Cité de La Cavalerie
LA CLEF DE VOÛTE. Situé au nord du plateau du causse de Larzac, La Cavalerie a été crée en 1154 par les Templiers de la commanderie de Sainte-Eulalie. Cavalaria en occitan, désignent les chevaliers du Temple.
Après l'édification d'une église, les Templiers érigèrent un château comme ils l'ont fait à La Couvertoirade et à Sainte-Eulalie. Le village s'est développé grâce aux terres cultivables et aux parcours qui l'entourent et à sa fonction hôtelière. Au carrefour des routes antiques et des voies de pèlerinage, les Templiers ont su profiter de sa situation stratégique de noeud de communication s'ouvrant sur le sud et les ports d'embarquement pour la Terre Sainte.
Après l'arrestation des Templiers, tout comme La Couvertoirade et Sainte-Eulalie, La Cavalerie fut fortifiée par les Hospitaliers vers 1435. C'est sans doute le même maître maçon, Déodat Alaux, qui érigea les murailles. Les fortifications forment une sorte de trapèze avec une tour à chaque sommet. Le clocher de l'église Templière faisait partie de ces tours et fermait le quadrilatère au sud est.
Après avoir subi d'importantes dégradations pendant les guerres de religion, les remparts sont aujourd'hui entièrement restaurés ainsi que le chemin de ronde. La Cité conserve aussi les maisons du XVe siècle, les hôtels du XVIIe, et l'Église Notre-Dame du Larzac construite au XVIIIe siècle. Remarquable par son intérieure comprenant une croix Hospitalière, l'église a conservée le chevet de l'église Templière.
Du château, il ne reste presque rien. Celui-ci se trouvait sur la petite place situé à côté de l'église. Seules quelques maisons dont une possédant une tourelle d'escalier en saillie se trouvant sur cette place ont des vestiges de ce château dans leurs structures et fondations.
LA CAVALERIE - AVEYRON - 16 octobre 2011.avi
La Cavalerie est une commune française, appartenant au département de l'Aveyron
les Templiers puis les Hospitaliers ont exploités les ressources agricoles de ce territoire via le travail des paysans de l'époque. Une commanderie fut fondée par les Templiers au douzième siècle dans laquelle s'est développé le bourg chef lieu de la commune actuelle comme en bien d'autres endroits. Elle a été fortifiée par les Hospitaliers au quinzième siècle. Les fortifications ont subi d'importantes dégradations pendant les guerres de religion.
Située au cœur de la riche Plaine du Temple, les Templiers ont su aussi profiter de sa situation stratégique de nœud de communication s'ouvrant sur le sud et les ports d'embarquement pour la Terre Sainte.
Les Templiers y ont développé un village, après y avoir bâti un château disparu depuis longtemps. Les Hospitaliers ont construit une muraille en grande partie conservée aujourd'hui : tours rondes rue du Portalou et des Remparts.
La Commanderie de La Cavalerie
C'est autour de l'église que se trouvait le château des Templiers. Celui-ci n'existait pratiquement plus à la révolution et ne consistait alors qu'en une petite maison de peu de valeur. Il y avait pourtant eu là un bâtiment important avec une tour grenier. Il reste malgré tout un vestige de l'époque des Templiers : une partie de l'église Sainte-Marie. Lorsque vous pénétrer dans l'église actuelle, reconstruite entre 1760 et 1768, observez bien le mur qui fait face à la porte. Celui-ci bâti en belles pierres quadrangulaires est percé d'une fenêtre en plein cintre actuellement murée. Il s'agit du mur du chevet plat de l'église des Templiers, seul vestige actuellement visible de cette époque
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Le Larzac - La Cavalerie - Roquefort - La Couvertoirade ( Aveyron)
Visite de La Cavalerie - Roquefort - La Couvertoirade - Le Larzac et ses brebis - (Aveyron)
La Cavalerie : XIIème siècle, édifiée par l'ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, actuellement Ordre de Malte. C'était à l'origine un corps de logis carré flanqué de quatre tours rondes - à proximité immédiate du Grand Viaduc de Millau -
La Couvertoirade : fondée en 1181 après avoir reçu en don un mas des seigneurs Richard de Montpaon et Brenguier de Molnar. En 1249, les Templiers de Sainte-Eulalie construisirent un château, une chapelle, et fortifièrent le village. Peu après 1307, les Templiers furent arrêtés et emprisonnés au château de Najac, leurs biens furent confisqués.
