Places to see in ( Lourdes - France )
Places to see in ( Lourdes - France )
Lourdes is a town in southwestern France, in the foothills of the Pyrenees mountains. It’s known for the Sanctuaires Notre-Dame de Lourdes, or the Domain, a major Catholic pilgrimage site. Each year, millions visit the Grotto of Massabielle (Grotto of the Apparitions) where, in 1858, the Virgin Mary is said to have appeared to a local woman. In the grotto, pilgrims can drink or bathe in water flowing from a spring.
Lourdes is a small market town lying in the foothills of the Pyrenees. It is part of the Hautes-Pyrénées department in the Occitanie region in south-western France. Prior to the mid-19th century, the town was best known for the Château fort de Lourdes, a fortified castle that rises up from a rocky escarpment at its center.
In 1858 Lourdes rose to prominence in France and abroad due to the Marian apparitions claimed to have been seen by the peasant girl Bernadette Soubirous, who was later canonized. Shortly thereafter the city with the Sanctuary of Our Lady of Lourdes became one of the world's most important sites of pilgrimage and religious tourism. Today Lourdes hosts around six million visitors every year from all corners of the world. This constant stream of pilgrims and tourists transformed quiet Lourdes into the second most important center of tourism in France, second only to Paris, and the third most important site of international Catholic pilgrimage after Rome and the Holy Land. As of 2011, of French cities only Paris had more hotel capacity.
According to believers, the Virgin Mary appeared to Marie-Bernadette Soubirous on a total of eighteen occasions at Lourdes. Lourdes has become a major place of Roman Catholic pilgrimage and of miraculous healings. The 150th Jubilee of the first apparition took place on 11 February 2008 with an outdoor Mass attended by approximately 45,000 pilgrims.
Lourdes is located in southern France in the foothills of the Pyrenees mountains near the prime meridian. It is overlooked from the south by the Pyrenean peaks of Aneto, Montaigu, and Vignemale (3,298 m), while around the town there are three summits reaching up to 1,000 m (3,280.84 ft) which are known as the Béout, the Petit Jer (with its three crosses) and the Grand Jer (with its single cross) which overlook the town. The Grand Jer is accessible via the funicular railway of the Pic du Jer. The Béout was once accessible by cable car, although this has fallen into disrepair. A pavilion is still visible on the summit.
The current municipal area of Lourdes was inhabited in prehistoric times. In Roman times it had to be, since the first century BC, an oppidum hill where today stands the fortress, as it is testified by the numerous finds came to light in the second half of the nineteenth century (remains of walls, fragments of statues and tombstones). At the foot of the citadel stood a pagan temple dedicated to the gods of water, whose buildings have come partially to light soon after the demolition of the parish of Saint Pierre
Yearly from March to October the Sanctuary of Our Lady of Lourdes is a place of mass pilgrimage from Europe and other parts of the world. The spring water from the grotto is believed by some to possess healing properties. The five-domed St. Mary's Ukrainian Catholic Church in Lourdes was designed by Myroslav Nimciv, while its Byzantine interior polychrome decorations were executed by artist Jerzy Nowosielski. The church is about a 10-minute walk from the basilica and the grotto, on a street named in honour of Ukraine, 8 Rue de l'Ukraine, situated on a narrow piece of property close to the railroad station. Visible from the basilica, the height of the building makes up for its breadth.
Alot to see in Lourdes such as :
Sanctuary of Our Lady of Lourdes
Rosary Basilica
Ossau Valley
Château fort de Lourdes
Funiculaire du Pic du Jer
Basilica of St. Pius X
Jardin Massey
Musée de Cire
Le Cachot
Musée du Petit Lourdes
Maison Paternelle Sainte-Bernadette
Musée de la Médaille Miraculeuse
Pyrénées Animal Park
Massabielle Grotto
Grottes de Bétharram
Castle Fort Pyrenean Museum
Réserve naturelle régionale du massif du Pibeste-Aoulhet
Église Sainte-Bernadette de Lourdes
Musee Sainte Bernadette
Abri Saint Michel
La Ferme Du bon'air
Sanctuaire de Notre-Dame de Bétharram
The Rose Garden of St. Vincent
Téléphérique du Béout
( Lourdes - France ) is well know as a tourist destination because of the variety of places you can enjoy while you are visiting Lourdes . Through a series of videos we will try to show you recommended places to visit in Lourdes - France
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Bibliothèque Sainte Geneviève Vue du ciel
Bibliothèque Sainte-Geneviève
La fondation d'une basilique dédiée aux apôtres Pierre et Paul, au début du vie siècle, par Clovis est à l'origine de l’abbaye Sainte-Geneviève de Paris. Inhumée dans la crypte en 502, sainte Geneviève a donné son nom à la basilique, à l'abbaye et à la bibliothèque.
