Vacation In The Ardennes: The Tunnels Of Philippeville
Located under the small town of Philippeville are tunnels from the 17th century, they connected the settlement of Philippeville and its outposts in times of war... More info:
This day it was very warm (26 Degrees Celcius) but below in the tunnels it was a nice constant 15 Degrees, my Kodak Playsport is not suited for low light filming but it managed to do alright. Sometimes you will see me filming clumps of cement with a fingerprint in it, these are the actual fingerprints from the builders back in the 17th Century, these where their signatures that they build this section/tunnel.
Un Beau jour à Bouillon avec ma Zina
Bouillon (en wallon Bouyon) est une ville francophone de Belgique, située en Région wallonne dans la province de Luxembourg.
La localité est un centre touristique important, notamment pour son célèbre château qui domine la Semois du haut de son rocher.
Le duc Godefroy de Bouillon, avoué du Saint-Sépulcre, est le personnage le plus célèbre de la localité. Il a vendu son château à l'évêché de Liège pour financer la première croisade, en 1099. La légende prétend qu'il serait né en Ardenne, légende qui trouve son origine dans les écrits de Jacques de Vitry qui trouva commode pour convaincre les gens originaires de l'évêché de Liège du bienfondé d'une participation à la croisade contre les Albigeois de manipuler un peu l'histoire et de faire naître ce personnage héroïque en bord de Meuse
Au Moyen Âge, Bouillon était une seigneurie de Lotharingie et le siège principal de la dynastie des Ardennes-Bouillon aux xe et xie siècles. Au xie siècle, ils dominaient la région et tenaient le titre de duc ainsi que de nombreux autres titres dans la région. Bouillon était la concentration dominante urbaine dans les possessions du duc5.
Une erreur courante est de croire que Bouillon était un comté. Bien que les seigneurs de Bouillon fussent fréquemment des comtes et des ducs, Bouillon en lui-même n'était cependant pas un comté. La fortification de Bouillon étaient, avec le comté de Verdun, le noyau central des possessions de la dynastie des Ardennes-Bouillon, et ils combinaient leur territoire avec une mixture complexe de fiefs, de terres allodiales et d'autres droits héréditaires à travers toute la zone. Un exemple de cela est l'avouerie du monastère de Saint-Hubert, qui a été donné à Godefroy II par le prince-évêque de Liège6.
Le plus connu des seigneurs de Bouillon était Godefroy de Bouillon qui vendit Bouillon à la principauté de Liège. Les évêques commencèrent alors à s'appeler eux-mêmes Ducs de Bouillon, et la ville devint la capitale d'un duché souverain en 1678, quand il fut pris par l'armée française, et donné à la famille de La Tour d'Auvergne. Le duché était prisé pour sa position stratégique en tant que « clé des Ardennes » (appelée ainsi par Vauban, le grand architecte militaire de Louis XIV, qui entoura Bouillon d'une enceinte laquelle fut rasée au xixe siècle) et ainsi donc de la France. Il est resté un protectorat quasi indépendant, comme Orange ou Monaco, jusqu'en 1795 quand l'armée républicaine l'a finalement annexée à la France.
En 1814, Bouillon resta française, dans le département des Ardennes. En 1815, au second traité de Paris, elle fut rattachée au Royaume des Pays-Bas en même temps que Mariembourg, Fagnolle, Philippeville et Couvin. Lors de la Révolution belge de 1830, Bouillon devint belge.
Plan ancien de la ville fortifiée et du château fort.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le 10 mai 1940, les Allemands envahissent la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg. La Belgique autorise immédiatement les armées alliés à pénétrer sur son territoire et c'est ainsi que des Français dépendant de la 5e division légère de cavalerie défendent Bouillon7 le 11 mai 1940 ; pour les Allemands, Bouillon se situe sur la route de la 1re Panzerdivision7, une unité du XIX. Armee-Korps (mot.) qui a pour objectif de traverser la Meuse au niveau de Sedan. Les défenseurs font sauter le pont après le repli des derniers éléments français depuis la rive nord de la Semois poursuivis par les Allemands8, si bien qu'un char allemand est détruit dans la destruction tardive d'un pont7. La faible profondeur de la rivière permet toutefois aux blindés allemands de la traverser en divers points, ce qui, avec l'appui de l'artillerie et des Stuka, force les défenseurs à se replier de Bouillon vers 22 h, ce 11 mai 19407. Les Français réagissent à la prise de Bouillon par 270 tirs d'artillerie de 155 mm du IVe groupe du 110e régiment d'artillerie lourde hippomobile depuis Torcy (Sedan), qui, s'il a des effets sur les Allemands, provoque aussi de nombreuses destructions dans la ville7. Le lendemain, fantassins (du I./Schützen-Regiment 1) et chars allemands franchissent la rivière à gué avec le soutien de l'artillerie (II./Artillerie-Regiment 73) et finissent de s'emparer de Bouillon