L'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem reçurent la commanderie suite à la dissolution de l'Ordre du Temple. Ils construisirent les fortifications afin de protéger la trentaine de familles qui habitaient dans le village. La construction du château fut achevée en 1249. Il comportait un petit donjon- C'est l'un des rares châteaux construits par les Templiers en France.
L'église a été rebâtie par les Hospitaliers au XIVe siècle -
Roquefort : Situé dans le Parc naturel régional des Grands Causses, la cité fromagère de Roquefort, altitude 630 mètres, 679 habitants, s'étire au flanc du célèbre éboulis du Rocher du Combalou, au sud du Larzac.
lien site
Le Fort de Seclin
Le Fort de Seclin, appelé aussi Fort Duhoux, est un fort semi enterré situé à Seclin qui faisait partie d'une ceinture de forts qui entourait Lille.
Fortification lilloise du système Séré de Rivières, il fut construit entre 1873 et 1875. D'une superficie de cinq hectares sur une emprise de 17 hectares, le fort était notamment équipé d'une boulangerie et d'une infirmerie et pouvait contenir un millier de soldats et leurs chevaux. À la fin du XIXe siècle, le fort ne fut pas adapté à l'évolution de l'artillerie. Occupé par un régiment bavarois lors de la Première Guerre mondiale, il a été libéré par les Anglais le 17 octobre 1918.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, il a servi d'annexe à la prison de Loos et 69 prisonniers y ont été fusillés, dont les saboteurs ascquois. Officiellement démilitarisé en 1989, il est ensuite laissé à l'abandon avant d'être acquis par des particuliers en 1996. Il est depuis patiemment restauré par ses acquéreurs et est aujourd'hui le seul exemple de fort de la défense de Lille en très bon état.
Depuis octobre 2003, ses propriétaires y ont ouvert un centre historique sur l'artillerie, la cavalerie et l'infanterie de 1870 à 1920, mais principalement sur la Première Guerre mondiale, le Centre historique de la cavalerie et de l'artillerie.
La Cavalerie. Village Templiers. #Templiers 5/5
Installation des Templiers en 1180, lorsqu’il est mentionné l’existence de l’église dans le village fondé par l’Ordre. Après l’édification de cette église, les Templiers érigeront un « château » comme ils l’ont fait à Sainte-Eulalie.
De ce château, il ne reste rien. Celui-ci se trouvait sur la petite place située à côté de l’église. Seules quelques maisons dont une possédant une tourelle d’escalier en saillie se trouvant sur cette place ont des vestiges de ce château dans leurs structures et fondations.
Tout comme La Couvertoirade et Sainte-Eulalie, La Cavalerie fur fortifiée vers 1435, sans doute par le même
maître maçon, Daurde Alaus, qui érigea les murailles de Sainte-Eulalie.
Ces fortifications formaient une sorte de trapèze avec une tour à chaque sommet. Le clocher de l’église faisait partie de ces tours et fermait le quadrilatère au sud est.
Vers 1580, les murailles, à l’exception des tours, furent démantelées.
Les quatre premiers volets du circuit des #Templiers :
Saint-Jean d'Alcas. Village Templiers. #Templiers 4 :
Sainte-Eulalie-de-Cernon. Visite et EXPO. #Templiers 3 :
La Couvertoirade #Templiers 2 :
Tour grenier du Viala-du-Pas-de-Jaux. Visite #Templiers 1 :
Si vous y êtes déjà allés, cela vous rappellera de très beaux souvenirs sinon allez-y !
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#Millau #Templiers
Le Rozier (Lozère) : Revivez ces magnifiques paysages ... vautours en prime ! Rocher de Capluc, etc :
Point Sublime de la Corniche du Causse Noir, Veyreau ❤️ nombreux vautours ❤️, Randonnée Visorando :
MONUMENT CHARGE CAVALERIE 1897
« Le journal d’un tertio de l’armée espagnol » film sur les FORTIFICATIONS BASTIONNEES
Ce film prend la forme d’un docu-fiction didactique : les donnés sont historiques, réelles mais portées par la forme narrative d’une fiction. L’intérêt de cette typologie est un mélange des formes multimédia, permettant de comprendre et de vivre une situation.
