349, à l'occasion du « transport » du Dauphiné. Lors des guerres de religion, la ville est prise par le chef protestant, Lesdiguières qui y installe provisoirement sa « capitale ». Une partie des archives est brûlée à cette occasion et la fresque miraculeuse de Notre-Dame d'Embrun est détruite. L'enceinte projetée par Vauban, est bâtie à la fin du XVIe siècle. En 1692, la ville est assiégée par le duc Victor-Amédée II de Savoie, à partir du 6 août 1692, prise le 16, car à court de munitions, et livrée au pillage. On y comptait sept paroisses ; trois ont été supprimées au XVIe siècle, deux au XVIIIe siècle, une au XIXe siècle. La splendide cathédrale demeure sa seule église, mais l'on y voit aussi la chapelle du couvent des Cordeliers du XIIIe siècle, mutilée, mais où de belles fresques ont pu être restaurées ; un couvent de la Visitation ; un collège des jésuites, et un hôpital. La citadelle fut déclassée en 1872. Les murailles de la ville, qui n’entouraient que le sommet de la cité épiscopale, sont rasées avec l’arrivée du chemin de fer, en 1882.
Mes sources : Wikipedia.com
tour embrun
petit tour rapide d'embrun en pédalo au plan d'eau...
IL ETAIT UNE FOIS EMBRUN
Embrun est une commune française, située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Embrunais.
La ville d'Embrun est construite, sur une terrasse fluvio-glaciaire de la vallée de la Durance, à une altitude moyenne de 860 mètres. Plusieurs montagnes et cols, à l'ouest de la ville, culminent à plus de 2 000 mètres : le Mont Guillaume, à (2 542 mètres), le col de Chante-Perdrix, à 2 628 mètres, la Tête de Chante-Perdrix, à 2 719 mètres, la Tête de l'Hivernet, à 2 824 mètres.
La localité est citée dans la Géographie de Strabon comme étape sur la voie Domitienne où elle est nommée Éburo-dunum.
Ambrun en occitan alpin, selon la norme classique et selon la norme mistralienne.
Ce nom est d'origine celtique et, se décompose en Dun, (la forteresse, le fort), que l'on retrouve dans de nombreux toponymes comme : Lug - dun (Lyon), et Eburo qui, à l'unanimité des linguistes, désigne l'if. Ce toponyme peut signifier la « Forteresse de l'If ».
Dominant la Durance et accrochée sur son roc, la ville se trouve sur un site d’oppidum qui lui permettait de contrôler les flux sur l'axe durancien. Embrun est la capitale des Caturiges ; ce peuple, dont le nom signifie « rois du combat », étaient clients des Voconces.
Après la conquête romaine, la ville gallo-romaine placée sur la via Cottia aux abords de l'oppidum d'Éburodunum, qui occupait approximativement la place de l'archevêché et de la cathédrale actuels, devient la capitale de civitas, sous le nom d’Ebrodunensium, rattachée à la province romaine des Alpes-Maritimes.
Dès le IVe siècle, la cité est le siège d'un évêché. Il est fondé par saint Marcellin d'Embrun, d'origine berbère d'Afrique du Nord. Dans la pratique cet évêché est à l'origine de la création de tous ceux de la région; par exemple les deux premiers évêques de Digne sont des compatriotes de Marcellin. Cinq cents ans plus tard, sous Charlemagne, la notion d'archevêque est créée, celui d'Embrun est reconnu dès 829. Embrun aura très longtemps sous sa «tutelle» les évêchés environnant, même ceux des Alpes-Maritimes.
Embrun et sa région firent partie du comté de Provence constitué à la fin du Xe siècle, puis du comté de Forcalquier qui s'en est détaché au XIIe siècle. À la mort du dernier comte de Forcalquier en 1209, la région d'Embrun et de Gap était transmise au Dauphiné, tandis que celle de Forcalquier et de Sisteron retournait au comté de Provence.
L’archevêque-prince d'Embrun était primitivement seul maître de la ville ; le comte de Provence en 1160, le Dauphin en 1210 et 1247, héritiers du comté d'Embrun, lui imposèrent un condominium et opposèrent au beau donjon carré du prélat, la Tour Brune, un château hors des murs, sur le roc, dont il ne reste que la base d'une tour du XIIIe siècle, la construction des fortifications bastionnées, ayant occasionné la destruction du reste.