L'existence d'une bibliothèque dans l'abbaye n'est attestée qu'au xiie siècle, avec un manuscrit, aujourd'hui à la bibliothèque municipale de Soissons, portant son ex-libris. On peut cependant imaginer que la première basilique disposait de quelques manuscrits pour le culte, Clotilde ayant commandité une Vie de sainte Geneviève dix-huit ans après la mort de cette dernière.
En 831, apparaît la première mention objective de livres sous forme du legs de trois ouvrages à l'abbaye par Angésise, abbé de Fontenelle. Une cellule fait probablement office de scriptorium, sans que l'on puisse vraiment parler d'atelier. Le développement culturel propre à l'époque carolingienne est freiné par les invasions vikings.
C'est le cardinal de La Rochefoucauld, évêque de Senlis, entré en possession de l'abbaye en 1619, qui réinstitue véritablement la bibliothèque en 1624, à laquelle, après un dépôt initial de 600 volumes, il lègue en 1640 l'ensemble de ses collections et archives personnelles.
Les collections s'accroissent ensuite jusqu'à la Révolution, sous l'impulsion de ses bibliothécaires successifs. Jean Fronteau exerce ses fonctions de 1648 à 1662, mais, à partir de 1654, il n'est présent qu'une partie de l'année en raison du semi-exil auquel il a été condamné pour fait de jansénisme.
Il est un acteur majeur dans la controverse touchant l'auteur de l'Imitation de Jésus-Christ, dont la bibliothèque actuelle possède plus de mille éditions. En 1660, Claude du Molinet fonde un cabinet de curiosités attenant à la bibliothèque et en dresse le catalogue. À sa mort, en 1687, la bibliothèque compte 20 000 volumes, dont 400 manuscrits, et plusieurs milliers d'estampes.
Au xviiie siècle la bibliothèque est, parmi les premières à Paris, ouverte au public. La seconde moitié du siècle est marquée par la personnalité de son bibliothécaire, le père Alexandre-Guy Pingré (1711-1796), membre de l'Académie des sciences, qui accroît considérablement les collections scientifiques de Sainte-Geneviève. En outre, c’est à son entregent que la bibliothèque, devenue propriété nationale en 1790 avec l’abbaye, doit d’avoir survécu à celle-ci et échappé à la dispersion de ses collections.
Rebaptisée Bibliothèque du Panthéon ou Bibliothèque nationale du Panthéon jusqu’à la Restauration, elle passe, à la mort de Pingré, sous l’autorité de l’administrateur Pierre Daunou, qui lance l’établissement du catalogue des incunables (publié seulement à la fin du siècle), puis celui du catalogue général (en 33 volumes). À cette époque, la bibliothèque bénéficie toujours de dons réguliers, et pour pallier la faiblesse de ses crédits, devient, par décret royal en 1828, attributaire d'un exemplaire du dépôt légal en théologie, philosophie, droit, médecine et sciences.
Cependant, elle est à l'étroit dans des locaux vétustes, au dernier étage de l'ancienne abbaye devenue lycée. En 1842 elle est installée, à titre provisoire, dans une partie de l'ancien collège de Montaigu, devenu hôpital, puis prison, et destiné à la démolition dans le cadre de l’aménagement de la place du Panthéon conçue par Soufflot.
La nouvelle bibliothèque est édifiée à son emplacement, sur une étroite parcelle de 85 mètres sur 21 mètres, de 1843 à 1850. Henri Labrouste (1801-1875) est appointé depuis 1838 comme architecte de l'ancienne bibliothèque Sainte-Geneviève.
Ce premier édifice spécifiquement dédié à l'accueil d'une bibliothèque, innovant par son architecture, est inauguré le 4 février 1851.
Traitée comme une bibliothèque d'envergure nationale depuis 1830, la bibliothèque Sainte-Geneviève a gardé son caractère pluridisciplinaire et ses collections patrimoniales. Elle a tendu au fil des années à la précision thématique. En 1925, elle est rattachée à la Réunion des bibliothèques nationales de Paris (regroupant de nouveau la Bibliothèque nationale, l'Arsenal, et la Mazarine). En 1928, elle est rattachée à l'université de Paris, les étudiants constituant alors la plus large part de son public, ce qui lui apporte un soulagement budgétaire.
La fin de l'université de Paris en 1970, conséquence immédiate des revendications de mai 1968 contre la Sorbonne, et sa partition en neuf universités font, dès 1972, de la bibliothèque Sainte-Geneviève un établissement interuniversitaire pour lequel est rappelée l'obligation de maintenir le caractère public et encyclopédique qui est sa spécificité. Cinq universités, celles de Paris-I, de Paris-II, de Paris-III, de Paris-IV et de Paris-VII sont parties au contrat et l'une d'entre elles, Paris-III, est l'université de rattachement de la bibliothèque.