Dans le cadre de ses actions de sensibilisation du grand public aux spécificités du patrimoine varois, le CAUE VAR propose, afin de compléter son offre pédagogique relative aux ouvrages militaires du Département, de faire réaliser un film d’animation consacré au patrimoine Varois : citadelles et fortifications.
C'est pas sorcier -FORTIFICATIONS DE VAUBAN
La chaine officielle de l'émission de France 3.
C'est pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science.
Sébastien le Pestre de Vauban était commissaire aux fortifications au temps de Louis XIV. Partout autour des frontières françaises, il fit protéger les villes en y construisant des remparts aux formes curieuses. Fred et Jamy partent explorer les constructions de ce brillant ingénieur, qui fut à la fois un architecte talentueux et un fin stratège militaire.Mission
Fred est parti à la découverte de l'une des plus belles places fortifiées construites par Vauban : celle de Saint-Martin de Ré, sur l'île de Ré. Glacis, chemins couverts et passages secrets... il explore les remparts dans leurs moindres détails pour nous raconter comment on défendait ces citadelles sous Louis XIV. Nous le retrouvons tout près de l'île d'Oléron, au fort de Chapus. Là, il nous explique comment Vauban a assuré la défense du littoral charentais en construisant en pleine mer, dans des conditions particulièrement difficiles, des petits forts destinés à barrer le passage aux bateaux ennemis.
On sort l'artillerie lourde
Des soldats de la guerre de 1812 participent à une compétition amicale pour déterminer qui pourra tirer du plus gros canon.
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Domme - Une Bastide Perchée
LA CLEF DE VOÛTE. Perchée sur les hauteurs d'une falaise vertigineuse et surplombant les méandres de la Dordogne, la nature a fait du mont de Domme le site idéal pour une place forte. Domme est une bastide (ville neuve fondée sur décision royale) élevée en 1281 par le roi de France Philippe II le Hardi contre la menace anglaise. Dès sa création, Domme se voit accorder des privilèges comme celui de battre sa propre monnaie, d'avoir des consuls, administrateurs et juges, ainsi que des exemptions.
La Bastide de Domme a du se conformer aux exigences du site. De ce fait, elle ne possède pas le plan régulier des autres bastides de la région : au lieu d'être carrée ou rectangulaire, elle est en forme de trapèze, et les rues suivent autant que possible un plan géométrique. Les fortifications son adaptées à la configuration naturelle du site en prenant appui sur les assises rocheuses affleurant ça et là. Son édification, commencée en 1283, pose de nombreux problèmes techniques. Ce n'est qu'en 1310 que la construction de l'enceinte est achevée.
Le site de Domme constituait un emplacement hautement stratégique qui semblait idéal pour contrecarrer les velléités d'expansion anglo-gasconnes. Et pourtant, sa position privilégiée n'empêcha pas la bastide d'être prise et reprise plusieurs fois. Dès 1346, les Anglais s'emparent de la ville et celle-ci devient tour à tour bastide anglaise ou française. Ce n'est qu'en 1438 que la bastide redevient définitivement française.
L'ensemble fortifié de la ville est en parti démantelé à la fin des guerres de Religion mais les remparts restent aujourd'hui assez complet dans les parties sud et est. Ils sont percées de trois portes : la Porte des Tours, l'une des plus belles du Périgord (cette porte est flanquée de deux grosses tours à bossage du XIIIe siècle qui abritaient la garnison et pouvaient servir de prison comme en témoignent les énigmatiques graffitis laissés par des prisonniers Templiers enfermés ici entre 1307 et 1318), la Porte de la Combe, et la Porte del Bos qui signifie du bois en français (elle était située à proximité d'un bois où furent pendus les traîtres qui livrèrent Domme aux Anglais en 1346).
À l'intérieur de la bastide subsistent de belles maisons anciennes de style roman et Renaissance. Près de la place de la Rode, la maison du batteur de monnaie témoigne des privilèges commerciaux octroyés à ces nouvelles villes. Construite en 1282, cette maison est l'endroit où l'on battait les pièces de cuir noir pour payer les bâtisseurs de la cité. Situé dans la ville basse, la place de Rode est l'une des deux places de la bastide. Elle est non seulement le lieu des supplices (place de «la Roue») mais aussi celle des foires qui s'y tenaient, quatre fois l'an, sur décision royale.