Une commune bourgeoise, régie par des coutumes assez égalitaires en matière fiscale (le tiers état et la noblesse étaient égaux devant l'impôt), s'organisa fort anciennement avec le soutien du clergé, chassa le baile du comte, affirma ses libertés qui, réduites en 1258, étaient encore notables en 1789.
Les Templiers possédaient une maison à Embrun, établissement secondaire qui dépendait d’une commanderie.
La ville est réunie au royaume de France en 1349, à l'occasion du « transport » du Dauphiné.
Lors des guerres de religion, la ville est prise par le chef protestant Lesdiguières qui y installe provisoirement sa « capitale ». Une partie des archives est brûlée à cette occasion et la fresque miraculeuse de Notre-Dame d'Embrun est détruite.
L'enceinte projetée par Vauban est bâtie à la fin du XVIe siècle.
En 1692, la ville est assiégée par le duc Victor-Amédée II de Savoie à partir du 6 août 1692, prise le 16 car à court de munitions et livrée au pillage. On y comptait sept paroisses ; trois ont été supprimées au XVIe siècle, deux au XVIIIe siècle, une au XIXe siècle.
La splendide cathédrale demeure sa seule église, mais l'on y voit aussi la chapelle du couvent des Cordeliers du XIIIe siècle, mutilée, mais où de belles fresques ont pu être restaurées ; un couvent de la Visitation ; un collège des jésuites, un hôpital. La citadelle fut déclassée en 1872. Les murailles de la ville, qui n’entouraient que le sommet de la cité épiscopale, sont rasées avec l’arrivée du chemin de fer, en 1882.. Embrun illustré par Alexandre Debelle (1805-1897).
En 1808, à la suite de troubles, le pouvoir napoléonien fait arrêter 167 hommes et garçons âgés de 15 à 90 ans, dans le village corse, d'Isolaccio-di-Fiumorbo. Un grand nombre d'entre eux va être déporté sur le continent, notamment à la maison centrale de détention d'Embrun. Plusieurs dizaines vont y mourir en quelques mois, les conditions de vie dans cette prison étant particulièrement difficiles.
Galaxie Tour Embrun www.radiogalaxie.org
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Cartes postales anciennes Embrun
Embrun, avenue de Pontfrache
Embrun, Bord du Roc (1917)
Embrun, Buffet d'Orgues de la Cathedrale, orgue
Embrun, Caserne Laharpe, Tour Brune
Embrun, Cathedrale, Autel des Victimes de la Guerre
Embrun, Cathedrale, Le Maitre Autel
Embrun, Cathedrale, Vue d'ensemble
Embrun, Cathedrale, Ornements du Tresor, XV et XVIe siecles
Embrun, Clocher de la cathédrale ? droite, caserne Vallier-La-Peyrouse (1903)
Embrun, Groupe d'habitations a bon marche, au fond, le Mont Guillaume (1934)
Embrun, Hotel-Restaurant Notre-Dame, Restaurant, Snack Bar, Salle de Seminaires
Embrun, Interieur de la Cathedrale, Autel de la Vierge
Embrun, Interieur de la Cathedrale, nef centrale
Embrun, La Cathedrale avec umliegenden des maisons
Embrun, Le Mont Aurel pris du Rond-Point de la Place de l'Archeveche
Embrun, Le Roc
Embrun, Le Roc, Montee des Molinos
Embrun, maison de repos de ValJoyeux, Pic d'Orel (1956)
Embrun, Nouvelles Habitations du Quartier des Jardins et Champbossu
Embrun, La Tour Brune, Ancien Donjon Archiepiscopal, XIIe siecle
Embrun, Le Champ de Mars, Caserne Delaroche (1928)
Embrun, Monument Clovis Hugues
Embrun, Maître-Autel de la Cathédrale (1928)
Embrun, Pont de la Clapiere sur la Durance (1907)
Embrun, Porche de la Cathedrale
Embrun, Porche de la Cathedrale, au fond, Caserne des Chasseurs Alpins
Embrun, Vue de dessous le Roc (1924)
Embrun, Vue generale
Alte Ansichtskarten Embrun
Old postcards Embrun
Stare pocztówki Embrun
La Photo qui Bouge/Les Dinosaures/Association Loi 1901
Tour Brune, Embrun 05, le 14/06/2013, 16h34
la viper du trottoir
la viper du trottoir
Résidence Le Balcon des Airelles 4* (Les Orres) I Travelski
Découvrez la résidence Le Balcon des Airelles aux Orres dans les Alpes du Sud !