Sur la place de la Halle, située sur la partie haute de la ville, là où vivaient les notables, l'Hôtel du Gouverneur, construite au XVe siècle, a été surélevée d'une haute tour carrée au XVIe. La veille Halle occupe le centre de la place depuis le XVIIe. Elle devait servir de marché couvert au rez-de-chaussée et, à l'étage, de maison commune où se réunissait les autorités. Une rangée de colonnes en pierres sculptées supporte le balcon et une galerie en charpente. Aujourd'hui elle abrite l'entrée des grottes.
Comme pour la plus part des bastides, l'église n'est pas implanté au bord de la place centrale mais légèrement à l'écart. Construite avec les pierres de l'ancienne église détruite pendant les guerres de Religions, elle présente une façade constituée d'un clocher-mur. Le fronton de l'église porte la date de sa construction, soit 1622, et le porche d'entrée celle de 1883, année de sa restauration. L'édifice est composé d'une nef unique avec quatre chapelles latérales voûtées en pierre. La nef est couverte d'une voûte en pierre dressée en berceau surbaissé, percée de quatre fenêtres à pénétration. La Sainte Vierge fut de tout temps très honoré à Domme. Aussi l'église paroissiale a-t-elle pour patronne et titulaire Notre-Dame de l'Assomption.
En passant devant l'église on accède ensuite au belvédère de la Barre, qui s'élève à 212 mètres au-dessus du niveau de la mer et à 150 mètres au-dessus de la rivière. De là, le panorama embrasse un cirque de plus de 40 kilomètres sur la vallée de la Dordogne, avec des champs bien travaillés et des châteaux bien cachés. Depuis ce sommet, on a du mal à imaginer qu'une grande cavité se trouve juste au-dessous. C'est qu'une grande grotte naturelle s'étend entièrement sous la bastide de Domme.
Domme connaîtra la prospérité jusqu'au XVIIe siècle puis périclitera. Hors des grandes voies de communication, sans industries, la cité s'assoupira, victime de l'exode rural. Domme a traversé les siècles sans presque subir les ravages du temps et s'offre à nous telle qu'elle était au Moyen Âge.
1/3 Le maréchal de Turenne (1630-1675) Royaume de France
Le maréchal Henri de Turenne (première partie). Un jour dans l'Histoire sur Canal Académie d'Anne Jouffroy avec Yves-Marie Bercé (historien). 04.09.2011
« Je me suis appliqué à apprendre sous lui le métier de la guerre. »
(Louis XIV)
Turenne, né le 11 septembre 1611, mort au champ d'honneur en 1675, connaît un statut particulier parmi les plus prestigieux chefs militaires qui ont servi la France.
Frédéric II, Voltaire, Napoléon, Clausewitz lui rendirent hommage. Le général Weygand, de l'Académie française, écrivit en 1926 sa biographie : « Un courage moral et une fermeté de caractère exceptionnelle. Or, l'équilibre entre les talents et le caractère est justement [...] ce qui fait les grands généraux. »
Pourquoi, aussitôt disparu, Turenne est-il entré dans la légende ? Yves-Marie Bercé, de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, évoque son génie militaire, son rôle dans l'organisation des armées du royaume, ses vertus intimes et sa postérité.
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invité:
*Yves-Marie Bercé
historien
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livres:
*Le XVIIe siècle 1620-1740 : De la Contre-Réforme aux Lumières
Yves-Marie Bercé
Hachette
2005
*Turenne
Jean Bérenger
Fayard
1987
*Conde, Turenne et autres figures illustres
Saint-Evremond
Desjonquères
2003
*Turenne
général Weygand
Flammarion
1926
*La Vie du Vicomte de Turenne : Maréchal, General des Camps & Armées de Roi, Colonel General de la Cavalerie Legere de France, & Gouverneur du Haut & Bas Limosin
Gatien Courtilz de Sandras
University of Michigan Library
2009
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internet:
*Histoire de Turenne
Just-Jean-Étienne Roy
Lefort
1850
LES BLOCKHAUS ALLEMANDS 14-18 DANS LES WEPPES (59)
Un nombre important d'abris bétonnés édifiés par les Allemands pendant la Grande Guerre existe encore aujourd'hui dans les Weppes et sur les confins de la plaine de la Lys, à proximité notamment de la rivière des Layes. Une ligne d'abris (Wotan Stellung) est même repérable sur la crête qui relie Radinghem à Aubers et se prolonge notamment vers Illies et Lorgies. Cette ligne fortifiée, dont certains abris ont été édifiés en 1917, a fait l'objet le 19 juillet 2013 d'une visite de la part de la chaîne belge RTL TV. Les journalistes, guidés par une équipe de l'association l'A.T.B.14-18, ont incorporé cette séquence dans le film intitulé « Les disparus de la Grande Guerre ». En voici un extrait. ATTENTION : dans la plus grande majorité des cas, les abris allemands sont localisés sur des terrains privés dont l'accès est de ce fait strictement réglementé.
Merci à RTL TV pour la qualité de cette séquence.
La Couvertoirade - Templar City
LE CHEMIN DE RONDE. La Couvertoirade is a medieval fortified village located at the confines of the Larzac plateau. The village has played an important role in this part of the Midi-Pyrenees since the 13th century when the castle was built by a chapter of the medieval Knights Templar located here which played a key role in the development of La Couvertoirade.
By the 15th century the village was in the hands of the Hospitaliers who took over the Templar when they were banned in 1312. The Knights of Saint John of Jerusalem built the ramparts between 1439 and 1450, and La Couvertoirade continued to be an important local center until the 17th century. The ramparts and the incorporated towers, some square and some round, still encircle the city.
Although the castle was constructed by the Templar Knights at the end of the 12th century, the Saint-Christophe church dates was built by the Hospitaliers Knights in the 14th century opposite the castle. Take a look at the church cemetery which is cut in two by the fortifications that were built subsequently - part of the cemetery is inside the walls and part outside. The small cemetery is certainly one of the interesting sites of the city with is steles discoidal. The stone crosses craved with Templar signs mark old graves forgotten in the soil.
The remainder of La Couvertoirade and the fortifications were then built a few decades later. The walk around the top of the ramparts is unmissable for views it provides both across the rooftops of the city and the countryside. You can access the walk, called Le Chemin de Ronde, via one of the grandest houses in the village. This is the 15th century Maison de la Scipione, built against the ramparts and once home to an important nobleman.
Back down in the village itself there are numerous very picturesque stone houses date from the 15th to 17th centuries. One particular feature you will see as you explore the village within the walls is the number of houses that have an external stone staircase leading to the first floor, originally used for habitation, while the ground floor was kept for livestock.
La Couvertoirade is one of the most beautiful village in France (un des plus beaux villages) and it is one of the finest medieval fortified villages that can be found in this country.
La citadelle de Corte se dévoile
À travers la citadelle de Corte, 600ans d’Histoire nous contemple. À travers plusieurs expositions, pour tous les âges, la citadelle de la cité se dévoile aux visiteurs. Une exposition et un film expliquent la genèse et l’histoire de cette bâtisse. Point d’orgue de cette anniversaire, l’ouverture du chemin allant du Musée de la Corse jusqu’au nid d’aigle. Une citadelle qui bénéficiera également d’aménagements dans le cadre du programme « Citadella 2021 » pour la rendre plus attractive et la replacer au cœur de la vie cortenaise.
Interview de Gérard Giorgetti : Commissaire de l’exposition
Interview de Marion Trannoy-Voisin : Directrice du Musée de la Corse.
Interview de Josepha Giacometti : Conseillère Exécutive culture, patrimoine, éducation, formation.
Sainte-Eulalie-de-Cernon - Les Bâtiments Religieux et Militaires
LE CHEMIN DE RONDE. L'Ordre du Temple s'installe à Sainte-Eulalie en 1153, village situé au pied du plateau du Larzac, au bord de la rivière du Cernon, lorsque Raymond, abbé de Gelonne, donne aux Templiers l'Église Sainte-Eulalie moyennant une rente.