A proximité du Parc National des Ecrins, la résidence Le Balcon des Airelles se trouve à 1700 m d'altitude. Elle est située dans le quartier du Bois Méan, dans la partie haute de la station des Orres.
La résidence offre un panorama sur la vallée et les massifs environnants.
Avec ascenseurs, elle est composée d'appartements agréables avec balcon. Elle dispose d'une piscine couverte et d'un sauna. Sur place également : salon d'accueil avec cheminée, pétanque, tennis de table.
A Découvrir : La Ferme du Pouzenc au Mélezet ; Eglise Ste Madeleine ; Vestiges du château au hameau du château ; Eglise Notre Dame au Mélezet ; Abbaye de Boscodon à Crots ; Cathédrale et Tour Brune à Embrun ; Concours de chiens de troupeaux ; Fête de l'Amontagnage au Grand vallon, Fête de la République, Fête de la Madeleine au chef-lieu, Fête des Pompiers, Fête des Rives...
Les Activités : Randonnées, VTT, Parapente, Parc de loisirs, Jungle aventure, Piscine, Tennis, Equitation, Via ferrata, quad, Tir à l'arc, Luge d'été, Rafting, Hydro speed, Kayak, Canoë, Planche à voile, Kite surf, Ski nautique, Location de bateaux, Baignades, Pêche...
Vintage French Nusic - A PARIS DANS CHAQUE by Dajos Bela
Vintage French Nusic - A PARIS DANS CHAQUE by Dajos Bela. A bit of a quandry here as to how to catagorize this recording. It is a French tune about Paris by a Russian band leader leading a German band and pressed on a Japanese label 78 rpm record. I'm going to call it French music. Enjoy!
Sur les crêtes de Lans-en-Vercors - DJI Mavic AIR
Survol des crêtes de Lans En Vercors à 1900m d'altitude.
HAUTES-ALPES // DJI MAVIC PRO ( Montgenèvre )
Prise de vue aérienne réalisé avec un drone dji mavic pro. Montgenèvre est située à proximité de la frontière franco-italienne à 1 860 mètres d'altitude.
musique M83 - Outro
4K, Mavic pro, les hautes alpes en drone
Voici une petite compilation d'images prises en drone dans les Hautes Alpes, en France
La Gère - Parcours n°2 (38)
Découverte d'un petit parcours de pêche sur la Gère (38) dans un environnement urbain et boisé.
Il n'est pas nécessaire de parcourir des kilomètres sur cette belle petite rivière calcaire pour trouver des truites. Avec une bonne lecture de l'eau, un peu de déduction et une progression poste par poste, les prises se succèdent.
La pratique est exclusivement NO KILL pour le plaisir de tous !
En savoir plus sur le parcours :
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Musique proposée par La Musique Libre
Ikson - Spring :
Ikson - Verge :
Ikson :
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Chronique Mgr Jean Michel di Falco Léandri Célibat
Dans sa chronique du 20 septembre 2013, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri aborde la question du mariage des prêtres.
Anna Malenfant - Dans Paris, y a t'une brune (Traditionnelle) (1945)
Le Québec d'autrefois - (1945) «Anna Malenfant naquit à Shédiac le 16 octobre 1902. En 1921, Mme Malenfant fit ses débuts dans l'opérette Le Mikado, de Gilbert et Sullivan. Elle reçut une bourse pour étudier à Boston en 1922; en novembre de la même année, Mme Malenfant alla poursuivre ses études à Paris et fit aussi des récitals dans les provinces Maritimes. En été 1925, Anna Malenfant retourna à Naples pour trois ans pour poursuivre ses études au Conservatoire.