En 1159, Raymond Berenger, comte de Barcelone et roi d'Aragon donne au Temple tout le village de Sainte-Eulalie ainsi que toutes ses possessions sur le Larzac. Cette donation autorise les Templiers à bâtir villes et fortifications sur le plateau. Les Templiers parviennent donc à devenir les principaux propriétaires fonciers du Larzac et y développent l'habitat principalement composé à cette époque de petits hameaux et d'exploitations agricoles isolées.
En arrivant à Sainte-Eulalie, les Templiers vont tout d'abord effectuer des travaux d'agrandissement de la petite église et bâtir un château contenant les bâtiments de la Commanderie. Celui-ci se présente sous la forme d'un quadrilatère bordé à l'est par la place du village. À l'origine, ce quadrilatère était flanqué de tours carrées à chacun de ses angles à l'exception d'un seul où se trouvait le chevet de l'église. La partie de la Commanderie, c'est à dire celle qui donne sur la place, était constitué du bâtiment comprenant le dortoir et le réfectoire des chevaliers. Le dernier étage du bâtiment servait de maison pour le commandeur. La partie nord du quadrilatère est occupée par l'église et les deux autres côtés sont les logements pour les servants ainsi que les écuries, étables, bergeries, forge, et autres bâtiments agricoles.
Pendant 150 ans, les Templiers vont regrouper les populations éparses autour de lieux comme La Couvertoirade et La Cavalerie. Structurant l'espace agricole, la Commanderie deviendra une des plus puissantes du sud de la France. C'est une région importante pour les Templiers car, non acquise alors à l'autorité pontificale, elle doit assurer le ravitaillement des établissements d'Orient en Terre Sainte, par la vallée du Rhône et le port de Marseille, en produits de la terre, foin, froment, chevaux, mais aussi en biens divers.
Après l'arrestation des Templiers en 1307 et l'abolition de l'Ordre en 1312 par le pape Clément V, Sainte-Eulalie passe sous domination Hospitalière de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Les Hospitaliers vont poursuivre l'aménagement du village. Comme pour La Couvertoirade et La Cavalerie, les Hospitaliers eurent l'autorisation d'élever des murailles autour du bourg afin de le prémunir des attaques des mercenaires et des routiers sillonnant la régions au cours de la guerre de Cent Ans (1338-1453). Un document, conservé dans les archives, reprend l'ensemble des accords passés entre un maître maçon, Déodat Alaux de Saint-Beauzély et les bourgeois de la ville, sous l'autorité du Prieur de Saint-Gilles, Bertrand d'Arpajou, pour la construction de cette murailles (1442-1450) qui nous est arrivée aujourd'hui presque intactes.
De l'époque des Templiers subsiste toute l'aile nord avec son église romane et une tour grenier. Le sens de l'église à été inversé et le cœur à été percé d'une grande porte surmontée d'une Vierge venant de Gênes, lors de traveaux exécutés en 1642 à la demande du commandeur Jean de Berney Villeneuve. Le portail baroque ouvre ainsi sur la place, à l'emplacement de l'ancien cimetière des Templiers, où se tient une fontaine de pierre du XVIIe siècle plutôt inattendue sur le Larzac. La Cité conserve aussi la cour intérieure de la Commanderie et le bâtiment communautaire avec ses 4 salles: la salle des fresques, la chambre des capucins, l'échauguette et ses graffitis d'églises, le dortoir des moines et la salle d'honneur de la commanderie.
Les Lignes de Wellington - Bande annonce VOSTFR
Sortie dans les salles françaises le 21 novembre 2012 - France / Portugal - 2h31
Septembre 1810 - Les troupes de Napoléon Bonaparte envahissent le Portugal. Alliée aux Anglais, l'armée portugaise est dirigée par le Général Wellington. Celui-ci élabore une ingénieuse stratégie afin d'arrêter l'armée impériale et protéger Lisbonne : il ordonne un retrait des troupes en marche forcée, afin d'attirer l'ennemi à Torres Vedras, où il a fait construire en secret plusieurs lignes de fortifications infranchissables...
patrouille de France 14 Juillet 2014 Cambrai
patrouille de France 14 Juillet 2014 Cambrai
Harfleur, une place forte au Moyen Âge
Harfleur, port de l’estuaire de la Seine, occupe au Moyen Âge, une place stratégique tant au niveau commercial que militaire. Devant la menace anglaise lors de la Guerre de Cent ans, la ville a été fortifiée. Les vestiges mis au jour concernent des habitations, mais aussi la muraille et ses profondes modifications entre le XIVe et le XVIe siècle.