En 1927, Anna Malenfant revint d'Europe et se joignit en 1932 à Lionel Daunais et à Ludovic Huot pour former le Trio Lyrique, spécialisé en mélodies folkloriques. Elle chanta aussi avec la Société des Concerts symphoniques de Montréal. Durant les années cinquante, Anna Malenfant commença à composer des chansons inspirées de folklores québécois et acadiens. Elle fut l'un des premiers artistes à rassembler les chansons du folklore acadien comme répertoire.
Anna Malenfant s'est fait valoir auprès de noms aussi célèbres que Enzio Pinza, Raoul Jobin et Jacques Gérard. Elle chanta le rôle Carmen de Bizet et incarna Marina du Boris Godunore avec le Metropolitan Opera. Elle commença sa carrière de pédagogue en 1955.
En 1959, Anna Malenfant prit un congé sabbatique à Rome. Elle remporta à son retour, en 1961, le grand prix de la chanson pour Trois jours et trois nuits. En 1962, Radio-Canada et les journaux québécois fêtèrent les trente ans du Trio Lyrique.»
Sur la photo de groupe (1933), de gauche à droite : Allan McIver (pianiste), Lionel Daunais (baryton), Anna Malenfant (contralto) et Ludovic Huot (ténor) qui a été remplacé par Jules Jacob dans les années 40.
Gaspard Dasonville - Dilemme Exquis [Clip Officiel]
Gaspard Dasonville - EP disponible
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DILEMME EXQUIS :
Dilemme exquis embrase ma bouche
Caresse de cuir ou de soie
Dilemme exquis pour mes doigts qui te touchent
Rubis de velours indien.
La faim au ventre, le ventre sur tes reins
Torpeur reptilienne en moi
Ces dunes fermes et suaves, contre mon poitrail,
Brûlant comme un feu de joie
Sur ta peau brune je dessine une rose chevauchant un loup blanc
Sauvagement, pris d'un effet fauve, je m'emporte et me répands
Dilemme exquis, dilemme exquis...
Allez viens ma perle, l'embrun s'est tût
Je n'ai plus rien dans la tête qu'une cigarette nue
La nuit sera longue, langoureusement moite
Les rideaux blancs immaculés sur le passage vont danser.
Sur ta peau brune je dessine une rose chevauchant un loup blanc
Sauvagement, pris d'un effet fauve, je m'emporte et me répands
Dilemme exquis, dilemme exquis...
Amour
Amour
André Varel, Charly Bailly
The French Song / Chronique de la Chanson Française - 1949, Vol. 26
Buylinks
Tracklist
1. Rien Dans les Mains, Rien Dans les Poches
Yves Montand
2. Amour
André Varel, Charly Bailly
3. Aujourd'hui Peut-Être
Fernand Sardou
4. La Fontaine aux Fées
Eliane Embrun
5. Le Pecheur
Eliane Embrun
6. Bal Dans Ma Rue
Edith Piaf
7. L'entrecôte
Les Freres Jacques
8. A la Mi Août
Ray Ventura
9. Maître Pierre
Compagnons
10. C'est Magique
Luis Mariano
11. L'orgue des Amoureux
Edith Piaf
12. Le Long de la Rivière
Armand Mestral
13. Argentine
Luis Mariano
14. Si J'étais une Cigarette
Eliane Embrun
15. Parce Que Ça Me Donne du Courage
Henri Salvador
16. Lis-Moi Dans la Main Tzigane
Marie José
17. Ma Guepière et Mes Longs Jupons
Yvette Giraud
18. La Bouteille
Lily Fayol
19. Toi et Moi
Georges Guetary
20. Si Tu T'imagines
Juliette Greco
21. Le Prisonnier de la Tour
Edith Piaf
22. Les Quais de la Seine
Lucienne Delyle
23. Les Feuilles Mortes
Yves Montand
24. Etoile des Neiges
Line Renaud
Ma premiere vidéo des prêtres
Vidéo des prêtres chanteurs de Gap avec photos.
Hautes Alpes 2019 [ DJI Mavic Air - 4K ]
Hautes Alpes hiver 2019
Drone - Mavic Air -
Notre-Dame d'Embrun
Images, animation et musique de Jean-Claude Verdure. Ma maison est par là !