Intervenants :
Jean-Yves Langlois, archéologue, responsable de recherche archéologique, Inrap
Bruno Duvernois, directeur du patrimoine, ville de Harfleur
Plus d'informations sur et
La Couvertoirade - Cité Templière
LA CLEF DE VOÛTE. Située aux confins du plateau du causse de Larzac, la Cité de La Couvertoirade reflète la puissance militaire des Templiers et le quotidien des Hospitaliers. La Couvertoirade constitue une véritable miniature de la ville médiévale.
Les chevaliers du Temple sont présents à La Couvertoirade dès la deuxième moitié du XIIe siècle. Leur implantation en ce lieu est due d'une part à la proximité de routes permettant de descendre vers la côte méditerranéenne pour s'embarquer vers l'Orient et la Terre Sainte, et d'autre part à la présence de terres cultivables, d'eau, et d'un rocher convenant à la construction d'un château (édifié en 1249). Le village va se développer au pied du château et de l'église, tous deux construits sur le même rocher.
À la suite du complot géant ourdi par Philippe le Bel contre les Templiers, l'Ordre du Temple est supprimé au concile de Vienne en 1312 par le pape Clément V. La commanderie de Sainte-Eulalie dont fait partie La Couvertoirade passe aux mains des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.
Succédant aux Templiers, les Hospitaliers ont poursuivi l'aménagement de La Couvertoirade. Au XVe siècle, en raison du climat d'insécurité qui règne à l'époque de la guerre de Cent Ans (1338-1453), les Hospitaliers décident de faire fortifier le bourg. Remparts, tours d'angles et portes fortifiées enserrant le village seront construits de 1439 à 1442. C'est Déodat Alaux maître maçon de Saint-Beauzély qui fut chargé d'exécuter les travaux.
L'Église Saint-Christophe est venue remplacer l'ancienne église subsistant aujourd'hui sous forme de vestiges à l'extérieur des remparts. Cette nouvelle église, en partie creusée dans les rochers, est adossée aux remparts et fait face au château. D'ailleurs, au dessus de la croisée d'ogives du choeur, se trouve une tour de défense intégrée aux fortifications. La clef de voûte de sa nef est ornée de la croix de l'ordre de Malte.
Le cimetière de l'église est orné de stèles discoïdales moyenâgeuses gravées, typiques de la région. La particularité de ce cimetière très ancien, outre ses monuments funéraires, est qu'il a été coupé en deux lors de l'édification des remparts en 1440, tout autre tracé étant jugé à l'époque grandement préjudiciable et même inefficace. Le muret actuel du cimetière, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur des remparts, en porte témoignage.
Aujourd'hui le château est en mauvais état. Mais la Cité conserve en excellente condition le mur d'enceinte et son chemin de ronde, l'Église Saint-Christophe et son cimetière, les ruelles et les maisons en pierres, les aménagements liées à la collecte de l'eau, ainsi qu'un moulin à vent du XVIIe siècle.
Pharsale, ou quand César se fait Pompée
La bataille de Pharsale a lieu le 9 août -48 en Thessalie, au Nord de la Grèce. Opposant César et Pompée lors de la guerre civile qui les oppose, elle voit le premier porter un coup fatal au second, qui y perd la presque totalité de son armée. Pourtant, César se trouve en grande infériorité numérique : 22 000 hommes et 1 800 cavaliers contre 45 000 hommes et 7 000 cavaliers, mais la création d'une quatrième ligne d'infanterie cachée et le repli stratégique de sa cavalerie, ainsi que le professionnalisme de ses soldats, vont lui donner la victoire contre les jeunes recrues de son adversaire. La bataille se solde donc par 1 200 morts du côté de César, pour 6 000 morts et de nombreux hommes fait prisonniers du coté de Pompée.
Vidéo réalisée en featuring avec Cata men (le Dr Vanderbuch), Daniel (ZORRO !!!!!) et Jeremy.
La chaîne de Cata men :